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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 08:10
Jusqu'à la victoire

Vous vous souvenez? Jokangely "fournisseur de rock", le groupe qui, outre ses incontestables qualités musicales, a le très bon goût d'être signataire pour l'abolition de la corrida? Sur un tremplin de 5, ils sont arrivés 4 èmes lors de la première session du Tremplin PELIKAAM'music. Ils sont donc en mesure de concourir pour la deuxième.
Je vous invite fortement à voter pour eux. Vous avez jusqu'au 2 août . Sans vouloir vous commander, faites-le de suite pour ne pas oublier.

Mais attention, hein! Ne me faites pas le coup de la dernière fois! En bas de mon article, il y avait largement près de 110 "j'aime" et dans le même temps, le nombre de votes pour eux n'avait augmenté que d'une vingtaine. Dire que vous aimez l'article de mon blogounet, c'est très sympa de votre part, mais pour eux, cela ne change rien. Il faut vraiment cliquer sur le lien qui est en bas de cette page, avec le logo du tremplin, et suivre toute la démarche, jusqu'au bout.
Merci par avance.

PETIT RAPPEL DES "GESTES QUI SAUVENT" JOKANGELY:
OUVRIR LE LIEN CI-DESSOUS.
ALLER dans la bannière et TROUVER "VOTEZ ICI"
CLIQUER sur la vidéo de JOKANGELY "ça l'fait!
CLIQUER sur LE petit pouce vert!!
C'est grâce à VOUS si ça l'FAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT!!!!!

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23 juillet 2013 2 23 /07 /juillet /2013 15:25

Si ce n'est qu'une tradition, vraie ou supposée, est tout sauf une excuse.  Et la culture, tout sauf la torture.

 

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 17:20
"A las cinco de la tarde". Une oeuvre du peintre basque Abo, signataire pour l'abolition de la corrida.

"A las cinco de la tarde". Une oeuvre du peintre basque Abo, signataire pour l'abolition de la corrida.

Une contribution de babel.

Le jour s’est blessé en naissant, s’est coupé au muret.

Il laisse sur la pierre un filet d’ocre plus clair, en garance.

Il séchera quand les fleurs s’ouvriront, que les fêlures

S’offriront comme dernier refuge aux lézards brûlants

Ainsi que dans les arènes sèche le sang des toros.

Des mouches viendront y boire après que les seaux d’eau

Auront mouillé les sols, rafraîchi les dalles, emporté le gras.

Et rien ne restera plus de la blessure au coin du jour

Jusque vers le soir quand une autre plaie s’y peindra.

 

Le jour continuera à lever la pâte à faire surgir des villages.

Les foules attendent en dormant de suer de joie, elles sont là pour ça.

Elles ont pris leurs plus belles banderilles, pour garder souvenir

Des crêpes blanches de poussière où les bêtes mugissent

En sentant leur fin venir lorsque sont franchis les murs des arènes.

Les foules ont payé pour voir en habits de lumière

Ce qu’ils vivent, tout au long de l’année dans l’ombre.

Au soir venu, il ne restera plus rien de cet orage

Si ce n’est la plaie du couchant, se coupant à l’arête du mur.

 

Le jour s’est blessé, dans son habit de lumière

Puis la nuit est venue en son habit de toro

Alors l’un contre l’autre, ils se sont consolés des hommes.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 16:29
Montage de Maya. Merci à elle.

Montage de Maya. Merci à elle.

Le mercredi 17 juillet, l'évêque a conduit à Mont-de-Marsan la procession de la Madeleine, de l'église de la Madeleine  jusqu'aux arènes, en bénissant  le cercle de la torture et de la mort des taureaux et parfois aussi des chevaux, ainsi que les gens qui étaient sur les gradins.

A ma connaissance, la presse n'en a pas parlé. Un reste de pudeur, peut-être---

On nous dit que Dieu est amour. Je ne dirai rien de l'évêque des Landes.

 

 

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 10:00
Non, mais allo, quoi, Jis Jokangely avait signé pour l'abolition de la corrida, il y a quelques temps déjà. J'avais compris que c'était en son nom personnel! Mais non,  pas du tout! Je suis nulle. C'était au nom du groupe.
Alors, voilà, Jokangely signe pour l'abolition de la corrida.
Et ils ont besoin d'un petit coup de pouce de votre part, sous forme d'un vote: voir le lien ci-dessous,  en bas de la page.
Il faut faire vite! Il ne reste pas deux jours entiers. Allez,allez!

Bon, j'explique ; deuxième lien. Vous acceptez pour l'histoire de l'adresse, ce n'est pas grave, ça ne mord pas. Ensuite, vous cherchez l'icône de la vidéo de Jokangely, c'est la cinquième  page. Vous cliquez dessus et elle s'ouvre en grand en haut (remontez la souris), vous cliquez sur j'aime et le tour est joué. Faites passer le message.

 

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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 17:35

Merci à Martine Caplanne pour avoir mis en valeur ces images dont elle connaît le sens.

Et merci, c'est bien terne comme expression car cette amie sait à quel point je suis touchée par son attention.

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 19:13
Ursula, je pense à toi.

Le papounet d' Ursula s'enorgueillissait de ne lui avoir jamais mis ni de collier ni encore moins de laisse.

Dans le bas-Cambo. Ceux et celles qui savent comprendront.

Dans le bas-Cambo. Ceux et celles qui savent comprendront.

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 18:00

"Robin des bois à Roncevaux. C'est comme ça, tu l'as voulu, tu l'as".

Pendant un an, j'ai travaillé à l'école de Lacarre et à celle d'Ainhice Mongelos

Pendant un an encore, j'ai travaillé à l'école de Bunus et à celle d'Ainhice.

Depuis le vendredi 5 juillet, je suis chômeuse. Ce n'est pas une cataclysme dans ma vie, j'ai l'habitude.

Mais à cheval sur ces deux années, j' ai vécu une révolution, une vraie, une révolution intérieure, grâce à quelqu'un--- de l'extérieur, on peut vraiment le dire. Et j'ai failli toucher le ciel, il s'en est fallu de peu.

Durant cette période, pendant mes pauses-déjeuner, entre deux écoles, entre deux groupes d'enfants, attendant fiévreusement son appel, moi qui n'avais jamais voulu de téléphone portable,  j'ai fait quelques pas, pris quelques photos pour un être, mon amour, prisonnier d'une horrible maladie, et dont j'étais devenue les poumons et les jambes. Je capturais des images pour les lui envoyer, moi qui avais toujours pensé que photographier, c'était se voler à soi-même un court instant de vie. Il m'arrivait de prendre les jambes à mon cou pour arriver à l'heure dans la deuxième école, celle de l'après-midi.

En ce printemps qui n'en fut pas un mais qu'il avait espéré pourtant, il est parti ailleurs, en un autre monde dont je ne sais rien.

Et pour la première fois de ma vie, je me sens seule, vraiment seule. Et surtout pour la première fois de ma vie, je ne m'ennuie pas seulement de quelqu'un. Non, pour la première fois de ma vie, je m'ennuie sans quelqu'un. Et pourtant, il est là, je l'entends, je lui parle. Comment dire, comment expliquer?

Voici quelques-unes de ces photos, pêle-mêle, sans ordre chronologique. En plus, ce ne sont sans doute pas les mieux réussies ni les plus belles. Tant pis, après tout. Ce soir, dans l'urgence, j'ai trop besoin de lui dire de nouveau  ce qu'il est pour moi, ce qu'il a fait de moi. Il n'y a pas de mots, mais pas d'images, pas de musiques non plus. Rien. Que faire?  Ne vous vexez pas, en vous parlant, c'est encore à lui que je parle. C'est encore lui que j'interroge.

 

 

 

La toute première, quelques tout petits jours après  notre improbable rencontre . Retour chez les médecins, dans les hostos pour lui, ce jour là, à 800 km de ces collines. Mais nous étions ensemble.

La toute première, quelques tout petits jours après notre improbable rencontre . Retour chez les médecins, dans les hostos pour lui, ce jour là, à 800 km de ces collines. Mais nous étions ensemble.

Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Entre collines et ciel.
Le 21 septembre 2012, j'étais là quans son appel m'a surprise. "La barbarie est constitutionnelle en France. Le Conseil  Constitutionnel vient d'adouber la corrida". Cest lui qui me l'apprenait. Et le soir, il ajoutait " Tu sais, je suis déçu par toute cette victoire sans pudeur des corrideurs. Il te faut du courage, moi, j'aurais baissé les bras. La chasse commence demain, je vais voir ces sales batards monter la rue et tirer des faisans d'élevage, des tueurs de poules. J'ai appris qu'une harde de cerfs allait être liquidée, ça fait trop de dégâts. Ma campagne est bientôt vide.".

Le 21 septembre 2012, j'étais là quans son appel m'a surprise. "La barbarie est constitutionnelle en France. Le Conseil Constitutionnel vient d'adouber la corrida". Cest lui qui me l'apprenait. Et le soir, il ajoutait " Tu sais, je suis déçu par toute cette victoire sans pudeur des corrideurs. Il te faut du courage, moi, j'aurais baissé les bras. La chasse commence demain, je vais voir ces sales batards monter la rue et tirer des faisans d'élevage, des tueurs de poules. J'ai appris qu'une harde de cerfs allait être liquidée, ça fait trop de dégâts. Ma campagne est bientôt vide.".

Entre collines et ciel.
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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 10:37
Que ne ferait-on pas pour les papillons!

Vi vi vi, je sais, le Buddleia est une plante invasive, il faut la contenir, etc, etc. Oui, je sais.

J'en ai planté un ou deux il y a quelques années pour le simple bonheur des papillons qui avec le temps de ces derniers mois, ne sont vraiment pas à la fête cette année.

Mon laisser-aller de l'été 2012 où je planais sur mon petit nuage, la météo catastrophique qui a suivi, la très lourde neige de printemps et chez moi, les arbustes sont effondrés, couchés, bouchent le moindre passage et si je n'y remédie pas, au retour des pottok cela posera problème.

Alors, voilà, depuis 8 jours, sécateurs, faux, serpe, faucille, scie, ,je taille dans le vif et---misère, je déteste faire ça.Supprimer de la vie pour en sauver, quel dilemme!

Mais tant que celui-ci sera en fleur, je n'arriverai pas à me résoudre à en priver les papillons.

Son débordement mélangé de ronces et d'orties bénéficiera donc d'un sursis.

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 11:50
Ils passent par chez nous---

S'il vous reste quelques sous après votre soutien à l'UMP, bien évidemment.

Mais non, je rigooooole!

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