23 juillet 2009
4
23
/07
/juillet
/2009
17:00
J'aurais pu aussi baptiser cet article
"Prenons en de la graine".
En tous cas, les quelques lignes de Walt Whitman que je vais copier plus bas me plaisent autrement plus que le "sublimes animaux" d'Alfred de Vigny, qui sous couvert de déclaration d'amour au monde animal, asseoit confortablement la notion de sublime, totalement anthropormophique et qui ouvre un boulevard à bien des perversions possibles comme celle de la corrida, pour ne citer qu'un exemple mais non des moindres.
"Du sang; de la volupté, de la mort", disait Barrès. "Viva la muerte!", gueulaient les franquistes!.
Et, vous le savez, les républiquains espagnols avaient interdit la corrida, qui fut très vite remise au goût du jour par le Caudillo. Celui-ci, en la couplant avec l'essor de la télévison, cette machine à décerveler, s'en servit pour asseoir son pouvoir qui sentait la pisse froide comme aujourd'hui les rues de Bayonne après les "fêtes" (?!)
Manolete et Manuel Benitez, sinistres pantins, pauvres renégats enfants de républicains, vendus corps et âme à l'ignominie franquiste!
Je sais, Jean Ferrat, chantait " Ce n'est pas par plaisir que le torero danse. C'est que l'Espagne a trop d'enfants pour les nourrir".
Les belles etrangeres
envoyé par rozenfelds. - Regardez la dernière sélection musicale.
Sans doute l'Espagne nourrit-elle aujourd'hui ses enfants,sans doute Jean Ferrat a--t -il depuis adapté sa pensée , lui, l'ami du Pays Basque à qui il a apporté son soutien contre le couloir à camions transnavarrais, puisqu'il est maintenant signataire de la pétition du CRAC pour l'abolition de la corrida.
Que viva la vida! Vie à l'ours! Vie aux humains! Vie à la différence! Vie à la diversité! Vie à la vie!
Que crèvent la torture et que tombent les lourdes draperies moisies et puantes angoisses que certains humains imposent à leurs semblables et au reste du monde vivant.
Je crois bien que j'aurais pu vivre avec Walt Whitman.

"Prenons en de la graine".
En tous cas, les quelques lignes de Walt Whitman que je vais copier plus bas me plaisent autrement plus que le "sublimes animaux" d'Alfred de Vigny, qui sous couvert de déclaration d'amour au monde animal, asseoit confortablement la notion de sublime, totalement anthropormophique et qui ouvre un boulevard à bien des perversions possibles comme celle de la corrida, pour ne citer qu'un exemple mais non des moindres.
"Du sang; de la volupté, de la mort", disait Barrès. "Viva la muerte!", gueulaient les franquistes!.
Et, vous le savez, les républiquains espagnols avaient interdit la corrida, qui fut très vite remise au goût du jour par le Caudillo. Celui-ci, en la couplant avec l'essor de la télévison, cette machine à décerveler, s'en servit pour asseoir son pouvoir qui sentait la pisse froide comme aujourd'hui les rues de Bayonne après les "fêtes" (?!)
Manolete et Manuel Benitez, sinistres pantins, pauvres renégats enfants de républicains, vendus corps et âme à l'ignominie franquiste!
Je sais, Jean Ferrat, chantait " Ce n'est pas par plaisir que le torero danse. C'est que l'Espagne a trop d'enfants pour les nourrir".
Les belles etrangeres
envoyé par rozenfelds. - Regardez la dernière sélection musicale.
Sans doute l'Espagne nourrit-elle aujourd'hui ses enfants,sans doute Jean Ferrat a--t -il depuis adapté sa pensée , lui, l'ami du Pays Basque à qui il a apporté son soutien contre le couloir à camions transnavarrais, puisqu'il est maintenant signataire de la pétition du CRAC pour l'abolition de la corrida.
Que crèvent la torture et que tombent les lourdes draperies moisies et puantes angoisses que certains humains imposent à leurs semblables et au reste du monde vivant.
Je crois bien que j'aurais pu vivre avec Walt Whitman.
