Une contribution de Daniel Labeyrie
23 – Allain Leprest – Nu
Bouleversant !
Une contribution de Daniel Labeyrie
23 – Allain Leprest – Nu
Bouleversant !
Il est sorti de chez l'imprimeur...
Donc disponible dès à présent.
Prix libre. C'est-à-dire ? L'impression du livret va nous coûter 1 €
l'exemplaire (si on peut se rembourser les frais d'impression ce serait top). Par conséquent, il vous appartient d'estimer ce que peut valoir cet objet, sachant qu'il s'agit du cri d'une ourse appelée Claverina, que ce cri a été écrit par moi et Jenofa Cuisset et qu'il a été illustré par moi à la mine de plomb et au fusain.
Pourquoi ? Pour défendre la vie sauvage, pour défendre la liberté, pour défendre l'ours dans les Pyrénées.
Pour celles et ceux qui souhaitent le recevoir par la poste, le coût postal est de 2,52 € jusqu'à 5 exemplaires (paiement en chèque ou timbres postaux). Adresse : Laurent Caudine Maison Pastou 64130 Moncayolle.
Pour celles et ceux qui le veulent, je serai au marché de Maule samedi matin.
20 pages, noir et blanc, 7 illustrations, format 15/21 cm.
Des questions ?
Une contribution de Daniel Labeyrie
22 – Colette Magny – l’écolier soldat
Chanson toujours actuelle par une grande artiste.
Irulegiko irratian, Pantxo Antxordoki biologiako erakaslea 2019ko apirilaren 2an, Jojo Bidart irratilariarekin.
Résumé en français ci-dessous :
Le 2 avril 2019,sur les ondes de Radio Irulegi, le biologiste Pantxo Antxordoki répond aux questions du journaliste Jojo Bidart.
Il se dit très angoissé par la fréquence et l'importance des feux pastoraux lors de la saison qui vient de se terminer.
Parmi les effets destructeurs de ces feux, il insiste particulièrement sur deux points.
1 L'érosion accélérée sur les zones incendiées, ainsi que la perte de sels minéraux emportées par les pluies sur des sols dénudés où plus une racine d' arbre ni de broussaille n'est là pour retenir l'eau dans sa course folle. Le coup de fouet à la pousse de l'herbe qui se manifeste parfois masque la dégradation de la fertilité, et la perte de variété végétale qui s'installe à terme par l'effet de la destruction absolue d'un écosystème.
2 La perte effarante de biodiversité chez les plantes bien entendu, mais aussi chez les bactéries, les animaux, du plus petit (y compris les microscopiques) aux plus gros. Ceux d'entre eux qui ne périssent pas dans les flammes ou asphyxiés par la fumée, voient leur milieu de vie dévasté et son condamnés à "aller chercher ailleurs" un lieu où se reproduire et élever leurs petits.
Pantxo Antxordoki nous rappelle ensuite que pourtant, notre survie à nous , humains, dépend entièrement de toutes les autres composantes du monde vivant, végétales et animales, et que "nettoyer" la montagne est synonime de la priver de toute vie.
Il attire également notre attention sur le fait qu'autrefois les feux étaient pratiqués avec une bien plus grande connaissance du milieu et une bien plus grande sagesse. Il y a encore quelques décennies, on brûlait de petites surfaces, on surveillait le feu jusqu'à ce qu'il soit éteint, ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui où l'on se cache derrière un "Il nous a échappé" qui cherche à dédouaner ceux qui ont allumé de leur responsabilité. Et surtout, surtout, on brûlait dans le but de nourrir les animaux d'élevage. Aujourd'hui, on brûle souvent des espaces où jamais ne pait un animal d'élevage. On brûle pour "nettoyer" la montagne et ce faisant, comme dit plus haut, on la condamne à mort à plus ou moins long terme.
Si la sagesse ne nous vient pas rapidement, le désert qui se prépare s'installera définitivement.
Une contribution de Daniel Labeyrie
21 – Pierre Delorme – les arbres de Corot
Un petit bijou par un orfèvre.
Une contribution de Daniel Labeyrie
20 – Franco Battiato - Royal Philarmonic Orchestra – Torneremo ancora
Le chant du cygne du maestro de la chanson italienne.
Une contribution de Daniel Labeyrie
19 – Leo Ferré « les étrangers » Archive INA
Le violon d’Ivry Gitlis a rejoint monsieur Léo.
Une contribution de Daniel Labeyrie
18 – Luc Romann – L’homme de lune
Là-haut dans les étoiles et toujours là.
Une contribution de Bernard Caussade
Le titre est de la blogueuse
Si vous passez à Sare, ne cherchez pas Gabi le charcutier faussaire qui derrière Bourdon salit tout un Pays. Ne dites pas merci à Fabien Oteniente, cinéaste de plage et d’humour à la louche qui cherche ses deniers sur des chaînes publiques financées par l’impôt. ,
S’il voulait s’essuyer ses godillots gogos il aurait pu traîner ses guêtres à Paris, en termes de clichés notamment politiques, il y a du boulot.
Si vous venez à Sare arrêtez vous un peu à l’ombre du fronton, entrez dans les commerces et partager un verre avec des gens du lieu qui vous diront qu’ici la vie c’est autre chose. Il se feront les guides d’un Pays en souffrance avec des hôpitaux en manque de moyens, des cliniques exsangues privés de personnel, une entreprise phare du côté d’Hasparren qui déverse en cascades des travailleurs jetés sur des tarmacs déserts, des artistes en détresse qui crient leur désarroi aux portes de théâtres fermés par un pouvoir inculte et obstiné.
Et puis vers la soirée, au pied des flammes chaudes près de la cheminée, on vous dira qu’ici des femmes et des hommes attendent le retour de prisonniers perdus dans des prisons sordides pour raisons politiques, on parlera peut-être de l’ours des Pyrénées pourchassé sur ses terres par des bergers victimes de lobbys autochtones aux visées expansives et accessoirement un député fantasque aux couleurs folkloriques.
Lorsque les lourdes portes des couvre feux cyniques et des confinements tomberont sous le poids des révoltes des peuples, venez au Pays Basque en oubliant Bourdon et le film cliché de Fabien Oteniente.
Une contribution de Daniel Labeyrie
17 – Birds on a wire – la marelle (Amarelinha) official music video
Quelle fraîcheur et quel talent !