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1 août 2018 3 01 /08 /août /2018 08:00
Un petit bout de bambou

Cette chanson, interprétée en 1968 par Hubert Wayaffe,a été composée , paroles et musique par Gilles Marchal.

Dans ce montage et à deux exceptions près  (Vallée de Chevreuse)) les photos de cours d'eau ont toutes été prises en Pays basque par les soins de Hontz xuria dans le but de les envoyer à Gilles.

 

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 08:38
Ca suffat comme ci!

 Après l’indignation, l’action ! Sous prétexte de « traditions », le Ministère de la transition écologique et solidaire veut, comme les années précédentes, autoriser diverses pratiques cruelles et non sélectives de piégeage de centaines de milliers d’oiseaux.
Participez sans plus attendre à la consultation publique pour dire non à ce massacre :
 
https://www.lpo.fr/…/mobilisons-nous-contre-le-piegeage-cru…

Transition, poil au menton.

Tradition, piège à cons.

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27 juillet 2018 5 27 /07 /juillet /2018 09:29
"Il faut beaucoup de brins d'herbe pour tisser un homme".

En 1969, juste avant de lire "Le fou d'Edenberg" de Samivel et de ma lancer à corps perdu avec les copains de Jeunes et Nature dans la luttte pour la préservation de l'intégrité du Parc National de la Vanoise, j'ai lu les lignes ci-dessous, écrites par le même Samivel lors de la création du Parc.

A la fin du mois de juin dernier, lors d'une rencontre où un intervenant, ancien directeur de ce  Parc et actuel Président d'un Parc "naturel" (?) régional, disait pis que pendre des Parcs nationaux coupables selon lui de "sanctuariser " la nature, vous savez la nature, ce truc encombrant qui n'a d'intérêt que lorsque l'on peut faire du fric avec, ce qui bien évidemment la détruit, mais qu'importe si on a le flouze!

Alors, j'ai repensé au "royaume des aurores intactes et des bêtes naïves" dont parle ici Samivel, ce royaume dévasté et bientôt disparu sous les offenses de l'Homme inconscient et tout puissant jusqu'à sa propre perte.Mais s'il y a une vie après la mort, c'est dans ce paradis là que je veux aller,  dans les grands espaces avec les bêtes naïves. Les humains et leurs murs, , je les aurai assez vus comme ça.

 

Commandements de Samivel...

Le Parc National protège contre l'ignorance et le vandalisme

Des biens et des beautés qui appartiennent à tous.

 

Les défenseurs de la vie sont les amis du Parc National.

Les amis du progrès et de la paix sont les amis du Parc.

Les sportifs, les artistes et les savants sont les amis du Parc.

 

Voici l’espace. Voici l’air pur. Voici le silence.

Le royaume des aurores intactes et des bêtes naïves.

Tout ce qui vous manque dans les villes

Est ici réservé pour votre joie.

Eaux libres : Hommes libres.

Ici commence le pays de la liberté.

 

La liberté de se bien conduire.

 

Les Inconscients ne respectent pas la nature.

Ils croient se grandir en la polluant

Et ne savent même pas qu’elle se venge.

Puisez dans le trésor des hauteurs

Mais qu’il brille après vous pour tous les autres.

 

La faiblesse a peur des grands espaces.

La sottise a peur du silence.

Ouvrez vos yeux et vos oreilles. Fermez vos transistors.

 

Pas de bruits. Pas de cris. Pas de moteurs. Pas de Klaxons.

Ecoutez les musiques de la montagne.

 

Les vrais merveilles ne coûtent pas un centime.

La marche nettoie la cervelle et rend gai.

Enterrez vos soucis et vos boites de conserves

Un visiteur intelligent ne laisse aucune trace de son passage.

Ni inscriptions. Ni destructions. Ni désordre. Ni déchets.

Les papiers gras sont la carte de visite des mufles.

 

Récoltez de beaux souvenirs mais ne cueillez pas les fleurs.

N'arrachez surtout pas les plantes, il pousserait des pierres.

Il faut beaucoup de brin d’herbes pour tisser un homme.

 

Ravageur de forêts : mauvais citoyens.

Qui détruit le nid vide le ciel, rend la terre stérile.

Ennemi des bêtes : Ennemi de la vie : Ennemi de l’avenir.

 

Oiseaux, marmottes, hermines, chamois, bouquetins.

Et tout ce petit peuple de poil et de plume

Ont désormais besoin de votre amitié pour survivre.

Déclarez la paix aux animaux timides.

Ne les troublez pas dans leurs affaires

Afin que le printemps futurs réjouissent encore vos enfants.

 

Défense ici de chasser, sauf aux images.

N’allumez pas de feu au hasard. Ne campez pas n’importe où.

Certains gestes irréfléchis peuvent tout compromettre.

 

Le Parc National c’est le jardin des Français.

Et c’est aussi votre héritage personnel.

Acceptez consciemment, de bon coeur, ses disciplines

Et gardez-le vous même contre le vandalisme et l’ignorance.


Samivel - poète et randonneur

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25 juillet 2018 3 25 /07 /juillet /2018 10:48
Amour?


Sur l'amour : Qu'est-ce que l'amour ?


(...) Avez-vous jamais trouvé une certitude dans vos rapports humains ?(…) Nous désirons cet apaisement lorsque nous aimons et que nous voulons qu'on nous aime en retour ; mais deux personnes peuvent-elles s'aimer lorsque chacune d'elles est à la recherche de sa propre sécurité, selon sa voie particulière ? On ne nous aime pas, parce que nous ne savons pas aimer.
Qu'est-ce que l'amour ? Ce mot est si galvaudé et corrompu, que je n'ose à peine le prononcer (…) L'amour pourrait bien être l'ultime solution à toutes les difficultés des hommes entre eux, à leurs problèmes, à leur peine, mais comment nous y prendre pour savoir ce que c'est ? En le définissant ? L'Eglise le définit d'une façon, la société d'une autre, et il y a, en outre, toutes sortes de déviations et de perversions : adorer quelqu'un, coucher avec quelqu'un, échanger des émotions, vivre en compagnie, est-ce cela que nous appelons l'amour ? Mais oui, c'est bien cela, et ces émotions sont, malheureusement si personnelles, si sensuelles, si limitées, que les religions se croient tenues de proclamer l'existence d'un amour transcendantal.
En ce qu'elles appellent l'amour humain, elles constatent du plaisir, de la jalousie, un désir de s'affirmer, de posséder, de capter, de dominer, d'intervenir dans la pensée d'autrui, et voyant toute cette complexité, elles affirment qu'existe un autre amour, divin, sublime, infrangible, impollué.
Des hommes saints partout dans le monde soutiennent que regarder une femme est mal ; qu'il est impossible de se rapprocher de Dieu si l'on prend plaisir à des rapports sexuels ; et, ce faisant, ils refoulent leurs désirs qui les dévorent. En niant la sexualité, ils se bouchent les yeux et s'arrachent la langue, car ils nient toute la beauté de la terre. Ils ont affamé leur cœur et leur esprit (…)
Peut-on diviser l'amour en amour sacré et profane, divin et humain, ou est-il indivisible ?(…) Lorsque l'on dit : « Je t'aime », est-ce que cela exclue l'amour pour d'autres ? L'amour est-il personnel ou impersonnel ? Moral ou immoral ? Est-il réservé à la famille ? Et si l'on aime l'humanité, peut-on aimer une personne ? Est-ce un sentiment ? Une émotion ? Un plaisir ? Un désir ?
Toutes ces questions indiquent, n'est-ce pas, que nous avons des idées au sujet de l'amour, des idées sur ce qu'il devrait être ou ne pas être (…)
Je me dis : « Commence par te vider de cette confusion ; alors peut-être découvriras-tu ce qu'est l'amour par le truchement de ce qu'il n'est pas. »
L'Etat nous dit d'aller tuer par amour de la patrie. Est-ce cela l'amour ? La religion nous dit de renoncer à notre sexualité par amour pour Dieu. Est-ce cela l'amour ? (…)
Vous prétendez aimer votre femme (…) Vous avez besoin de cette femme qui vous a donné son corps, ses émotions, ses encouragements, un certain sens de sécurité et de bien-être. Puis, elle se détourne de vous, par ennui, ou pour partir avec quelqu'un, et tout votre équilibre est détruit. Ce désagrément, vous l'appelez jalousie ; il comporte une souffrance, une inquiétude, de la haine, de la violence. Ce qu'en réalité vous dites à votre femme c'est : « Quand vous m'appartenez je vous aime, dès l'instant que vous ne m'appartenez plus je vous hais. Tant que je peux compter sur vous pour satisfaire mes exigences, sexuelles et autres, je vous aime ; dès que vous cessez de me fournir ce que je demande, vous me déplaisez. » Voici crées en vous deux antagonismes et un sens de séparation qui excluent l'amour. Si, cependant, vous pouvez vivre avec votre femme sans que la pensée crée ces états contradictoires, sans entretenir en vous-mêmes ces perpétuelles querelles, alors peut-être, peut-être, saurez-vous ce qu'est l'amour, et vous serez libre, et elle le sera aussi, car nous sommes esclaves de la personne dont dépendent nos plaisirs. Ainsi lorsqu'on aime, il faut être libre, non seulement de l'autre personne, mais par rapport à soi (...)
Ne savez-vous pas ce que veut dire aimer réellement une personne, sans haine, ni jalousie, ni colère, sans vouloir vous mêler de ce qu'elle fait ou pense, sans condamnation ni comparaison ? (…) Lorsqu'on aime, compare-t-on ? Lorsqu'on aime de tout son cœur, de tout son corps, de son être entier, compare-t-on ? (…)
Lorsque les parents éduquent leurs enfants en vue de les adapter à la société, ils perpétuent les conflits, les guerres, la brutalité. Est-ce cela que vous appelez protection et amour ? Protéger l'enfance avec amour, c'est se comporter à la façon du jardinier qui soigne ses plantes, les arrose, étudie avec douceur et tendresse leurs besoins, le sol qui leur convient le mieux (…)
Lorsqu'on perd un être aimé, on verse des larmes. Sont-elles pour vous, ou pour la personne qui vient de mourir ? (…) Pleurer sur soi, est-ce de l'amour ?
(…) Vous verrez que la peur n'est pas l'amour, que la jalousie n'est pas l'amour, que la possession et la domination ne sont pas l'amour, que la responsabilité et le devoir ne sont pas l'amour, que se prendre en pitié n'est pas l'amour, que la grande souffrance de ne pas être aimé n'est pas l'amour. L'amour n'est pas plus l'opposé de la haine que l'humilité n'est l'opposé de la vanité. Si donc vous pouvez éliminer toutes choses, non par la force mais en les faisant disparaître à la façon dont la pluie lave les feuilles chargées de la poussière de nombreuses journées, peut-être rencontrerez-vous cette étrange fleur à laquelle, toujours, les hommes aspirent.
Tant que vous n'aurez pas d'amour, non en petite dose mais en grande abondance, tant que vous n'en serez pas remplis, le monde ira vers des désastres. Vous savez cérébralement que l'unité de l'homme est essentielle et que l'amour est la seule voie. Mais qui vous apprendra à aimer ? Est-ce qu'aucune autorité, aucune méthode, aucun système vous diront comment aimer ? Si qui que ce soit vous le dit, ce n'est pas l'amour (…)

Peut-on entrer en contact avec l'amour sans discipline, ni impositions, ni livres sacrés, ni le secours de guides spirituels, et même sans l'intervention de la pensée ? Le rencontrer en somme, à la façon dont on aperçoit soudain un beau coucher de soleil ? Une chose me semble-t-il est nécessaire à ce sujet : une passion sans motif, une passion non engagée, et qui ne soit pas d'ordre sensuel. Ne pas connaître cette qualité de passion c'est ne pas savoir ce qu'est l'amour, car l'amour ne peut prendre naissance que dans un total abandon de soi. Rencontrer l'amour sans l'avoir cherché est la seule façon de le trouver : le rencontrer sans s'y attendre (…)

L'amour est toujours neuf, frais, vivant. Il n'a pas d'hier et pas de lendemain. Il est au delà des mêlées qu'engendre la pensée. Seul l'esprit innocent sait ce qu'est l'amour (…)
Aller au delà de la pensée et du temps, c'est se rendre compte qu'il existe une autre dimension qui s'appelle l'amour. Ne sachant pas comment atteindre cette source extraordinaire, que faites-vous ? Rien, n'est-ce pas ? Absolument rien. Dans ce cas, vous voilà intérieurement complètement silencieux. Comprenez-vous ce que cela veut dire ? Cela veut dire que vous ne cherchez plus, que vous ne désirez plus, que vous ne poursuivez plus rien, bref, qu'il n'y a plus de centre du tout. Alors l'Amour est là. 

___________________________________________________________________________________________________
Tiré du livre “Se libérer du connu” de Jiddhu Krishnamurti, ed. Stock+Plu

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23 juillet 2018 1 23 /07 /juillet /2018 17:04
Mout'ombre

Grand beau temps toute la journée. Sain, pas orageux. Oui, cela ,nous arrive, ce n'est pas courant, mais ça nous arrive. Ce matin, quand je me suis levée ( pas très tôt, j'avoue!),un groupe de brebis dont vous voyez  (vraiment très mal) la tache blanche en haut, était agglutiné dans l'ombre de la haie. Au fur et à mesure que la bande ombreuse diminuait, il se rapprochait de ladite haie jusqu'à ce qu'il n'y ait plus du tout d'ombre. Vers 12 h30, j'ai regardé la température à l'abri dans ma cour : 25 degrés, on ne peut pas franchement parler de canicule, d'autant que soufflait un agréable vent léger.

A 15 h, quand je suis descendue au potager, je me suis rendu compte que les brebis était à nouveau à l'ombre d'une haie, celle du bas, mitoyenne mais composée d'arbres et d'arbustes plantés par mes soins.

Cela m'a rappelé mon périple du 2 septembre 2016 au Col de Bentarte où je voyais les brebis faire le tour des pitons rocheux tout au fil de la journée afin d'échapper à la morsure du soleil. Et je ne vous parle pas des vaches qui cherchent l'abri de haies ou d'arbres inexistants les jours d'intempéries. Cependant, pour nombre d'éleveurs,la haie, l'arbre sont devenus l'ennemi à éradiquer.

Pourquoi? Oh, j'ai bien ma petite idée, parmi d'autres explications quelque chose style prime à l'herbe (PAC) au vu de photos prises par satellites. Mais je m'arrête là, on va encore dire que je suis mauvaise langue. Je sais bien que les conditions d'optention de certaines primes se sont très légèrement améliorées pour le milieu naturel ces dernières années. Mais une fois que le pli est pris--

 

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12 juillet 2018 4 12 /07 /juillet /2018 12:25
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12 juillet 2018 4 12 /07 /juillet /2018 12:19
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30 juin 2018 6 30 /06 /juin /2018 14:00
Comme un étranger dans la ville (Macadam cowboy)

 Interprétée par Gilles Marchal, chanson de la version française du film américain"Midgnight cowboy" rebaptisé "Macadam cowboy"  en France.

1969.

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27 juin 2018 3 27 /06 /juin /2018 18:34
Foncièrement bon ou foncièrement mauvais?
Intervention d'Alice Leiciagueçahar sur le rapport d'orientation pour une stratégie foncière en Nouvelle Aquitaine.
 
Président, chers collègues,
Ce rapport d’orientation met en lumière la grande transversalité de la question foncière.
Quand on parle foncier, on pense urbanisation, et il est vrai que l’urbanisation est très consommatrice de foncier, mais la responsabilité du foncier est aussi très largement partagée:
 
Sur notre territoire se trouvent un certain nombre de sites industriels ou de zones d’activité à l’abandon. Certains bénéficient d’un suivi trentenaire de surveillance (eau, sol, air et gaz), y compris sur le port de Bayonne, propriété de la Région. Le coût sera considérable et l’issue incertaine, mais c’est une nécessité. D’autres pourraient, moyennant des aménagements, être réutilisés. Ayons une véritable réflexion sur ces sites, et, pourquoi pas un plan de requalification de ces zones préalablement à toute nouvelle implantation.
Comme l’a dit Léonore tout à l’heure, la délibération sur la stratégie foncière est une avancée remarquable. Mais il ne suffit pas de préserver les terres agricoles, encore faut-il qu’elles soient cultivées. Une étude commandée par EHLG ( chambre d’agriculture associative du Pays Basque ) révèle que lorsque des départs à la retraite sont compensés non par des installations mais par des agrandissements, seules les meilleures terres, les plus accessibles sont cultivées, et les terres difficiles d’accès et/ou d’exploitation deviennent à leur tour des friches. Seules des fermes de plus petite taille sont une réponse à ce problème.
Pour une autonomie alimentaire de notre région, il est de notre devoir de maintenir la totalité de nos terres agricoles, de même qu’il est nécessaire à la biodiversité de maintenir les espaces naturels et forestiers.
 
Ce rapport d’orientation aborde la problématique du commerce de périphérie. On démontre là notre incapacité à anticiper les conséquences de nos choix collectifs. Il est temps de freiner voire de stopper le développement des grandes surfaces commerciales, modèle qui est de toute manière voué à l’échec.
 
Il nous faut enfin être raisonnables et mettre un frein aux grands projets inutiles et très coûteux en matière de foncier.
 
Ce rapport d’orientation va dans le bon sens dans la mesure où il associe tous les acteuhrs du territoire dans son élaboration mais aussi dans les orientations retenues. Le rôle de la Région est essentiel dans l’accompagnement de ces différentes structures.
 
Nous remercions Laurence Rouéde et les services qui l’ont accompagnée pour ce rapport d’orientation que nous approuvons mais nous émettons malgré tout le souhait de tendre vers la neutralité foncière.
 
Président, chers collègues, le groupe écologiste et citoyen votera cette délibération.
 
 
 
 
 
 
Alice Leiciaguecahar
Conseillère régionale 
Présidente de la commission agriculture
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21 juin 2018 4 21 /06 /juin /2018 10:54
Heldu dira ene hartzarendako pegatinak!

Eneak errezibitu ditut!

Zurea errezibitu nahi balin baduzu, aski da euro baten igortzea helburu hontara :

Maison des associations Place du Biasc 31160 Arbas

 

Ils sont arrivés mes autocollants en langue basque édité par "ADET pays de l'ours".  Si vous voulez recevoir le vôtre, il suffit d'envoyer un euro à cette adresse : 

Maison des associations Place du Biasc 31160 Arbas

 

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