Une contribution de Bernard Caussade
(le titre est de la blogueuse).
Rejeton catalan réfugié en pouvoir, en terres droits de l’homme, il fit beau mariage avec le patronat et les forces d’argent.
Entré par effraction rue de Solferino, il avait su convaincre ce petit roi perdu, qui manquait d’envergure, occupé en alcôves par quelques courtisanes, Et petit à petit, autour de Matignon, le pouvoir s’organise en force parallèle. Il claque des talons, matador en puissance, il impose ses hommes en postes stratégiques, les armées en Bretagne, police en Normandie… les femmes en maladie ou en écologie et puis quelques fusibles et quelques pots de fleur, en cas d’intempéries on déplace les pots, on change les fusibles…
Il offrit aux puissants en gage d’amitié, la clé des libertés conquises par le peuple et les codes des coffres. Ces derniers, incrédules pillèrent sans scrupules tout en cupidité. Le prince catalan avide de pouvoir bradait au plus bas prix les acquis les plus chers, les conquêtes de sang contre plus de pouvoir, limite dictature…
Et puis un beau matin, en cour de corrida alors qu’il s’apprêtait à passer l’estocade en présence de belles et d’aficionados, la jeunesse en colère, les forces ouvrières descendues dans l’arène, ont sauvé le taureau. Le petit matador range sa muleta.
Au prochain rendez-vous, prochaine corrida, il se peut que le peuple s’offre comme trophée les oreilles et la queue du petit torero…
S'il vous manque un épisode, vous pouvez vous référer au lien ci-dessous.
Nous avons emprunté un van ce jour pour aller monter chercher Altxor à Ondarole. Il faisait et il fait toujours un temps exécrable.
Un séjour plus long aurait été souhaitable, la vétérinaire ayant parlé de trois mois. Mais les personnes qui l'accueillaaient doivent envoyer le troupeau à la montagne. Or, Altxor, plus soucieux de la compagnie des humains (gentils) que de celle de ses congénères, serait redescendu vers les maisons.
C'est avec une joie partagée par l'intéressée que Monsieur a retrouvé sa maman qui se languissait de lui depuis cinq semaines.
Par ce mauvais temps et dans la bourbier qu'est le terrain en ce moment, je n'ai pas pu faire grand chose comme photos. Dommage.
Voilà. Maintenant, il faut reprendre contact avec lui, voir le degré d'évolution et ensuite nous pourrons décider de l'avenir proche le concernant. La grosse brutasse de l'été dernier nous aura sans doute fait perdre plus d'un an et je vous assure que pour le pardon, j'ai bien du mal.
A suivre.
Au fait, ne me demandez pas ce qui apparaît sur la tête du pépère lorsqu'il monte dans le van (photo ci-dessus), je n'en sais ma foi rien du tout.
altxor eta gaztain - Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
Le blog de Jenofa, citoyenne du monde enracinée en Pays Basque, petite fourmi de l'écologie.Jenofa, ekologiaren xinaurri ttipi bat.
Le meilleur moment pour planter un arbre, c'était il y a 20 ans.
Le deuxième meilleur moment, c'est maintenant.
Hommage à Wangari Maathai, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes.
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gilles marchal - Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
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Le titre de ce "post" est une citation de Chateaubriand.
J'offre cette vidéo à mon papa qui pleurait devant les bulldozers et les tronçonneuses et à son cousin André Dumont (voir l'un des liens ci-dessous) ainsi qu'à mon grand-père paternel, Paul Cuisset, que je n'ai pas connu mais qui n' était heureux qu'en forêt.
Bien entendu, comme à chaque fois qu'il s'agit de cervidés, en pensant très fort à Gilles Marchal et à Luc Romann.
Et en souvenir, toujours si vivant en moi, de mon enfance dans les bois de Trois-Etots.
Avec un grand merci à l'AFLOC pour son engagement.
L'homme qui défendait les forêts de l'Oise - Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
Il s'appelait André Dumont. C'était le cousin de mon père. Dès les années 60, il entreprenait de lutter pour sauvegarder les forêts de l'Oise et du Sud de la Picardie, déjà menacées par ...
http://jenolekolo.over-blog.com/article-l-homme-qui-defendait-les-forets-de-l-oise-115184410.html
Hameau de Trois-Etots, commune de Cernoy
Inauguration de la façade restaurée, A l'occasion des * Cernoy : la renaissance de l'église de Trois-Étôts par Lebonhommeclermont (cliquez sur la photo pour zoomer) (cliquez sur la photo pour ...
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Je crois bien l'avoir déjà dit ici, j'aime énormément les livres de Colette, et sa personne également. Pas uniquement, loin de là, en raison de son amour pour les animaux mais il est vrai qu'il s'agit là d'un élément important dans l'affection que je porte à cette écrivaine.
Une autre chose que j'ai déjà dite dans ce blog, c'est que j'aime aussi beaucoup Colette Renard que j'ai eu la chance de rencontrer lorsque j'étais enfant.
Elle aussi aimait profondément et sincèrement tous les animaux.
Si vous n'avez jamais visionné la vidéo ci-dessous, je vous invite à le faire. Et si vous la connaissez déjà, je suis certaine que vous aurez envie d'une petite repasse gourmande.
Au revoir, Madame Irma! - Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
Je devais avoir 7 ou 8 ans. Un après-midi d'hiver glacial, Boulevard Berthier, à Paris, je m'ennuyais ferme chez des amis sans enfants de mes parents. Une dame est arrivée. Elle a demandé un je...
http://jenolekolo.over-blog.com/article-aun-revoir-madame-irma-58383528.html
J'ai emprunté le titre de ce "post" à un poème de Gilles Servat.
La photo ci-dessus avait été prise le 1er septembre 2015, après le passage du terrible orage de grêle qui fut un tortionnaire pour les arbres.
Ci-dessous, le lien ( le premier) pour l' accès à ce que j'en avais dit quelques temps plus tard.
Depuis, d'autres gros coups de vent ont fait encore des dégâts.
Alors, hier, une équipe d'amis armés de tronçonneuses est venue afin de débiter le plus possible de ces grands arbres couchés. Certes, il n'a pas été possible de venir à bout du chantier mais on a quand-même bien avancé. Le pottok Altxor n'étant toujours pas prêt et aucun tracteur ne pouvant pénétrer sur le terrain, je commence à me passer dans ma pt'tite tête le film des innombrables allées et venues que je vais devoir effecter cet été, une bille de bois dans les bras.
Ah, autre chose! Voir deuxième lien ci-dessous. En mai 2015, ERDF avait massacré un tilleul que j'avais planté en 1983 et qui m'était particulièrement cher. Il était certain après un tel traitement que le premier coup de vent le jetterait par terre. C'est à peu près ce qui s'est passé lors de la tempête et de grêle et de vent du 31 août. Le peu qui reste de l'arbre menaçait gravement de tomber lui-aussi. Alors, les amis ont accompli un vrai travail d'arboriste élagueur afin de le conserver en vie le plus longtemps possible. Rien à voir avec la boucherie d'arbres accomplie par les "élagueurs" (je me piiiince) d'ERDF, dont l'un me demandait à quoi pouvait bien servir les arbres (sic!)
Vous trouverez plus bas quelques photos la journée d'hier.
Ah, et puis, il faut que je vous dise également : j'ai eu l'occasion de donner encore des bébés arbres et arbustes pour replantation. Et ça, ce n'est que de la joie.
Merci aux bûcherons d'un jour qui aiment les arbres toujours : Michel, Loïc, Kevin, Benjamin. Merci à Ornela pour sa patience. Merci à Fanette pour le bon repas . Et un merci supplémentaire à Kevin qui a joué l'homme-singe dans le tilleul.
Boulevard des arbres allongés sous les ronces - Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
A nu, la racine du saule blanc planté sous forme de bouture de quelques centimètres il y a 15 ans. Depuis trois ans :première taille des noisetiers plantés il y a 42 ans, tempêtes à répétit...
http://jenolekolo.over-blog.com/2015/10/boulevard-des-arbres-allonges-sous-les-ronces.html
Et dame Gaztain, du haut de ses 21 ans et tristounette sans son fils, nous regarde travailler.
Une contribution de Daniel Labeyrie
C'est un daim ami d'un dindon d'Inde
Sous le ciel indigo le dindon dîne
Sans sa dinde partie en Inde.
Dindon, dis à ton copain daim
De trouver un indic pour dire à ta dinde
Que son dindon déprime sans sa dinde.
Cette dinde est un peu dingue
D'être partie sur un dinghy
Pour dériver sur la mer d'Inde
Mais le daim n'a que dédain
Pour les dingueries du dindon
Amoureux d'une dinde dingo.
Dis-donc grand dadais de daim
Pourquoi ce dédain pour le dindon
Qui n'a qu'un dada, sa dinde.
Dig ! Ding ! Dong !
Dig ! Daim ! Dong !
Dig ! Dindon !