21 avril 2009
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17:00
Dites, s'il vous plaît, rassurez moi vite---- , le bruit des 4X4, des coups de fusil de chasse, de la radio ou de la télé du voisin, des braillements dans
les gradins des terrains de sport, des tondeuses à gazon, des bulldozers, des quads , des motos cross, des débroussailleuses , des quinzaines commerciales, des klaxons italiens les
jours de mariage ou de victoire de l'équipe locale, et des tronçonneuses est toujours autorisé? Dites, vous en êtes bien certains?
Bon, pour vous dire la vérité vraie, je me disais "Ouf, c'est dans le département des Pyrénées Atlantiques, mais c'est en Béarn, pas en Pays Basque".
Euh---, Monsieur le Maire s'appelle Uthurry et --- ça, c'est un nom Basque.
Torts partagés, donc. D'ailleurs, qu'est-ce qui se partage mieux que la connerie?
Toudmeme---- que le PS ait arraché la Mairie au très Sarkozyste Lucbereilh pour en faire ça!
Il est vrai que le côté petit coq sur un tas de fumier, de Monsieur Hervé Lucbereilh, est tellement apparent que Monsieur Uthurry le voit peut-être dans chaque chef de Basse-cour. Si c'est le cas, une aide psychologique pourrait peut-être le guérir de cette paranoia.
Au fait, j'espère qu'à Oloron, on organise la résistance! Un coq par foyer, même en appart, ça le ferait, non?

http://tf1.lci.fr/infos/insolite/0,,4383271,00-le-maire-interdit-aux-coqs-de-chanter-.html
Pas de cocorico à Oloron Sainte-Marie. Le maire de la ville, Bernard Uthurry, a pris un arrêté municipal visant à faire taire les coqs. Leur célèbre cocorico est désormais "constitutif d'un trouble manifestement illicite", a indiqué le quotidien Sud-Ouest. Le texte prévoit à cet effet une contravention de troisième classe d'un montant de 68 euros.
Et si les propriétaires de ces petits contrevenants à bec ne payent pas
dans les 45 jours, l'amende grimpe à 180 euros. "En ville, je pense qu'il est légitime d'être énervé quand on est réveillé tous les matins, très tôt, par le chant d'un coq", a affirmé le maire.
Un argument qui n'a visiblement pas convaincu l'opposition municipale qui ironise, "A quand l'interdiction du miaulement des chats ?" Pour Bernard Uthurry, cette décision "a surtout pour vocation d'agir de façon pédagogique". Pour autant, "si aucune solution n'est trouvée, les gendarmes, et bientôt les agents de sécurité de la voie publique, devront
faire appliquer l'arrêté", a-t-il expliqué. Les coqs et leurs propriétaires sont prévenus : dans ce coin de la France, les coqs n'ont manifestement plus la cote.
Bon, pour vous dire la vérité vraie, je me disais "Ouf, c'est dans le département des Pyrénées Atlantiques, mais c'est en Béarn, pas en Pays Basque".
Euh---, Monsieur le Maire s'appelle Uthurry et --- ça, c'est un nom Basque.
Torts partagés, donc. D'ailleurs, qu'est-ce qui se partage mieux que la connerie?
Toudmeme---- que le PS ait arraché la Mairie au très Sarkozyste Lucbereilh pour en faire ça!
Il est vrai que le côté petit coq sur un tas de fumier, de Monsieur Hervé Lucbereilh, est tellement apparent que Monsieur Uthurry le voit peut-être dans chaque chef de Basse-cour. Si c'est le cas, une aide psychologique pourrait peut-être le guérir de cette paranoia.
Au fait, j'espère qu'à Oloron, on organise la résistance! Un coq par foyer, même en appart, ça le ferait, non?

http://tf1.lci.fr/infos/insolite/0,,4383271,00-le-maire-interdit-aux-coqs-de-chanter-.html
Pas de cocorico à Oloron Sainte-Marie. Le maire de la ville, Bernard Uthurry, a pris un arrêté municipal visant à faire taire les coqs. Leur célèbre cocorico est désormais "constitutif d'un trouble manifestement illicite", a indiqué le quotidien Sud-Ouest. Le texte prévoit à cet effet une contravention de troisième classe d'un montant de 68 euros.
Et si les propriétaires de ces petits contrevenants à bec ne payent pas
dans les 45 jours, l'amende grimpe à 180 euros. "En ville, je pense qu'il est légitime d'être énervé quand on est réveillé tous les matins, très tôt, par le chant d'un coq", a affirmé le maire.
Un argument qui n'a visiblement pas convaincu l'opposition municipale qui ironise, "A quand l'interdiction du miaulement des chats ?" Pour Bernard Uthurry, cette décision "a surtout pour vocation d'agir de façon pédagogique". Pour autant, "si aucune solution n'est trouvée, les gendarmes, et bientôt les agents de sécurité de la voie publique, devront
faire appliquer l'arrêté", a-t-il expliqué. Les coqs et leurs propriétaires sont prévenus : dans ce coin de la France, les coqs n'ont manifestement plus la cote.