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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 09:48
81.amama

Présentation du documentaire

81. Amama (Grand-Mère, génération 81)

Réalisé par Izaro Glez Ieregi en 2013

Ce dimanche 16 février à 15 heures

A la maison des associations Eihartzea, à Hasparren.

Entrée gratuite.

Organisé par l’association Emazteek Diote.

 

 Le documentaire 81. Amama  rassemble les différentes générations de femmes du XXe siècle à travers le témoignage des grand-mères et de leurs petites filles. Le lien unissant ces femmes est d’être toutes issues de la ferme. Elles sont nées et ont vécu leur enfance dans une ferme, mais, jeunes, elles sont parties vivre en ville ou hors de la ferme. La jeune génération de femmes présentée dans le documentaire a un lien avec la ferme par leurs grand-mères. La réalisatrice, Izaro Glez Ieregi a voulu réfléchir sur la transmission de la culture et de la langue basques et montrer tous les bouleversements que la société basque traditionnelle et rurale a connus en interrogeant ces femmes des sept provinces du Pays Basque.

 

Izaro Glez Ieregi a choisi de manière symbolique la ferme où chaque femme est née comme lieu de tournage. Chaque « Amama » a ainsi témoigné devant sa maison natale, ou de l’endroit où se trouvait la ferme pour certaines, telles Ana Mouesca, Angèle Mendiboure, Jeanne Davant, Margaita Etxeleku, Jana-Mari Etxemendi et Kristina Sabarots pour le Pays Basque Nord.

 

Le titre « 81. Amama » se veut un clin d’œil à l’œuvre du sculpteur Oteiza « Quousque tandem… ! » écrite en 1963, dans laquelle il définissait les gens de cette époque comme étant de la génération 80. Pour donner suite à cette génération, celle des « Amama » est de la génération 81, d’après Izaro Glez Ieregi.

 

Nous vous invitons à découvrir ce documentaire.

 

EMAZTEEK DIOTE

 Eihartzea elkartean etxea

 81, Françis Jammes karrika

64240 Hazparne
Tel: 05.59.29.16.08

 

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27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 09:00
Le 27 décembre 1913, maman.

Le 27 décembre 1913 naissait notre maman à mon frère et à moi.

Il y aurait bien des manières de célébrer  cet anniversaire, d'honorer celle qui fut ma complice favorite et ma meilleure amie avant de sombrer dans l'horreur d'Alzheimer. Il fallait faire un choix.  J'ai fait celui de la musique, la danse, quelques chansons. Celles qu'elle aimait particulièrement. Et certaines, celles qui parlaient du pays, quel que soit le pays, lui tiraient la larme à l'oeil.

Et puis, il y a Piaf avec cette chanson irrévérencieuse, Colette Renard et Irma la douce qu'elle fredonnait en me conduisant à l'école maternelle. Et aussi Gastibelza -Victor Hugo et Brassens- qu'elle chantait avec mon frère.Et puis un bon petit coup de Charleston dont elle était la reine, tiens même peut-être plus grande que Joséphine, qu'elle aimait tant et que nous avions rencontrée un jour toutes les deux alors qu'elle achetait des vêtements pour ses enfants dans un magasin de l'avenue Niel à Paris. Et encore les merveilleux "Nuages" de son cher Django.

Allez, je n'oublie pas "Si on chantait" qu'elle fredonnait dans la cuisine d' Uhaldia   tant que papa était avec nous, car ensuite elle n'as plus chanté..

Bon, je ne sais pas si ça sera dans l'ordre. Pardonnez-moi, c'est l'émotion et peu importe.

Tu sais, maman, j'ajoute une chanson de Melaine Favennec. Tu ne le connaissais pas. Mais tu aimais tant la Bretagne! Et je suis certaine que tu l'aurais aimé lui, en particulier à travers cette chanson "Trois notes à mon piano" qui évoque  si bien  la transmission.

T'inquiète, ama, rien de ce que tu nous a transmis ne s'est perdu.

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 17:16
Fatals Picards contre Gros con

Comme un petit air de Renaud.

Et vive la Picardie et les Fatals, tiens!

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 09:10
Prosti-tueurs?

Un communiqué d'Emazteek diote.

Féminin / Masculin :

            Où en sommes-nous ?      

Emazteek Diote vous invite à en débattre

 le 23 octobre à 20h30

            à Eihartzea 81 rue Francis Jammes à Hazparne

Avec la participation exceptionnelle de 2 membres actifs de

« Zéro Macho »

 

Pour faire suite à notre débat du 8 mars dernier (Principe féminin, Principe masculin, Valeurs masculines, Valeurs féminines) nous vous invitons à poursuivre la réflexion.

Le réseau international Zéro Macho : « Des hommes de tous pays, âges, origines et professions qui disent publiquement NON au machisme, en particulier sous sa forme extrême qu'est la prostitution »

Après une présentation de « Zéro Macho », de leurs valeurs, de leurs combats, nous reviendrons sur leur dernière pétition contre le système prostituteur.

La parole sera ensuite donnée aux participant(e)s.

Nous vous attendons nombreux-ses.             

 

Feminino/Maskulino : Zertan guade ?

 

Emazteek Diote eztabaida batera gonbidatzen zaituzte

« Zéro Macho » taldearen 2 kideren parte hartzearekin

Urriaren 23a asteazkenarekin 20h30tan

 

Joan den martxoaren 8ko debateari jarraipena emateko (Principe féminin, Principe masculin : Valeurs masculines, Valeurs féminines), gogoetatzera  gonbidatzen zaituztegu.

Zero Macho sare internazionala : »mundu osoko, adin, jatorri eta lanbide guztietako gizonak, matxismoari eta bereziki bere muturreko jarrerari : protituzioari, publikoki EZ erraiten dute, ».

Zéro Macho taldean baloreen eta borroken aurkespenaren ondotik beren prostituzioaren aurkako azken petizioaz hitz egin dugu.

Ondoren hitza parte hartzaileei emanen zaie.

Numbre handian itxoiten zaituztegu

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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 09:34
Photo parue dans la page Facebook de "Zéromacho".

Photo parue dans la page Facebook de "Zéromacho".

Une contribution d'Henri Boulbès

 

"Un article dont le moins qu'on puisse dire est qu'il est très complaisant. Qu'on en juge : le bordel est présenté comme un lieu convivial, ""tapas et tapins"(dans l'URL), les "clients français [sont nombreux à en ] raffoler" ; c'est "un bar bien connu pour les délices qu’il recèle", et ses habitués "l'appellent communément "la F" – en quelque sorte le petit bar sympa du coin ! Quant aux prostituées, elles viennent, selon le tenancier, d'un "pays de cocagne", d'un "eldorado". L'article précise d'une île "réputée pour la prostitution" – comme la région de Bordeaux pour ses grands vins ! L'article ne se demande pas ni pourquoi ni comment elles sont venues, par quelle filière, et ne les interroge pas là-dessus. Il reprend, sans la moindre distance, l'affirmation de l'une d'entre elles, qui assure "qu’elle travaille pour elle, sans contrainte. J’aime ce que je fais. Je suis libre". Il ne s'interroge pas non plus sur leur devenir après La Frontera : pourquoi n'y restent-elles que 21 jours ? Où vont-elles ? A la boite de nuit King size du même proxénète ? Même flou sur la destination de l'argent. Peut-on croire qu'elles ne versent qu'une pension -"logées, nourries, blanchies" – et qu'elles empochent ce qu'elle gagnent". Leur vie dans ce bordel est-elle aussi idyllique que voudrait le faire croire l'article ? Toutes ces questions ne sont pas posées, le glauque, le sordide, la violence, les souffrances, sont gommées..... Du côté clients, qui, avant, allaient voir des "films coquins", ils sont des "lapins" - ce qui, en France, n'est pas une injure, au contraire. On reconnaît là le discours égrillard qui a servi et sert encore à légitimer les bordels. De plus, ils sont présentés comme inoffensifs, ce sont "des mal-aimés, vieux beaux narcissiques, jeunes puceaux hésitants et autres amateurs de sensations fortes". Même en bande ils sont "habillés comme un carré d’as. Parfumés, bien coiffés", et ils sont un peu pathétiques (les vieux beaux), touchants (les puceaux), voire naïfs quand ils s'imaginent être choisis... La violence de la prostitution et du proxénétisme est, là encore, effacée : on pourrait presque croire que le bordel est le monde des bisounours ! Pas de recul critique non plus sur la prostitution, qui est "le plus vieux métier du monde", ce sont des "ouvrières du sexe", qui attendent le "client" : la relation prostitutionelle est admise sans discussion comme un acte économique ordinaire. Conclusion : sans le dire ouvertement, l'article fait, clairement, l'apologie de la prostitution et prend la défense des bordels. A l'heure ou se prépare un grand débat sur la pénalisation des clients, il nest pas inutile de rappeler que d'autres hommes dénoncent la réalité de la prostitution, et travaillent à son abolition. Entre autres, ceux du réseau Zéromacho : je vous invite à consulter leur site ; il est riche d'informations, de témoignages, et de réflexions qui permettent de répondre aux arguments et aux clichés éculés de ce genre d'article."

NB: le titre de ce "post" est de la blogueuse, qui assume. Non content de faire à longueur de pages la retape pour la torture des taureaux dans les arènes, "notre" grand quotidien régional en fait maintenant aussi pour la traite des femmes.

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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 08:10
Ce que le féminisme a apporté aux hommes.

Une contribution d'Henri Boulbès.



Ce que le féminisme a apporté aux hommes.
Ou à un homme, moi en l'occurrence.


Quelques remarques préliminaires :
1 Nous sommes en effet en devenir; nous recevons chaque jour des informations nouvelles, nous faisons d'autres réflexions, nous éprouvons d'autres sentiments, nous recevons de nouvelles impressions. Le monde et la vie charrient vers nous un flot continu qui vient battre notre esprit et notre cœur, les pénètre, y laisse des sédiments qui se superposent et se remodèlent sans cesse. Dans ces conditions, comment distinguer ce que nous devons à telle personne, à telle lecture, à tel évènement ?

2 En l'espèce, comment distinguer ce qui m'est venu du féminisme proprement dit de ce qui m'est venu de mai 68, des évènements qui l'ont précédé et suivi, de mon milieu, des évolutions de la pensée pendant cette période ?

3 Et enfin, parle-t-on en parlant de féminisme d'un courant politique constitué, d'une sensibilité, d'une réalité extérieure ? En d'autres termes, est-ce l'évolution générale des mœurs qui est visée par ce mot ? Une sensibilité qui s'est répandue, chez les femmes, mais aussi chez les hommes ? Une pratique militante ?

et une réponse :
Quand j'ai eu vingt ans, la grande question était celle de l'égalité entre hommes et femmes, dans la vie et au travail. L'égalité ne peut pas être un vain mot pour un fils de pauvre. Ce principe m'a paru d'emblée évident. J'ai senti aussi qu'on ne pouvait pas l'affirmer sans le mettre aussitôt en pratique. (Ce qui n'est pas le cas de tous les principes !) Il m'a fait accepter comme allant de soi le partage des tâches ménagères et éducatives.

Il m'a permis ainsi de me situer par rapport à mon milieu d'origine, non pas par la révolte, ni par l'opposition frontale, mais par un comportement : en m'occupant presque ostensiblement de mon fils. Je crois que j'ai achevé ainsi - incomplètement toutefois - la rupture que mes études avaient commencée. Non seulement j'avais une autre culture, je vivais ailleurs, en ville, mais encore j'étais homme différemment.

Dès cette époque, je n'aimais pas être "entre hommes", peut-être parce que je l'avais trop été (en internat), peut-être parce que ma timidité m'interdisait de m'y comporter de la manière attendue. Mais aussi parce que je sentais confusément que l'ambiance entre hommes a quelque chose de faux. On y ment, et on se ment. Les généralités sur "les femmes " me crispaient. De même les obscénités, plaisanteries grasses etc. me faisaient mal, sans que je sache encore très bien pourquoi. Le féminisme m'a conforté dans ce dégoût, en lui donnant une légitimité, et en me faisant comprendre quel mépris ou quelle peur recouvrent ces comportements masculins. Plus anecdotique : il m'a permis de n'avoir pas trop honte de mon ignorance crasse en mécanique, et de mon désintérêt à peu près entier pour les sports d'équipe ! C'est toujours la même rupture, avec un milieu, une culture, une éducation.

Mais on ne guérit jamais tout à fait de son enfance. Le modèle ancien m'imprégnait. Une part de moi aurait sans doute souhaité s'y conformer. J'aurais aussi voulu être un sportif, un conquérant, un séducteur, un chef etc..., affirmer d'une manière ou d'une autre une domination, une supériorité. D'où des conflits intérieurs, des exaspérations, des incompréhensions, etc. Il est difficile, voire parfois douloureux, ne ne pas tenir les rôles auxquels on a été préparé. Ce n'est que plus tard, par ma compagne, que je l'ai compris. J'ai pu, plus ou moins bien, surmonter ces contradictions. Le féminisme m'a donc donné une clé pour entrer en moi-même et ne pas y être entièrement perdu. La connaissance de soi ne se fait que par des remises en question. Le féminisme m'a permis d'avancer dans cette connaissance. Je crois qu'il a été, qu'il est toujours, un des chemins d'un certain accomplissement, très imparfait certes, et qui ne sera jamais achevé. Grâce à lui, je peux ne pas trop mépriser ni moi-même ni mon parcours. Je peux considérer qu'il figure au nombre des deux ou trois choses que je n'ai pas trop ratées...

Enfin, se connaître soi-même, c'est aussi mieux connaître les autres, et mieux vivre avec eux. À travers ce que je lis, entends, à travers nos discussions, j'ai l'impression d'avancer dans la découverte de ce qui était pour moi un "continent noir", les femmes. J'ai certes été sensible très tôt aux stéréotypes, et aux manifestations de sexisme les plus outrées. Mais je n'avais pas toujours compris, et moins encore ressenti, les souffrances qui en découlent… Je crois donc qu'à travers lui, c'est le monde que je perçois autrement, que je ressens autrement, avec plus de richesse, et plus de justesse.

Je pourrais dire que mon "féminisme" a donc été d'abord concret, je voulais qu'il se traduise surtout dans les gestes quotidiens, ce qui somme toute a encore un relent de machisme. (Cela a pour certains l'air d'une faveur : "je t'octroie le privilège de me voir te faire la vaisselle !") Il est ensuite devenu plus intellectuel, plus abstrait. Il devient plus sensible, et donc plus vrai : c'est un peu comme si je me débarrassais enfin de scories machistes bien encombrantes…

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 18:53

 

 

L’association Itzal aktiboa et la Municipalité de Saint Jean Pied de Port sont heureux de vous inviter à la conférence « LE STATUT JURIDIQUE DE LA FEMME
BASQUE SOUS L’ANCIEN REGIME » par MAÏTE LAFOURCADE, professeur émérite de l'Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA), organisée pour marquer
la Journée Internationale de la Femme le jeudi 7 mars 2013 à 18h30 dans la Salle d’honneur de la Mairie de Saint Jean Pied de Port. Un vin d’honneur suivra à
l’occasion de l’inauguration de l’exposition L’Art au Féminin VII – EmazteArtea Garazin

Evelyne-Herisson-7b-copie-1.jpg

Une oeuvre d'Evelyne Herisson.

L’Art au Féminin VII :
Exposition des œuvres de sept femmes artistes vivant et travaillant en Pays Basque
du 8 mars au 6 avril 2013

dans la salle d’exposition de la Mairie
du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 14h à 17h30
et au 7 et 22, rue de la Citadelle à Saint Jean Pied de Port
les jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 15h à 18h
et sur rendez-vous : 06 71 00 57 23

Evelyne Hérisson a fait les Beaux-Arts à Toulouse. Bayonnaise d’adoption, de descendance italienne par sa mère, elle nous amène dans un monde parsemé de
références classiques dans lequel plane une incertitude inquiétante.

Maïtxu Juantorena vit et travaille à Saint Etienne de Baigorry. Après les Arts Appliqués de la Gironde, elle séjourne à Paris, puis sur la Côte Basque. Ses
peintures, d’une délicatesse florale, nous ouvrent les portes à un environnement imaginaire.

Mariemi Otaola met en dialogue la musique et la sculpture. Elle vit et travaille à Bilbao, où elle chante et fait partie de deux groupes de musique baroque. Elle
pratique le dessin, la peinture, la céramique et la photographie. Mais le centre de son travail est la sculpture.

Nisa Goiburu vit et travaille à Tolosa. Elle peint, sculpte, tisse. Surréaliste dans ses débuts, sa peinture a évolué vers un expressionnisme dans lequel tout
matériau lui est bon pour transmettre un sens intime et palpable de la valeur de la vie.

Sandra Dessalines est née en Haïti et elle vit à Uhart-Cize avec son mari, vétérinaire, et leurs deux enfants. Artiste autodidacte, elle se sert de papier-mâché et
de peintures à l’huile pour reproduire des scènes de son île natale – marchés, danseurs, rites vaudou.

Josette Dacosta rejoint le courant expressionniste. Utilisant des peintures à l’huile, à l’acrylique et des pigments, elle crée des tableaux riches en couleurs et en
matières. Née à Bordeaux, elle a son atelier à St Jean Pied de Port.

Virginia Santos Itoiz vit et travaille à Pampelune, sa ville natale. Diplômée des beaux-arts par l’Université du Pays Basque, elle explore l’intimité du corps humain :
peau, visage, cheveux, regards de personnes âgées et jeunes

Pour accompagner la visite, l’Association Itzal aktiboa propose un jeu-guide pour les enfants, en français et en basque, ainsi que des ateliers


 


 


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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 21:00

 

et je ne résiste pas au petit clin d'oeil plus que nostalgique  à la Dom:

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 12:55

affiche_8_mars_2012-2.jpg

 

(En français tout de suite)

Elkarte feministak eta lesbofobia borrokatzen dutenak (Bortizkeria sexistan aurkako kolektibo feminista, Emazteek diote, Planning Familiarra 64 Kostaldea, SOS homophobie) elkartu dira Ipar Euskal Herrian martxoaren 8ko borrokei lotzeko. Jakinean baikaude gaia interesatzen zaizuela, gomitatzen zaituztegu ozenki aldarrikatzera zinez beharrezkoa dela emazte eta gizonen arteko berdintasuna lortzea , bai eta generoari eta joera sexualei lotu bazterkerien aurka ekitea. 

Martxoaren 8an 18 : 30etan, ELKARRETARATZEA Baionako Herriko etxean. Ondoan igortzen dizuegun zerrendako ekintzetan ere parte hartuko dugu.  Aperitiboa proposatzen dugu, L’Autre cinéma gelan, filma aitzin. 

EUSKAL HERRIAN ALDAKETA FEMINISTA!

2012ko Martxoaren 8  Emazteen borroken nazioarteko eguna

*Martxoaren 5ean astelehena

Baiona L’Atalante-n 19:00etan Attac kafea

*Martxoaren 8an osteguna 

Baiona Glain-en 10:00etatik 17:00etara Journée internationale de la femme actrice de sa vie en Pays Basque foruma

Baiona Herriko Etxean 18:30etan elkarretaratzea

Baiona L’Autre cinéma-n 20:00etan Sur la Planche filma (Urrupaldia 19:15etatik landa eta Slam/Kantua film aitzinean)

Biarritz Le Royal-en 21:00etan Albert Nobbs filma 

Bokale Vaillant-Couturier  salan 20:30etan F comme elles antzes lana

Hazparne Haritz Barnen 21:00etan Louise Wimmer filma

Hendaia Sokoko biribilgunean 19:00etan elkarretaratzea.Ondoan bertso afaria

Herri anitzetan emazteek otoruntza  batez ospatzen dute

*Martxoaren 9an ostirala

Hazparne Elgar zentroa 14:30tik 16:30ra Notre relation à notre corps de femme lankia

……………………….

 

 

Les organisations féministes et celles luttant contre la lesbophobie locales ( Collectif féministe contre les violences sexistes, Emazteek diote, Planning Familial64 Côte Basque , SOS homophobie ) ont uni leurs forces pour initier un 8 mars de luttes à Bayonne et dans plusieurs autres communes du Pays Basque . Nous savons votre intérêt pour cette cause et nous vous invitons à témoigner massivement à cette occasion votre volonté pour la  conquête de l’égalité femmes hommes et de lutte contre les discriminations de genre et d’orientations sexuelles.

RASSEMBLEMENT le 8 mars à 18h 30 devant la mairie de Bayonne .

Autres actions auxquelles nous participerons  recensées sur la liste ci-dessous.

Apéro proposé avant le film, à l’Autre Cinéma.

 

 

PAS DE CHANGEMENT SOCIAL SANS LES FEMMES !

 

 

8 mars 2012 journée internationale de luttes des femmes

 

*Lundi 5 mars 

Bayonne l’Atalante 19:00 Attac café

*Jeudi 8  mars

Bayonne Glain de 10 à 17h Forum « Journée internationale de la Femme actrice de sa vie en Pays Basque »

Bayonne mairie 18h 30 RASSEMBLEMENT

Bayonne L’Autre cinéma : apéro proposé à l’entrée à 19h15

20h Film Sur la Planche Avant le film Chant / Slam avec Linda Ellook, Sabiatu N’Joia, Laure mollier et Fatima Khelif

 Biarritz Le Royal, 21h 00 film Albert Nobbs

Boucau salle Vaillant-Couturier 20:30 théâtre, F comme elles

Hasparren salle Haritz Barne 21:00 film  Louise Wimmer et débat

Hendaye rond-point de Sokoa 9h 00 rassemblement suivi de dinner et bertso

Dans des villes et villages les femmes se retrouvent pour  un repas

*Vendredi 9 mars

Hasparren centre Elgar 14h 30 - 16h 30 atelier Notre relation à notre corps de femme 

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 20:45

 

  http://mixcite.rennes.free.fr/local/cache-vignettes/L421xH526/campagne-6e777.jpg

Jamais je n'oublierai Maritxu, marraine de ma fille, qui fut l'une des fondatrices d'"Emazteek diote".

Quelques réflexions sur le jouet,

Olentzero, Père Noël,

 

Faisons un vrai cadeau !!

- Offrons des jouets, livres, sans tenir compte des stéréotypes;

- Offrons des jouets qui respectent les ouvrières et ouvriers du monde entier, développons à long terme d'autres relations entre hommes et femmes, et entre peuples du monde. Renforçons les valeurs de complémentarité, de solidarité, de justice, de respect, de liberté...

 

Une autre manière de vivre est possible !

D'autres relations sont possibles entre femmes et hommes !

 

Combattons la dangerosité des jouets en plastique

Nous appelons les parents à la plus grande prudence dans les achats de jouets. La responsabilité des matières plastiques, y compris celles dites alimentaires (phatates, bisphenol A), est admise dans les troubles hormonaux et l'hyperactivité. Les emballages alimentaires, la vaisselle, les couverts en plastique et les jouets, que les enfants portent si facilement à la bouche sont à éviter.

 

Combattons les Violations de droits a la chaîne

Entre 70% et 80% de nos jouets sont «made in China». En septembre 2011, en plein pic de production pour Noël, les ouvrières chinoises de Jida Toy ont travaillé 11 heures par jour, 6 jours sur 7, soit bien au delà de la limite légale autorisée. En août, elles n'avaient déjà eu qu'une seule journée de repos. Les délais de livraison beaucoup trop courts imposés par Mattel à son fournisseur contraignent les ouvrières a un rythme de production inhumain. La concurrence entre les usines chinoises ( Jida Toy, Dongguan …...), fragilise encore davantage la situation des ouvrières qui sont loin de percevoir un salaire décent. Les ouvrières sont également victimes de discriminations de genre. Nombre d'entre elles ont notamment confié aux enquêteurs subir différentes formes de harcèlement sexuel.

 

La liste des violations des droits de ces ouvrières et ouvriers est longue ( pétition à signer sur www.peuples-solidaires.org ), adressée à la fédération internationale des industries du jouet.

 

Combattons les stéréotypes

Le jouet participe à la construction de l'identité de l'enfant, c'est un objet d'éducation, de transmission de valeurs respectueuses des personnes humaines, de tous les êtres vivants...

Permettons-leur quelque soit leur genre, de jouer avec dînettes, voitures, maquillages, jeux de société coopératifs, jeux de construction. N'agissons plus sous la pression des publicités et du conformisme. Transmettons aux enfants une autre vision du monde, tenons compte de leur santé présente et à venir. Offrons des jouets écologiques-éthiques, achetons dans d'autres lieux que les supermarchés-multinationales .

Tous c'est qui est bio-écologique n'est pas éthique et tous c'est qui est éthique n'est pas bio-écologique.

 

Sites Internet :

 

A lire :

  •  
  •  
    • Etxerako moduko gida ( Maria Jose Urruzola )

Contact : emazteek-diote@wanadoo.fr eta karkaila elkartea

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