Une contribution de Daniel Labeyrie
71 – Les p’tits lapins blancs - Jean-Michel Piton
Beau à pleurer
Une contribution de Daniel Labeyrie
71 – Les p’tits lapins blancs - Jean-Michel Piton
Beau à pleurer
Une contribution de Daniel Labeyrie
70 – Michel Boutet – Partie loin
Un orfèvre !
Une contribution de Daniel Labeyrie
69 – Isabelle Mayereau – Comme la porcelaine
Fragile, sensible
Une contribution de Daniel Labeyrie
68 – Gilles Vigneault – J’ai planté un chêne (live officiel)
Plantons des arbres !
Une contribution de Daniel Labeyrie
67 – Richard Séguin- Dans les bois (videoclip officiel)
Sur les pas de Thoreau.
Une contribution de Daniel Labeyrie
66 – Julos Beaucarne - elle est venue vers le palais
Un lotus de délicatesse et de fraternité.
Une contribution de Daniel Labeyrie
Jean-Baptiste ETCHARREN-LOHIGORRI
Un passé toujours présent : autobiographie de jeunesse
(1928-1960), éditions ELKAR
Avant que l’éternité ne l’emporte vers des cieux apaisés, Jean-Baptiste ETCHARREN nous laisse son ultime ouvrage au terme d’une longue vie.
Il eut tout juste le temps d’achever son livre avant de nous quitter un jour lumineux de janvier.
Cette autobiographie est un véritable enchantement, un livre de vie dans lequel son auteur se dévoile avec une extrême humilité, une grande pudeur cachant une sensibilité à fleur de peau. Homme de culture, homme de foi, Jean-Baptiste n’eut pas une existence facile mais jamais le moindre opprobre, le moindre jugement négatif vis-à-vis d’autrui.
Nous pérégrinons en son aimable compagnie pendant une bonne trentaine d’années marquée par les bonheurs et les malheurs familiaux, les turpitudes des périodes de guerre dans son environnement de Garazi qui l’a vu naître puis disparaître.
Contre vents et marées, surmontant diverses épreuves et non des moindres, Jean-Baptiste poursuivit ses études avec détermination, enthousiasme dans le respect et la confiance de ses éducateurs. Cela aboutit à une belle carrière d’enseignant.
Il maniait le basque, le français, l’espagnol, le latin, le grec et autres langues non pas en amateur mais en fin lettré.
La lecture de cette autobiographie nous permet d’apprécier ce grand monsieur, toujours dévoué et fraternel, infiniment respectueux d’autrui.
De multiples anecdotes, parfois désopilantes, émaillent ce parcours de vie fort peu banal.
En oiseau migrateur, il se partageait entre Saint-Jean-Pied-de-Port et Burguete qui lui offrit son épouse bien aimée. Notons au passage les rocambolesques traversées de la frontière pour aller rendre visite à sa dulcinée quand la paperasserie administrative n’avait de cesse de contrarier un amoureux déterminé à se faire les mollets, coûte que coûte, afin d’aider sa mobylette fatiguée à arpenter les rudes lacets du col.
La lecture de cette autobiographie procure un infini plaisir : le style est classique, sans fioritures ni facilités, la langue est belle, toujours précise.
La compagnie de Jean-Baptiste fut toujours exquise : remercions le Ciel de nous avoir permis de connaître le bel humain qu’il fut pendant sa longue existence.
Une contribution de Daniel Labeyrie
65- John Cage :
J’attends vos commentaires…
Une contribution de Daniel Labeyrie
64- Giani Esposito : Le clown
Un chef d’œuvre
Une contribution de Daniel Labeyrie
63 – Que deviens-tu ? Gérard Manset
Incontournable.