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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 13:02


Bonjour,
La MNE de Pau a décidé de participer cette année aux journées nationales « Aux arbres citoyens » proposée par la FCPN (Fédération des Clubs Connaître et Protéger la Nature) et la LPO. Nous avons choisi de planter une haie champêtre à Garlin (64), chez un particulier, quartier de « la Bache ». Il s’agit pour nous de mener une action positive permettant à la fois l’enrichissement de la biodiversité locale et la sensibilisation du public à ces aménagements bocagers.
C'est l'événement:
http://mne-pau.org/spip.php?article26 
 
Nous avons le plaisir de vous inviter le vendredi 20 Novembre chemin Roudgé à Garlin à participer à la plantation de cette haie d’une centaine de mètres. 
A partir de 9h, la sortie scolaire que nous organisons sera principalement consacrée à des animations pédagogiques avec des classes de l’école élémentaire (CE2) et du collège Joseph Peyré de Garlin.

L’après-midi, à partir de 14h, une conférence de presse du Collectif Adour Eau Transparente et l’accueil des officiels invités permettra de se confronter à la réalité du terrain.

Sans oublier la plantation elle-même, toute la journée !

Vous pouvez participer à l’action "Plantons une haie à Garlin !"... Et si nous sommes nombreux, cela n’en sera que mieux !

N’oubliez ni vos bottes, ni votre bonne humeur ! Et, si possible, quelques outils (pelles, plantoirs, arrosoirs, fourches et rateaux pour le paillage, ...) et un petit casse-croûte.

Merci d’avance de votre participation !
Vous trouverez tous les détails utiles sur cette action en suivant ce lien:

Bien cordialement,
Xavier Bouchet,
Président de la Maison de la Nature et de l'Environnement de Pau
Villa du Domaine de Sers - 64000 - Pau


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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 09:00



On en 'Tremble" encore!----
Merci Monsieur Vigneault!


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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 08:00

 

Les éditions associatives Astobelarra / Le Grand Chardon sortiront bientôt leur sixième livre. Il s'agit de Wood'stown, un texte d'Alphonse Daudet illustré par Pierre Lahore originaire de Garindein.
Comme d'habitude, nous faisons circuler une souscription. Cette souscription nous permet de financer en douceur notre projet et nous permet également de privilégier la vente directe pour notre structure qui est son propre et unique distributeur.
Le prix du livre est de 4 euros, au lieu de 5 euros à la parution du livre le 1er décembre 2009.
Il est possible de télécharger la souscription sur le blog : http://astobelarra.over-blog.com/

L'équipe des éditions associatives Astobelarra / Le Grand Chardon

--> TÉLÉCHARGER LA SOUSCRIPTION AU FORMAT PDF<--

Astobelarra/ Le Grand Chardon argitaletxe elkarteak bere seigarren liburua argitaratuko du. "Wood'stown" titulua du, Alphonse Daudetek idatzia da eta Garindainen sortua den Pierre Lahorek apaindua.
Usaiako suskripzioa zabaltzen dugu. Honekin gure xedea diruztatzen dugu goxokiago baita gure egituraren banaketa sistema bakarra den salmenta xuxena lehenesten dugu.
Liburuaren prezioa 4 eurotan da horrela, aldiz 2009ko abenduaren lehenean liburua agertuko denean 5 eurotan izanen delarik.
Suskripzioa eskuratzen ahal da helbide honetan: http://astobelarra.over-blog.com/


Astobelarra / Le Grand Chardon argitaletxe elkarteko taldea.

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20 mai 2009 3 20 /05 /mai /2009 10:00
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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 18:00
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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 17:00


Vous voyez le figuier sur la photo ci-dessus, prise il y a quelques jours?
Je vais vous raconter son histoire.
Je ne me rappelle plus trop de quelle année il s'agit, disons-aux alentours de 78-79.  J'avais été invitée à passer une journée entière au Boucaü, la maison de Bernard et Henriette Charbonneau, à l'écart du village Béarnais de Saint Pé de Lerin.
Ce n'est pas tout à fait à côté de chez moi et pas très près non plus de quelque chose qui ressemblerait à une gare de chemin de fer. A l'époque, je me déplaçais à pied, à vélo et en stop, refusant catégoriquement de passer mon permis de conduire. Mais dans ce cas précis, le stop----, je risquais fort d'arriver après le départ des autres invités. Alors, me disant que cela pourrait toujours servir pour d'autres journées de ce style, je m'étais acheté d'occasion une petite moto.


Bernard Charbonneau  http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Charbonneau
m'avait prévenue : "Vous allez  traverser un océan de maïs semence, nous sommes au coeur d'un paysage livré entièrement aux vandales de l'agri-business. Mais le Boucaü est un ilôt de résistance. Nous tenons à notre petit bois de chênes ancestraux, à tel point que nous avons même refusé l'électricité car EDF déclare ne pas pouvoir l'installer sans faire une trouée d'importance dans ces arbres".
Effectivement, le Boucaü, dans le jardin de laquelle reposent aujourd'hui Henriette et Bernard, était bien à plus d'un titre un ilôt de résistance.
Ce jour là, j'ai eu cette chance de partager le repas  de la famille, en compagnie des frères Rodes, "historiques" de l'écologie en Béarn,

Roland de Miller
http://www.bibliecologie.com/
avec qui j'avais créé "Jeunes et Nature" à Paris en Février 69,
Pierre Lebaillif, mon complice du très remuant "Jeunes et Nature" en Pays Basque, disparu à l'âge de 32 ans en 1989
et aussi très intimidant pour moi, le sociologue Henri Lefebvre,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Lefebvre
pas toujours, loin de là, d'accord avec le maître de maison ni avec les autres invités, mais qui ne détestait pas en découdre verbalement.

Près de la maison, trônait un majestueux figuier qui avait pour habitude de marcotter.
Comme j'étais en émerveillement devant lui, Bernard Charbonneau est allé chercher un outil et a déterré une marcotte joliment racinée,  qu'il m'a offerte. J'ai rapporté chez moi, à moto,  ce bébé arbre, à l'abri sous mon blouson.
C'est lui que vous apercevez auprès de la mare que j'ai creusée ensuite, à la main, des années pus tard, puisque c'était en 1997. Il donne des fruits énormes et succulents auxquels nous goûtons fort peu car les cueillir au dessus de la mare et au dessus du ruisseau qui serpente à côté et en contrebas n'est pas une mince affaire, même avec des bottes de pêche! Certains oiseaux frugivores profitent de la situation et nul ne saurait les en blâmer.  Le Martin -pêcheur photogaphié ci-dessous par l'indispensable Lolo, s'etait posté, lui dans ses branches une semaine entière un certain mois de Février pour repérer les tritons présents en grand nombre dans la mare et foncer sur eux afin d'en faire son régal, pour le plus grand bien des tétards de grenouilles rousses et agiles  dévorés par les tritons en question.
Ses branches les plus basses, trempant dans la mare, s'empressent de raciner et je ne compte plus les petits enfants du figuier du Boucaü  que je peux ainsi offrir aux amis, avec une grande émotion, on comprendra aisément pourquoi.
Voilà, c'était l'histoire du figuier d'Uhaldia.

Mattin Arrantzalea, Monsieur Martin, le Martin-Pécheur du Figuier d'Uhaldia, grand amateur de tritons.

En prime, cet extrait d'un livre de Daniel Cerezuelle sur l'oeuvre de Bernard Charbonneau.
J'aime ce livre et j'aime tout particulièrement cet extrait qui me rappelle à tout moment ce pourquoi je me bats depuis toujours, contre vents et marées:


 « Pour Charbonneau, dans un monde qui tend à devenir totalement organisé, la protection de la nature est une nécessité non seulement pour éviter des désastres écologiques et assurer la sécurité de l’humanité mais aussi pour protéger le besoin humain de liberté. En effet, être à la fois naturel et spirituel, l’homme a un besoin vital de rencontrer une nature hors de lui, pour y éprouver charnellement sa liberté ainsi que la richesse du monde. A ce besoin le milieu industriel et technicien moderne ne peut répondre que d’une manière très limitée et une artificialisation excessive du monde humain finirait par engendrer la fin de la liberté humaine. »
In Ecologie et Liberté. Bernard Charbonneau, précurseur de l'écologie, politique. Par Daniel Cerezuelle.  Editions Parangon.


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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 17:00



Sitelle Torchepot dans le très vieux poirier devant ma fenêtre. Photo Lolo. Encore merci, Lolo.

Connaissez-vous  ce texte de Milan Kundera, dans "Les testaments trahis"?
Bien que pas encore à l'agonie, je  profite de cette présentation pour lancer un appel à ma fifille:  Itziar, quand la Sitelle et moi ne serons plus là, laisse tranquille le vieux poirier qui est devant la fenêtre.
Et tous les autres arbres, d'ailleurs!






"Ah, il est si facile de désobéir à un mort. Si malgré cela, parfois, on se soumet à sa volonté, ce n'est pas par peur, au contraire, c'est parce qu'on on l'aime et qu'on refuse de le croire mort. Si un vieux paysan à l'agonie a prié son fils de ne pas abattre le vieux poirier devant la fenêtre, le poirier ne sera pas abattu tant que le fils se souviendra avec amour de son père.
 
Cela n'a pas grand chose à faire avec une foi religieuse en la vie éternelle de l'âme. Tout simplement un mort que j'aime ne sera jamais mort pour moi: je l'ai aimé; non, je l'aime.
 
Et si je refuse de parler de mon amour pour lui au temps passé, cela veut dire que celui qui est mort est. C'est là peut-être que se trouve la dimension religieuse de 'homme. En effet, l'obéissance à la dernière volonté  est mystérieuse : elle dépasse toute réflexion pratique et rationnelle: le vieux paysan ne saura jamais, dans sa tombe si le vieux poirier est abattu ou non; pourtant il est impossible au fils qui l'aime de ne pas lui obéir.
 
Dans un souvenir, on ne retrouve pas la présence du mort; les souvenirs ne sont que la confirmation de son absence: dans les souvenirs, le mort n'est qu'un passé qui pâlit, qui s'éloigne, inaccessible. Pourtant, s'il m'est impossible de jamais tenir pour mort l'être que j'aime, comment se manifestera sa présence? Dans sa volonté que je connais et à laquelle je resterai fidèle. Je pense au vieux poirier qui restera devant la fenêtre tant que le fils du paysan sera vivant."

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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 07:00
http://www.fcpn.org/
Contez les arbres
Participez au concours de conte et de poésie organisé par la FCPN et La Garance voyageuse. De nombreux lots à gagner !
La FCPN propose
sa nouvelle campagne
d’éducation à la nature
ADOPTER un arbre près de chez soi
DÉCOUVRIR la vie des arbres
SOIGNER les arbres malades
DISSÉMINER des graines et des plants d’arbre

Participez à la campagne en téléchargeant le livret "Aux arbres, citoyens !"



 
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 17:00


Photo : Luc Romann.

http://agenda.compositeur.net/



J'ai demandé à Jean-Claude Touzeil : 

http://biloba.over-blog.com/

http://donner-a-voir.com/auteurs/auteur_touzeil.html

de me présenter l'association "50 000 Chênes". Il l'a fait. En voici la preuve :

Il y a une quinzaine d'années, la communauté de communes du bocage d'Athis, dans l'Orne (61),souhaitait créer une association pour faciliter la mise en place d'une opération de plantation et/ou restauration des haies dans le bocage. Avec un groupe d'amis des arbres, nous nous sommes proposés pour animer l'association "50.000 chênes". C'est une association de type loi 1901 avec déclaration en préfecture et tout et tout.

Au début, notre rôle était de constituer une sorte de courroie de transmission entre la Communauté des Communes. et les planteurs. Parallèlement, ce projet se doublait d'une volonté de faire de la réinsertion puisque (pour ceux qui le désiraient) les plantations étaient assurées par une équipe de travailleurs dits "sociaux"...
Plus tard, nous est venue l'idée de créer un arboretum "éclaté" sur les 16 communes de la communauté en y plantant une bonne centaine de chênes, tous différents, mais tous appartenant au genre "Quercus". C'est maintenant chose faite et nous procédons actuellement à leur "immatriculation" avec une belle plaque fixée sur un rocher de granite, la pierre noble de la région.
Ce qui m'a plu dans le projet, c'est le fait de planter pour les 100 ou 200 ans (au minimum !) à venir... Et j'ai apprécié que le "politique" nous suive.




Dans  un jeune chêne d'Uhaldia. Photo Lolo. Merci Lolo!


L’Histoire nous apprend qu’au XI° siècle Guillaume le Conquérant fit abattre 50 à 60.000 chênes  pédonculés, prélevés dans le bocage normand, pour construire la flotte qui lui permit de conquérir l’Angleterre.

  Sous l’égide de la Communauté de Communes du Bocage d’Athis, l’association « 50.000 chênes » a été créée en 1996, dans le but d’entretenir ou de restaurer le paysage bocager par la plantation d’arbres et arbustes, d’une trentaine d’espèces locales.
Depuis cette date, plusieurs dizaines de kilomètres de haies et de chemins ont été régénérés, pour le plaisir de tous et le mieux-être de la nature.
Parallèlement, l’association a planté, sur le territoire de la Communauté de Communes. et à proximité des chemins de randonnée, plus d’une centaine de chênes « remarquables » d’espèces différentes, constituant ainsi un arboretum « éclaté », probablement unique en France.Le visiteur un peu curieux remarquera qu’un symbole permet de localiser sur la carte la plupart des chênes de l'arboretum.  D’autre part, sur le terrain, chaque sujet est identifié par une plaque scellée sur une pierre de granite.
L’amateur de Quercus pourra se procurer la liste complète des chênes de l’arboretum avec leur situation précise au Point Régional d’Information de la Roche d’Oëtre ou à l’Office du Tourisme d’Athis.


La soeur des arbres que je suis ne peut que se réjouir à cette évocation, d'autant que je me souviens de certaine promenade en bocage Domfrontais, au tout début des années 70, avec François Terrasson, 
http://www.bibliecologie.com/e-terrasson.html
fondateur de "Défense et Renaissance du Bocage".




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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 09:00

Lors de mon adolescence, autour de moi, j'entendais chanter l'Internationale  et d'autres chansons communément dénommées "révolutionnaires".


Avec mes copains de "Jeunes et Nature", aux côtés de FrançoisTerrasson http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Terrasson
avec son association "Défense et renaissance du bocage", nous avions nos propres chansons révolutionnaires, beaucoup plus teintées de vert que de rouge. Elles étaient et sont révolutionnaires en ce sens qu'elles se dressent contre la dictature absolue de la technique, contre l'écrasement des personnes et de la nature sous le rouleau-compresserur d'un soi-disant progrès.
Madame la Colline, de Gilles Servat, chant de révolte contre les travaux connexes au remembrement en Bretagne, étaient de celles-là. Je ne l'ai jamais vraiment oubliée mais depuis le terrible orage de Juin dernier et l'inondation de ma maison,  elle passe à nouveau en boucle dans ma tête. Ce jour là, y' avait pas photo: la puissance dévastatrice  des torrents qui se formaient empruntait bien le chemin des  haies qu'avaient plantées les anciens  et que les  deux dernières générations ont mis  le plus grand soin à arracher systématiquement.
Je ne peux m'empêcher de penser à cet étudiant trotskyste qui, en 70, alors qu'au pied de la tour Jussieu, nous tentions d'informer sur le  massacre qui se préparait dans le Parc de la Vanoise, nous avait déclaré "La nature est un concept bourgeois" et à qui j'avais répondu "Et toi, tu es un con tout court".
Peut-être,aujourd'hui comme beaucoup de ses semblables, roule-t-il en un rutilant 4x4 sur les Champs-Elysés, peut-être a-t-il voté Sarko lors des dernières présidentielles. Pas moi.



Paroles de Litanies pour l'an 2000 Chansons de Gilles Servat Paroles de Mon coeur ne s'habituera jamais


Quelques-uns de mes enfants arbres. Le vilain  poteau téléphonique, métallique de surcroît,  n' en fait pas partie mais fut bouché par les soins de ma famille en 1981, pour sauver la vie des oiseaux cavernicoles, des écureuils, etc.



Madame la Colline
Imprimer la chanson Madame la Colline de Gilles Servat à partir d'une fenêtre en mode texte et sans publicité  :-) Envoyer le texte Madame la Colline de Gilles Servat à un ami Favori 

Vous êtes jaune et desséchée
Pourquoi madame la Colline
Mes racines ont arraché
Je n'ai plus d'eau dans ma poitrine

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits

Dans les dessous de mes fossés
L'ombre était douce et accueillante
Les animaux pour se soigner
Y trouvait des herbes et des plantes

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits

Beau rossignol du bois joli
Si tu nous quittes pour toujours
Qui chantera pendant la nuit
Nos doux messages à nos amours

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits

C'est notre histoire que nous gravions
Dans les sillons de nos cultures
Chaque champ portait par son nom
Témoignage de notre culture

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits

Les noms et les mots, on les rase
Les champs reçoivent un numéro
Pour notre histoire et pour nos phrases
Le numéro c'est le zéro

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits

Mais pourquoi tant d'acharnement
A vouloir que tout on arrache
Est-ce que c'est pour le rendement
Ou pour que personne ne s'y cache

Et l'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
Dans les prairies, l'herbe était si belle
L'eau s'enfuit, s'enfuit, s'enfuit
J'entends taper le seau sur le fond du puits
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