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16 décembre 2018 7 16 /12 /décembre /2018 10:12
Transe en danse
Transe en Danse et la nouvelle création de la compagnie Ke Ne Faire... Encore bébé, ce spectacle de jonglerie de feu sera joué pour la toute première fois pour l'arbre de Noël de la MVC Balichon le 19 décembre
 
C'est un spectacle poétique et enflammé, vecteur d'un message de paix. Un retour à nos racines ancestrales, où tout nous était possible.. Chaque numéro est une planète, ensemble, nous formons déjà une petite galaxie.
Il a été co-créé par quatre personnes de l'association, Paul Coumeig, Laurene julien, Bruno Berroy et Mary Jugé, dans le froid, le vent et la pluie de cette fin d'automne. Nous espérons continuer de le travailler, et le jouer de nombreuse fois !!
(Transe en Danse EST la nouvelle création de la compagnie Ke Ne Faire... ) 🙂
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29 octobre 2018 1 29 /10 /octobre /2018 17:35
Il cause, il cause---et il écrit.
Il cause, il cause---et il écrit.
Il cause, il cause---et il écrit.

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2 octobre 2018 2 02 /10 /octobre /2018 08:26

Râler ne suffit pas. Il faut agir.

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16 août 2018 4 16 /08 /août /2018 16:18

Crédit photo INA.
René Dumont, premier candidat écologiste de l'histoire, lors de la campagne présidentielle de 1974.
Pour mon premier vote, ( le droit de vote était à 21 ans à l'époque), j'ai eu la chance de pouvoir voter écolo, même s'il n'existait pas encore de parti écologiste et de participer aussi un peu à la campagne, depuis le Pays Basque. Fallait y croire! Dans la commune d'Uhart-Cize, René a obtenu 5 voix. IL y en avait quatre de la maison Uhaldia. On n'a jamais su qui était la cinquième personne-----



Si vous vous intéressez, ne serait-ce qu'un peu et de relativement loin au discours des écologistes, vous vous êtes peut-être rendu compte d'une certaine évolution sur un sujet bien précis : la croissance démographique.
Dans les années 70, ceux qui lançaient des cris d'alerte quant au risque pour l'humanité de trop saccager cette planète pour, à plus ou moins long terme, arriver à y survivre, mettaient  toujours en avant la bombe H, la bombe Humaine, cette croissance exponentielle de la démographie qui ne peut se poursuivre à l'infini car aucun système fini ne peut en contenir un sans fin.Nos slogans de l'époque " Make love, not babies" "Zero population growth" "Dieu a dit multipliez vous, mais il n'a pas dit par combien", etc. De grands écrivains, comme Marguerite Yourcenar, participaient à cette alarme.
Les premières recommandations que les associations telles "Jeunes et Nature "ou "Les Amis de la Terre" tentaient de faire passer à la population, comprenaient toujours le "deux enfants, pas plus".Depuis, les choses ont bien changé. Même dans les milieux écolos, aborder ce sujet, cela fait "mauvais genre" ou, si vous préférez, "politiquement incorrect".

René Dumont, agronome obsédé par la paupérisation des pays du Sud, y ajoutait, lui, le besoin absolu de généraliser le régime végétarien et  se l'appliquait à lui-même de manière très stricte ( ce qui, comme Théodore Monod  un autre végétarien célèbre, ne l'a pas "empêché de vivre longtemps). Quel rapport me direz-vous, entre la surpopulation terrienne  et la consommation de viande?  Je le laisse vous répondre:« Le riche homme blanc, avec sa surconsommation de viande et son manque de générosité envers les gens pauvres, agit tel un cannibale - un cannibale indirect. En consommant de la viande, ce qui a gaspillé tout le grain qui aurait pu les sauver, nous avons mangé les enfants du Sahel, de l'Éthiopie et du Bangladesh. Et nous continuons de les manger encore avec un appétit inassouvi. »




 

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23 juillet 2018 1 23 /07 /juillet /2018 17:04
Mout'ombre

Grand beau temps toute la journée. Sain, pas orageux. Oui, cela ,nous arrive, ce n'est pas courant, mais ça nous arrive. Ce matin, quand je me suis levée ( pas très tôt, j'avoue!),un groupe de brebis dont vous voyez  (vraiment très mal) la tache blanche en haut, était agglutiné dans l'ombre de la haie. Au fur et à mesure que la bande ombreuse diminuait, il se rapprochait de ladite haie jusqu'à ce qu'il n'y ait plus du tout d'ombre. Vers 12 h30, j'ai regardé la température à l'abri dans ma cour : 25 degrés, on ne peut pas franchement parler de canicule, d'autant que soufflait un agréable vent léger.

A 15 h, quand je suis descendue au potager, je me suis rendu compte que les brebis était à nouveau à l'ombre d'une haie, celle du bas, mitoyenne mais composée d'arbres et d'arbustes plantés par mes soins.

Cela m'a rappelé mon périple du 2 septembre 2016 au Col de Bentarte où je voyais les brebis faire le tour des pitons rocheux tout au fil de la journée afin d'échapper à la morsure du soleil. Et je ne vous parle pas des vaches qui cherchent l'abri de haies ou d'arbres inexistants les jours d'intempéries. Cependant, pour nombre d'éleveurs,la haie, l'arbre sont devenus l'ennemi à éradiquer.

Pourquoi? Oh, j'ai bien ma petite idée, parmi d'autres explications quelque chose style prime à l'herbe (PAC) au vu de photos prises par satellites. Mais je m'arrête là, on va encore dire que je suis mauvaise langue. Je sais bien que les conditions d'optention de certaines primes se sont très légèrement améliorées pour le milieu naturel ces dernières années. Mais une fois que le pli est pris--

 

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20 mai 2018 7 20 /05 /mai /2018 10:45
"Les oiseaux, tout le monde s'en fiche".
Un texte de Claude-Marie Vadrot

Pour le gouvernement, la chute de la biodiversité ne doit pas bouleverser les résultats de la Bourse.

Les automobilistes qui, depuis des années, ne trouvent plus des dizaines d’insectes écrasés sur leurs pare-brise au terme de leurs parcours, les conducteurs de la SNCF qui ne voient plus les oiseaux venir picorer l’avant de leurs motrices parce qu’ils n’y trouvent plus grand-chose à leur arrivée en gare, auraient dû y penser depuis longtemps : les insectes et les oiseaux disparaissent de l’espace français. Les premiers décimés par les insecticides répandus par les agriculteurs et les millions de citoyens qui brandissent une bombe insecticides dés qu’ils aperçoivent un minuscule animal volant ou rampant.

Quant aux oiseaux, qu’ils séjournent toute l’année dans le ciel de France ou qu’ils reviennent d’une pénible migration, ils ne trouvent plus grand-chose à se mettre dans le bec. Les hirondelles, par exemple, qui viennent d’arriver très en retard dans les villes françaises. Des cités dont les habitants et les maires nettoient frénétiquement les façades (ça fait sale…) en détruisant les nids abrités sous les toits. Cela est pourtant interdit par la loi sur la protection de la nature votée en 1978 et qui les protège, comme 577 autres oiseaux, minuscules comme le troglodyte, ou superbes comme le vautour fauve qui survole les Cévennes. Cette loi interdit leur chasse, leur capture et la destruction de leurs nids.

Oiseaux épuisés

De plus, les dérèglements climatiques perturbent tous les longs voyages de millions d’oiseaux migrateurs, les insectivores comme les autres, qui ne trouvent plus rien à manger quand ils parviennent en France et en Europe, de retour d’Afrique ou de leur hivernage sur les pourtours de la Méditerranée. D’autant plus que l’agro-industrie, quand l’un de ses produits mortifères est enfin interdit en Europe, le refile aux pays du sud.

Mais, comme le dit Nicolas Hulot, que les oiseaux disparaissent, que des hérissons, des lièvres, des visons d’Europe, des grands hamsters se fassent de plus en plus rares, tout le monde s’en fout. Et le ministre devrait se rendre compte que tout son gouvernement s’en fout également. La chute de la biodiversité ne peut pas bouleverser, en France et ailleurs, les résultats de la Bourse et des vedettes du CAC 40.

Soudain, tout le monde se réveille parce que des scientifiques lancent un nouvel avertissement. Comme si, depuis des années et même depuis que la biologiste américains Rachel Carson a publié son Printemps silencieux en 1963, tous les scientifiques n’expliquaient pas la déroute de la biodiversité. Cette déroute affecte tout le vivant, qu’il s’agisse du monde végétal ou du monde animal, terrestre ou marin.

Dans mon jardin, cela fait plusieurs années que je ne n’aperçois plus de chardonnerets, que les pinsons ont pratiquement disparus, que les linottes, les verdiers, les rouges-gorges, les troglodytes, les rouges-queues, les grimpereaux qui venaient débarrasser un tilleul de ses larves d’insectes, les grives, les fauvettes, se font de plus en plus rares. Quant aux moineaux, ils résistent plus efficacement à la campagne qu’en ville, mais ils sont moins nombreux sur les points de nourrissage avec lesquels je tente avec plus ou moins de succès, de sauver les oiseaux en perdition. Et je n’oublie pas les oiseaux retrouvés morts et les hirondelles qui ont déserté leur nid dans la grange depuis sept ans…

Plus grand monde au jardin

Chaque année désormais, je découvre des nids abandonnés, avec ou sans œufs, parce que le couple d’oiseaux a disparu, épuisé par le manque de nourriture, qu’il s’agisse de graines ou d’insectes. Parce que ces insectes sont éliminés par les produits répandus sans retenue par des agriculteurs intensifs et aussi hélas par des jardiniers amateurs ne supportant pas le vol d’un moucheron ou d’un moustique. Marqueur de cette disparition organisée par l’homme : la raréfaction des papillons. Toutes ces bestioles qui, comme les abeilles également éliminées, contribuent à la pollinisation des arbres fruitiers et de nombreux légumes. Les insectes sont également décimés par les brusques variations de températures printanières liées au désordre climatique.

Alors, quand fidèles à leurs habitudes les oiseaux arrivent de leurs migrations depuis le sud de la France ou des pays d’Afrique, ils doivent faire face à un manque de nourriture qui les éliminent lorsqu’ils arrivent dans mon jardin, leurs réserves épuisées par leurs voyages. Même les plus gros ont du mal à résister aux privations : à la fin du mois de février, j’ai vu des grues cendrées arrêtées sur un banc de sable de la Loire, incapables de reprendre leur périple vers le Nord tant elles étaient épuisées par le manque de nourriture. Même tragédie pour quelques cigognes privées des mollusques, des petits poissons et des batraciens qui font leur ordinaire. Car le recul de la biodiversité, touche également ces petits animaux auxquels nous ne prêtons guère attention parce que nous ne les voyons pas dans la nature. Quand aux hérissons ou à la chauve-souris, j’ouvre une bouteille quand j’aperçois un rescapé : cette année, une pipistrelle a survolé ma maison. Une seule.

Dans notre un univers où la moindre grande surface nous offre des dizaines de variétés de gâteaux, de nouilles ou de plats cuisinés, tous plus ou moins nocifs pour notre santé, nous ne prêtons aucune attention à la chute du nombre des oiseaux assassinés par notre mode de vie et l’exploitation ou la pollution de notre environnement.

Mais la nature, dans les gouvernements de technocrates qui nous gouvernent, combien de ministres et de hauts fonctionnaires ont déjà observé les oiseaux ? Combien connaissent leurs noms et leur mode d’existence ? Parmi les citoyens des villes combien savent que leurs modes de vie et de consommation tuent les oiseaux et d’autres espèces sauvages ? Combien s’indignent du sort des ours blancs, des dauphins, des baleines ou des requins, en oubliant qu’ils ne constituent qu’une part infime du vivant dont la planète a besoin .

 

                                                                                                       Claude-Marie Vadrot


 

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7 mars 2018 3 07 /03 /mars /2018 10:19
Retour (ou aller?) vers la sagesse

Je soutiens ce projet. Et vous?

Pour voter, c'est ici :

https://lafabrique-france.aviva.com/voting/projet/vue/30-1632

Retour (ou aller?) vers la sagesse
Description :

Notre association Graines de liberté est implantée en quartier “Politique de la Ville” à Bayonne.
Depuis 2012, nous créons des jardins participatifs sur les principes de la permaculture et des Incroyables Comestibles : « soigner la terre, nourrir les hommes et partager l’abondance ».
Nos projets sont en lien avec les collectivités locales, les acteurs de l’éducation, les bailleurs sociaux, les personnes en situation de handicap, le secteur de la santé, le développement durable, la transition écologique et l’économie sociale et solidaire. Nos activités nous permettent d’avoir un autofinancement à hauteur de 50%.

Depuis 2016, nous portons un projet de micro-ferme urbaine en permaculture dans le quartier prioritaire des Hauts de Ste Croix à Bayonne. En octobre 2017, une convention tripartite de mise à disposition d’une parcelle a été signée avec la Communauté d’Agglomération du Pays Basque et la Ville de Bayonne.
Le projet a pour objectifs la production d’aliments de qualité, la transmission de techniques agricoles respectueuses de l’environnement et de l’homme et la promotion d’une alimentation saine et responsable. Il contribuera à l’émergence d’une agriculture urbaine respectueuse de l’environnement et du vivant, en lien avec l’agriculture rurale du Pays Basque.

Nos actions seront la mise en place d’une zone test de production (maraîchage, agro-foresterie, petit élevage), des chantiers participatifs, des ateliers pédagogiques destinés aux enfants des écoles, des formations sur des thèmes tels que la permaculture, le jardinage et l’utilisation des plantes sauvages. Des ateliers cuisine permettront de transmettre d’autres modes alimentaires et de valoriser les savoir-faire culinaires des habitants du quartier. La production sera écoulée en circuits courts vers une cantine associative et un supermarché coopératif.
Cette micro-ferme urbaine sur un quartier prioritaire est le seul projet de ce type sur la Région Aquitaine.

La micro ferme urbaine, qui prendra la forme d’une coopérative avec une gouvernance adapté, favorisera la créativité grâce à un travail de fond sur le fonctionnement collaboratif avec une attention particulière aux différents processus de communication, de partage et de participation. Ce lieu ressource proposera des pratiques tournées vers l’écologie humaine et le respect du vivant telles que la communication non violente, la pédagogie active, l’art et la pleine conscience. 

Ce projet a une vision sur le long terme : des extensions sont possibles de 3 à 5 hectares au-delà de la parcelle test (1500m²), permettant le développement d’une activité économique locale via une production maraîchère et la formation professionnelle. Cet outil, véritable lieu laboratoire d’innovation agricole, sociale et d’applications aura une forte capacité d’inclusion, favorisant les transitions de vie. 

D’ores et déjà, de nombreux partenaires nous soutiennent, aussi bien publics que privés comme l’Agglomération, la Ville, le GIP-DSU, la Direction Départementale de la Cohésion Sociale, Aquitaine Active, des écoles et collèges, des établissements d’enseignement agricole, des MVC, des associations (Terre et humanisme, Artpiculture, CPIE, Conservatoire Régional d’Aquitaine…), des maraichers locaux, le Crédit Mutuel etc.

Faire partie des gagnants de La Fabrique Aviva nous permettrait de réaliser des investissements de matériels, d’outils, de matériaux et de faire appel à des personnes ressources, que ce soit pour la permaculture ou l’ingénierie du projet. Nous évaluons ce besoin à 25 000€.

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1 mars 2018 4 01 /03 /mars /2018 11:00
Noisette et Cassidy (Instrumental)
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27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 11:00
Consumérisme et rêves envolés

La maman de mon parrain, qui était aussi la cousine de mon papa n'avait pas la plume dans sa poche  Embauchée au magasin La Samaritaine, elle avait écrit un jour ce texte qui me ravit. Je n'ai pas la date exacte, ni même l'année, mais c'était, d'après son fils, entre 1972 et 1978.

Je dois quand-même à la vérité de dire que lorsque mes parents se sont installés dans la campagne basque en 1972, ils se sont trouvés devant l'impossibilité de se procurer  un certain nombre d'objets utilisés encore à l'époque hors des villes, comme une baratte de ménage, par exemple. Ils m'ont alors écrit pour me demander d'aller chercher tout ça à la Samar. Et j'ai tout trouvé. Et oui! Moi qui assiste hélas quotidiennement au grignotage de la nature en "zone rurale", je ne me sens donc pas plus étonnée que ça lorsque l'on me parle aujourd'hui du retour de la nature en ville.

 

"Hymne à l'environnement"

"Les paquets de café

Ah, ce que cela m'inspire

Ce n'est pas bien marrant

Ca pourrait être pire

Mais pour se consoler

Il y a les boîtes de lait

Et si l'on en a marre

Les boîtes de calamars

Et puis si l'on s'attarde

En vendant de la moutarde

Faut oublier la rogne

Du client qui grogne

S'il ne veut pas de conserve

On lui vendra d'la merde

Oh, beau prestidigitateur

Egaré au milieu du beurre

Devant une machine hostile

Près des clients faisant la file!

---Ne plus distribuer d'illusions

Ni de beaux rêves ni de mirages

Mais vendre sans grande conviction

Du lait, des Yogourts, du fromage

Toi, beau prince de la magie

Tu es "tombé" dans l'épicerie

Mais---il faut bien gagner sa vie

Et bien plus tard si tu en ris

Et que tu seras un vieillard

Tu n'oublieras pas la Samar"

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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 11:00
La Sainte-Marie à Glaignes

La Sainte-Marie à Glaignes

Plusieurs jours sans ordinateur m'ont laissé le loisir de faire un peu de rangement dans mes papiers et donné l'occasion de retrouver quelques lignes écrites par ma grand-mère paternelle, Marie Reculé. Elle était née en 1883, 70 ans jour pour jour avant moi et ces lignes sont extraites d'une  très longue lettre qu'elle écrivait à des cousines durant l'été 1961. 

Pauvre "mémé Chantilly", j'espère que de là où tu es, tu ne vois pas toutes les dégradations qui se sont abattues sur nos pays depuis, toi qui savais que la laideur, l'uniformisation et la banalisation des paysages sont destructeurs et mortifères pour l'esprit et par la même l'une des pires pollutions qui soient.

Au passage, notons que ces personnes allaient à l'école jusqu'à 9 ans. Je vous laisse commenter dans vos têtes.

"Je suis née dans le Valois, un pays charmant et pas trop touché par le progrès; on va parfois chercher bien loin le calme et la beauté lorsque l'on est à environ 45 minutes de Paris. Une rivière sinueuse, ombragée, coule dans l'étroit vallon et se jette dans l'Automne, un peu plus loin. Elle, c'est la Sainte-Marie qui a bercé mes nuits car, pas loin de nous, elle sautait sur quelques marches moussues et c'était un bruit à la fois gai et monotone, ce qui paraît difficile à concilier. J'en ai toujours la nostalgie"

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