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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 10:00
Qui les remplacera?

Quand ils ne seront plus là, tous ces vieux arbres vénérables, qui les remplacera?

Je pense en particulier aux châtaigniers, ces grands frères nourriciers qui furent si longtemps les "arbres à pain" de nos campagnes et dont nous ne servons plus que pour quelques cornets de marrons grillés, histoire de nous rappeler chaque année que l'hiver existe.

Quelqu'un de ma connaissance "possède" (comme si nous possédions la vie!) un bosquet de très vieux chênes dans un enclos attenant à sa maison. D'année en année il dépérissent, leurs branches cèdent sous les rares mais lourdes neiges de printemps et surtout sous l'assaut des tempêtes de plus en plus fréquentes. Je sais que cette personne aime ces arbres, "ses" arbres. Il y a près d'un an, je lui ai suggéré "Tu pourrais mettre quelques bébés chênes en pépinière pour être prêt à remplacer chacun de ceux qui vont bien finir par rendre l'âme". Sa réponse m'a laissée sans voix "Bientôt, il n'y aura plus personne dans nos campagnes pour les voir. Alors, à quoi bon?".

Depuis, cette réponse me hante. Je comprends et pourtant je ne comprends pas.L'accumulation de réflexions et de sentiments qu'elle fait naître en moi est si monumentale que les décliner sur le papier ou à l'écran me demanderait un travail bien trop lourd pour la paresseuse assumée que je suis devenue.

N'empêche, je sais : protéger et planter, sans cesse, sans arrêt, sans trêve, sans repos. Planter avec les enfants qui verront grandir les arbres et que les arbres verront grandir. Ensuite, et seulement ensuite, on discutera entre sociologues, philosophes, historiens, économistes, biologistes, militants de ceci ou de cela, humains tout simplement. Ensuite seulement. Pour le moment, n'écoutons que le poète, surtout celui qui vit en nous.

Qui les remplacera?
Qui les remplacera?
Qui les remplacera?
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Qui les remplacera?
Qui les remplacera?
Qui les remplacera?
Qui les remplacera?
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5 janvier 2017 4 05 /01 /janvier /2017 08:44
L'arbre beau chanteur

Celui que j'aime est un cyprès. (Note de la blogueuse)

"Dans les collines, il y a toujours cet arbre à côté des fermes ; vous savez pourquoi, vous?
- Ah, mon bon monsieur, moi, je sais, je vais vous dire.(...) de mon temps, on plantait le cyprès, vous savez pourquoi? Parce que c'est un arbre beau chanteur. (...) C'est profond, c'est un peu comme une fontaine, tenez. (...) Ici on ne pouvait pas se payer le luxe de faire couler tant et plus . Ici, on mesurait l'eau à la burette.(...) Donc, pour remplacer la fontaine on plantait un cyprès au bord de la ferme, et comme ça à la place de la fontaine d'eau on avait la fontaine de l'air avec autant de compagnie, autant de plaisir."
Jean Giono - Solitude de la pitié

La photo est extraite du site ci-dessous:

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24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 15:00

"Il faut reboiser l'âme humaine" Julos Beaucarne

"Et la Terre aussi" Moi.

Et pour tout dire, j'aimerais bien que l'on commence, nous, par le Pays Basque. C'est peu dire qu'il y a urgence.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Alice Leiciagueçahar, Conseillère régionale EELV en Nouvelle Aquitaine,   en pleine action de déplantation  chez moi de deux bébés châtaigniers par un jour d'Octobre dernier. Ils seront replantés à quelques tout petits kilomètres de là, au pied de la Citadelle de Saint-Jean-Pied-de-Port.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Deux châtaignes comme celles-ci, parties du même endroit, ont été plantées en octobre quelque part en Uruguay par les soins de Carmen, venue passer quelques jours sr la piste de ses origines basques.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Quelques bébés frênes ne vont pas tarder à partir pour les environs de Saint-Palais.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Deux petits pieds d'épine noire (ici photographiés au printemps), poussés tout seuls près de la maison vont être replantés chez des amis à quelques kilomètres d'ici. Ils feront le bonheur des abeilles de la maison Xumilenia et permettront un excellent Patxaran d'ici quelques petites années, je n'en doute pas. Mahaño, Valérie, Manex, j'espère bien être invitée pour la première dégustation.

 

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Ce jeune érable champêtre vient d'être replanté quelque part du côté de Carcassonne. La preuve en image.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

Quant à ce petit noisetier, il n'a pas voulu quitter son voisin l'érable. Il est parti avec lui. Sur l'image, on peut voir qu'il a déjà pris possession de ses nouveaux appartements.

Tu plantes, tu plantes, c'est tout ce que tu sais faire.

N'oublions pas le  sapin de Pascale qui avait souffert d'un espace trop petit pour ses racines durant de longues années. Le voici photographié il y a quelques jours, près de ses copains feuillus,quelque part du côté d'Arboze, sur les hauteurs d'Uhart-Cize,  il semble bien qu'il soit en train de se refaire une santé. Souhaitons lui longue et belle vie.

Et surtout, si vous voulez de petits arbres ou arbustes à replanter chez vous, faites moi vite signe.

Le titre, de la blogueuse, est librement inspiré de Raymond Queneau.

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 12:12
Le mardi, tout est permis. Voilà qui est dit.
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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 15:33
Le chasseur, visiblement pas un animal reconnaissant.

Le chasseur, visiblement pas un animal reconnaissant.

J'ai déjà raconté sur ce blogue l'histoire de mon "petit arpent du Bon Dieu". Pour preuve le lien en bas de cette page.

Donc, comme déjà dit, en 1973, âgée de 20 ans, j'avais vendu tout ce que j'avais pour acheter (bien trop cher mais je l'ai su plus tard)  1 hectare 700 de lande où j'ai planté des châtaigniers et que j'ai clôturé, avec l'aide de ma maman et d'un voisin en ce qui concerne cette dernière opération. A l'époque et, je vous rassure (sourire) depuis cela n'a pas changé, je passais au mieux pour une originale et au pire pour une trois quarts folle, voire une folle tout court. Je n'ai toujours pas besoin à ce jour d'entendre les ricanements pour savoir que cela ricane sec. C'est comme un sens supplémentaire.

Depuis 1973, au milieu de cette colline pelée, les arbres ont poussé en toute liberté et se sont multipliés à l'envi. D'autres espèces se sont invitées, principalement des bouleaux. Les tempêtes cassent beaucoup de grosses branches car l'endroit est très venteux, il y a beaucoup de chablis. Bref, dans un joyeux bazar, la nature reprend ses droits sans rien demander à personne.Beaucoup d'animaux sauvages y trouvent leur compte. La joie, la vraie. Depuis 1973, vous imaginez sans peine que la clôture ainsi que le superbe portail de bois qu'avait confectionné mon frère sont partis en lambeaux. A l'automne, les vaches et les pottok qui passent par là le nez au vent ont vite repéré l'aubaine et viennent se servir en châtaignes. Je me rends rarement sur les lieux ("J'ai juste besoin de savoir que ça existe" aurait dit Cavanna) mais à la saison, j'ai vu plusieurs fois des gens munis d'un panier qui ramassaient des châtaignes. Et c'était bien.

Or, il y a quelques jours, je suis montée y faire un tour avec deux amis venus de Carcassonne et une autre, d'origine basque, qui avait fait le voyage depuis l'Uruguay. Les trois étaient admiratifs de la quantité et de la grosseur des fruits. Et trois jours plus tard, j'y retournais avec une autre amie qui souhaitait déterrer deux bébés châtaigniers pour les replanter chez sa maman. En arrivant, surprise! Une dizaine de personnes, toutes en treillis comme à la guerre ou à la chasse, en tous cas pas habillées comme nous (sourire de nouveau), étaient en train de ramasser fiévreusement tout ce qu'elle pouvaient de châtaignes. Il y avait de grandes cagettes très hautes, et même tenez-vous bien, une piscine-bac à sable en forme de coquille comme on en installe l'été pour les bambins. Là-comment vous dire, une bouffée d'agacement face à toutes les moqueries, injures et voire menaces déversées sur les écolos qui plantent des arbres, rejettent en bloc toute forme d'écobuage et qui pensent que nul n'est besoin d'un fusil pour marcher dans la campagne m'est montée brusquement au cerveau. Bon, quand-même je me suis contenue et, m'approchant de l'un de ces chasseurs en tenue de soldat, de ma voix la plus calme et la plus posée possible "Je n'ai pas eu une mauvaise idée, n'est-ce pas, de planter ces châtaigniers en 1973?" Et lui "Oui, mais cette année, il n'y en a pas beaucoup et elles sont petites". Huuuuum! Comme vous voyez, j'ai réussi l'exploit de ne pas en mourir étranglée et j'ai fait mine de m'intéresser à autre chose.

Quand nous nous sommes décidées à redescendre, mon amie et moi, nous nous sommes rendu compte qu'ils retournaient eux aussi à leurs voitures, pas des voitures de miséreux, que ce soit dit en passant, comme ça, l'air de rien. De très loin et le plus discrètement possible, j'ai pris une photo, celle que vous voyez tout en haut de ce "post". Et c'est là que j'ai réalisé qu'ils ramassaient ces châtaignes pour les vendre et que ce n'était certes pas la première année, ce dernier point  de leur propre aveu.

Je ne peux rien dire, je ne peux pas protester, le terrain n'étant plus clôturé. Mais je vous assure : m'apercevoir qu' en réalisant cette plantation à la sueur de mon front et sous les lazzi  il y a 43 ans, je m'étais conduite moi-même au bout de quelques années à arrondir le compte en banque d'une espèce que j'exècre, celle des chasseurs, j'hésite entre l'autodérision  et une saine colère. En fait, je crois que je vais tenter de réaliser un savant cocktail des deux. On verra bien si ça tient la route. Je vous dirai.

 

 

 

Vue du haut du terrain il y a quelques jours.

Vue du haut du terrain il y a quelques jours.

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9 octobre 2016 7 09 /10 /octobre /2016 17:05
Plantons des haies, des vraies!
Plantons des haies, des vraies!
Plantons des haies, des vraies!
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10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 17:54
Photo  Jean Etchevers 1973 In "La route des crêtes de Saint-Jean-Pied-dePort à Roncevaux".

Photo Jean Etchevers 1973 In "La route des crêtes de Saint-Jean-Pied-dePort à Roncevaux".

Le châtaignier ci-dessus, de 8 mètres de circonférence, est situé  à la sortie de Donibane Garazi ( Saint-Jean-Pied-de-Port), sur la route nommée "voie romaine" décrite sous le nom de "voie romaine de Bordeaux à Astorga" dans l'itinéraire d'Antonin. Cette route est également nommée "route des crêtes" "route des portes de Cize", "route de Saint-Jacques de Compostelle" "route Napoléon" ou parfois "route du Maréchal Harispe".

L'arbre est situé à un carrefour. A droite, c'est la route des crêtes. A gauche, la route qui vient d'Eihelarre (Saint-Michel) par Ithalatze. Certains le nomment "Châtaignier du maréchal Harispe", allusion aux campagnes Napoléoniennes. Pas très loin de là, à côyé de la maison Etxebestea se dressait il y a encore un peu plus de cinquante ans le "Chêne de Soult". Le maréchal, dit-on se reposa à son pied au moment de la retraite. Renversé par une tempête, le chêne majestueux offrit aux hommes, pas forcément reconnaissants,  plus de 50 stères de bois. Notre châtaignier, lui, est là depuis longtemps, si longtemps--- Depuis Henri IV, cela semble acquis. Depuis Saint-Louis, c'est ce qui se dit parfois. Rêvons. Quoiqu'il en soit, nous, amis de l'association "Altxor eta Gaztain", depuis que nous conduisons et amenons les deux pottoks à Aintzile (Aincille) ou d'Aincille chaque année, nous prenons la pose sous son ombrage, en le remerciant d'être encore là.

Pourquoi doncnous rapporte-t-elle tout cela, vous demandez-vous?

Et bien, disons (j'en ai déjà parlé dans ce blog) que la manie des écobuages, des feux de montagne terriblement destructeurs à force, de la couche arable du sol et bien évidemment, de la faune, de la flore, des quelques arbres qui luttent pour survivre, des humains aussi parfois ( on se souvient du drame d'Esterenzubi) me met la colère, une colère de plus en plus forte.

Regardez la photo ci-dessous : souvent le feu est même mis sous une clôture, noircissant les piquets qui ne résistent pas longtemps. Là, c'est un poteau qui est attaqué, un poteau de ligne téléphonique et un exemple parmi tant et tant. J'ai pris cette photo au col de Gamia le 11 avril 2014.

 

Raccourci écolo-historique (ou le contraire)

Et figurez-vous que mon parrain préféré m'envoie le document ci-dessous.

Vous savez quoi? Je me demande si je ne vais pas commencer à le trouver sympathique,moi, Napoléon!

Raccourci écolo-historique (ou le contraire)
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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 10:47
Sauvons tout ce qui peut l'être!

Roland Dorgelès écrivait "Je dis que c'est une victoire parce que j'en suis sorti vivant".

En ces temps de saccage accéléré sur toute la planète , c'est ce que doit également se dire chaque arbre sauvé des tronçonneuses, des bulldozers et des excès climatiques dont nous sommes plus que très probablement responsables, nous les humains.

S'il vous plaît, signez la pétition. C'est par le lien, tout en bas de la page.

 

 

A letter to de Madame la Ministre de l’Environnement, Madame la Secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité,

Madame la Ministre de l’Environnement, Madame la Secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité,

 

En position de tampon entre la (très inesthétique) zone d’activités commerciales, et la zone agricole de la  commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne), subsiste une minuscule parcelle de 56 ares, aux deux tiers boisée.

 

Cette parcelle n’est plus depuis deux siècles dévolue à l’activité agricole, comme l’était la majeure partie du finage des communes rurales, mais porteuse d’une habitation bâtie au XIXe siècle au temps de la construction du Fort de la Marnotte et des casernes de Langres.

 

Cette parcelle (56 a) était jusqu’en 1955 une « déposante de l’Armée », c’est à dire affectée au stockage et recyclage des « boues » et effluents des casernes et écuries.

 

Bien qu’on ne cultive pas sur des fondations, des citernes ou des cailloux, elle a toutefois été abusivement classée en zone A (NB : sont par définition classées en « zone A » les sections de la commune équipée ou non, à protéger en raison du potentiel agronomique, biologique ou économique des terres agricoles. Ce qui n’est aucunement le cas).

 

Le plan local d’urbanisme de 2004, dans sa détermination des zones de sensibilité paysagère, a intégré cette parcelle dans la zone sensible, du fait même de l’existence de son boisement qui a été signalé par l’auteur du rapport comme de grand intérêt paysager et à préserver. Il est vrai qu’il demeure le dernier élément boisé de toute la zone « du Parc d’activité de l’Avenir », et constitue un irremplaçable écran de verdure séparant les zones commerciale et agricole. Sans compter sa grande valeur de biotope indispensable à l’accueil de la microfaune et des oiseaux Lesquels sont le meilleur insecticide au monde, mais n’auront pas leur habitat dans les jachères fleuries artificielles prônées par les paysagistes.

 

Ce bosquet, dans la continuité de la trame verte qui se constituera si les intelligentes propositions de maintien de haies au " Champ de Monge" sont suivies, forme à ce jour un écran visuel, acoustique de très belle venue, masquant les banals hangars agricoles, sans oublier, par sa position sommitale sur le plateau, son rôle indéniable de brise-vent face aux intempéries des vents d’est. Sa disparition se ferait immédiatement ressentir en temps hivernal sur la voirie, les parkings et les magasins même à l’ouest de la RD 122…En revanche, les installations agricoles sises derrière lui sont redevables d’être indemnes des dégâts par les vents dominants du sud-ouest, par où arrivent toutes les tempêtes.

 

De plus, la définition des périmètres de protection du captage de la source du Morney (Corlée) qui vient d’être soumise à enquête publique et approbation, intègre cette parcelle puisque la limite à l’ouest du périmètre éloigné est la D 122. Ce qui revient à dire que de nouvelles contraintes pèseront sur ce bosquet qui devra être maintenu et soumis à des règles de gestion. Urgence d’autant plus prégnante que viennent de disparaître toutes les haies bocagères du plateau incluses par le périmètre éloigné.

 

Dans ce contexte, l’intérêt public va tout à fait dans le sens des préoccupations des propriétaires, à savoir le maintien de ce boisement.

 

Pour ces diverses raisons, et afin de ne pas obérer l’avenir de cette parcelle, puisque les dispositions actuelles du PLU leur interdit de réhabiliter leur bâtiment, les propriétaires ont demandé et obtenu pour le bosquet qu’elle supporte le statut d’espace boisé classé, au titre des articles L.130-1 et suivants du code de l'urbanisme.

 

Néanmoins, le propriétaire des terrains encerclant en totalité cette parcelle, dépité de n’avoir pu l’acquérir pour ses visées spéculatives, exige l’abattage immédiat de tous arbres à moins de 50 cm de la limite de parcelle, et l’étêtage à une hauteur de deux mètres des arbres distants de 0,50 à 2 m de la limite, ce qui revient de fait à anéantir la quasi-totalité du bosquet puisque ces arbres proviennent d’accrus d’une haie de séparation.

 

Pour sauver leurs arbres, il a été demandé aux propriétaires de prouver via une expertise qu’ils ont plus de 30 ans, ce qui est une évidence puisque ces arbres étaient déjà très grands dans les années  1960, comme l’attestent des vues aériennes remontant à 1948.

 

Pour cette expertise, il été exigé des  propriétaires une consignation de 4675 (quatre mille six cent  soixante-quinze !!) euros.

 

Le rapport sera rendu fin avril.

 

Or, de par leur appartenance à un espace boisé classé, même les arbres de moins de 30 ans sont protégés, ceci afin d’assurer le renouvellement et la pérennité du peuplement.

 

Les signataires demandent donc  à Madame la Ministre de l’Environnement et à  Madame la Secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité, d’user de leur  pouvoir et  leur autorité pour que soient intégralement respectées les dispositions de la Loi accordant un statut de protection au dernier bosquet arboré de la zone d’activité de la commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne).

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 09:00
Mon 8 mars 2016

Le meilleur moment pour planter un arbre, c'était il y a 20 ans.

Le deuxième meilleur moment, c'est maintenant.

 

Hommage à Wangari Maathai, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes.

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27 février 2016 6 27 /02 /février /2016 11:42
Photo Michael Noirot

Photo Michael Noirot

Le titre de ce "post" est une citation de Chateaubriand.

J'offre cette vidéo à mon papa qui pleurait devant les bulldozers et les tronçonneuses et à son cousin André Dumont (voir l'un des liens ci-dessous) ainsi qu'à mon grand-père paternel, Paul Cuisset, que je n'ai pas connu mais qui n' était heureux qu'en forêt.

Bien entendu, comme à chaque fois qu'il s'agit de cervidés, en pensant très fort à Gilles Marchal et à Luc Romann.

Et en souvenir, toujours si vivant en moi, de mon enfance dans les bois de Trois-Etots.

Avec un grand merci à l'AFLOC pour son engagement.

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