
Voir le clip des planteurs volontaires ici : http://www.asso-arlp.org/debattre/index.php?topic=415.0
http://pagesperso-orange.fr/ch.laborde.soham/sohamsommaire.html
Il y a peu, j'ai eu l'occasion et surtout la chance (et quelle chance!), d'assister à un concert de SoHam.
Rappelons qu'Ingrid est la fondatrice d'Oxigeno Verde, Parti Vert de Colombie, et Présidente d'Honneur des Verts mondiaux.
Il y a 30 ans, la conscience à l’écologie, à l’environnement s’est éveillée dans le monde. Exprimant un soucis citoyen pour le futur de l’humanité et pour l’avenir de la planète.
A partir de là, les partis Verts se sont créés. Aujourd’hui, comme rarement dans l’histoire de la pensée universelle politique, la force de la pensée environnementaliste apparaît comme un mouvement qui peut offrir une alternative sérieuse de gouvernance face à l’échec dramatique de la prédominance des politiques néo libérales . Alors que nos sociétés sont tombées dans les abysses de l’auto destruction, de l’apartheid économique, et de la dictature du profit, les Verts se révèlent être les seuls proposant un nouveau contrat social et un nouveau modèle économique. Heureusement, ce courant de pensée atteint sa maturité idéologique aujourd’hui, en ce moment où la survie de l’humanité est en jeu. A ce Congrès Mondial des Verts, il est important de considérer tous les scnerarii politiques dont nos forces débattent. Ne regardons pas ce que nous n’avons pas réussi, mais ce que nous pouvons fabriquer, ce que nous pouvons faire, et les domaines dans lesquels nous devons travailler. Ne faisons pas la liste de nos faiblesses, mais plutôt, revendiquons nos forces, parce que ce qui nous revient, en tant que leaders Verts dans cette génération, est de livrer la bataille et de la gagner. Notre destin n’est pas d’être une force politique marginale, non plus que nous ne pouvons nous satisfaire d’être une force de soutien pour la construction de majorités politiques temporaires. Nous devons rechercher le pouvoir et l’obtenir. Nous ne pouvons pas nous sous-évaluer parce que le monde est tourné vers nous et attend de grandes actions. C’est ça la réalité. Nous faisons flotter le drapeau moderne du nouvel humanisme, notre combat est celui du salut de la planète, il est pour la survie de toute l’humanité, de son histoire, de sa dignité, de sa richesse culturelle accumulée, et de sa diversité. C’est notre nouvelle frontière, une frontière immatérielle et universelle, frontière plus dramatique que la conquête du Nouveau Monde, ou que le premier pas de l’homme sur la lune, parce que pour l’atteindre, nous ne pouvons pas compter sur notre résistance physique, morale ou technologique.
Si il est vrai que la foi déplace les montagnes, et que David a vaincu Goliath, alors notre combat devrait être victorieux. Parce que pour défendre le droit de vivre aujourd’hui comme dans le passé, cela implique de l’héroïsme, du caractère, et du courage. Ne nous trompons pas nous même. Pour être Vert dans ce nouveau millénaire, nous devons revêtir l’uniforme du nouveau samouraï . Pour défendre nos valeurs, nos principes, nos idéaux, par dessus tout, même plus que nos vies. Parce que sans ces valeurs, sans ces principes, et sans ces idéaux, la vie devient une condamnation.
Nous devons comprendre l’essence de ce que nous dessinons pour le monde, le salut de la planète, le droit de vivre, ce n’est rien d’autre qu’un combat pour des valeurs. Ces valeurs sont celles que tous les êtres humains partagent, indépendamment de la couleur de notre peau, ou du nom que nous donnons à nos dieux. Et parce que ce sont des valeurs essentielles elles ne sont pas négociables. Dessiner un nouvel ordre économique, un nouveau pacte social, ce n’est pas une utopie c’est simplement une chose basique, le minimum, pour continuer de fonctionner comme des sociétés dans un monde globalisé. Je dis cela avec force et angoisse parce que je crains que nous ne puissions plus perdre de temps. Aujourd’hui nous avons une chance il est encore temps de stopper le système d’auto destruction qu’ils veulent nous imposer. Mais cela dépend de notre volonté, de notre force de caractère, de notre engagement et pas de ce qu’ils voudront nous accorder de leur pouvoir.
Pour cette raison, la première chose que nous devons vaincre, c’est notre propre scepticisme. Cette guerre que nous allons gagner sera gagnée plus rapidement parce que nous pouvons communiquer des certitudes vers les multitudes. C’est une confrontation moderne dans laquelle l’information est stratégique et elle sera gagnée d’abord avec des idée. Le futur est Vert et il le sera. Merci.
![]() |
|||
![]() |
|||
Lorenzo Betancourt: «c'est la plus belle nouvelle de ma vie» [02/07/2008 21:39] PARIS (AP) -- Lorenzo Delloye-Betancourt, le fils d'Ingrid Betancourt, a exprimé mercredi soir sa surprise et sa joie à l'annonce de la libération de sa mère par les autorités colombiennes. «Si c'est vrai, c'est la plus belle nouvelle de ma vie», a-t-il déclaré. «J'ai reçu la nouvelle il y a l'équivalent de cinq-dix minutes», a déclaré le fils d'Ingrid Betancourt, interrogé par France Info peu avant 21h30. «Je suis vraiment surpris et heureux.» «J'espère vraiment qu'il ne faut pas juste le prendre au conditionnel et que c'est vraiment la vérité, que maman a été libérée et que les otages ont été libérés», a-t-il ajouté. «Pour le moment, on attend d'avoir plus d'informations et être sûr que c'est vrai», a-t-il ajouté. AP sop/cov |
http://www.myspace.com/lebabel
Les pieds sur Terre et la tête dans les étoiles, On participe à la fondation d’un mouvement politique dont, parmi les principales références, On pourrait citer dans le désordre et de manière non exhaustive : Ivan Ilitch, Jacques Ellul, René Dumont, Bernard Charbonneau , Henri-David Thoreau, Théodore Monod, Annie Leclerc, Pierre Fournier, Robert Hainard, Claude Lévi-Strauss et côté littérature des gens comme Jean Giono, Kenneth White, Marguerite Yourcenar, ---
Vingt-quatre ans plus tard, entre autres perles rares dans le genre textes décadents, On reçoit celui ci-dessous, image même d'une langue de bois écolocratesque qui tente de masquer péniblement un vide sidéral derrière une mince couche de vernis ( vert ni-ni sur le nuancier, ) passée à la va-vite.
« Après les dernières échéances électorales et en attendant les municipales, ce sera le temps de faire le point sur l’Ecologie Politique, sur les VERTS et sur notre capacité à rénover notre fonctionnement pré-requis pour ouvrir une autre voie politique pour réellement préparer une autre séquence politique VERTE ».
Mais où sont passées la Terre et les étoiles ? On ne voit plus qu’un triste substrat inerte, un support d’inculture, le contraire de ce pour quoi On est chez les Verts depuis 1984.
Reconnaissant en bas de la feuille une signature bien connue et qui scelle habituellement des textes hélas toujours aussi abscons, On se dit que ce n’est vraiment pas utile de lire. On présente ses excuses à son homme de lettres préféré, son facteur, qui aura déposé pour rien ce courrier dans la boîte.
Et On a tort. Pas de présenter ses excuses à l’homme en voiture jaune poursuivie par les chiens mais de ne pas lire la bouillie pour les chats précitée, qui cache une belle grosse crasse.
On se mord les doigts mais prend une bonne résolution. Désormais, On lira tout, vraiment tout ce qu’il y a de plus nul, de prodigieusement ennuyeux et inintéressant, même l’annuaire du téléphone des Pyrénées Atlantiques. On n’est jamais assez prudent, la preuve !
Voilà. C’est ce que l’On m’a dit.
Les sénateurs refusent de reconnaître les langues régionales comme richesse et partie intégrante de notre culture nationale Communiqué des Verts Aquitaine |
|
|
Mercredi 18 juin, les Sénateurs ont désavoué les Députés qui avaient inscrit, par un amendement au projet de loi constitutionnelle, la reconnaissance les langues régionales comme richesse et partie intégrante de notre culture nationale. Les Verts Aquitaine, qui militent depuis de nombreuses années pour la reconnaissance de ces langues régionales, regrettent et condamnent ce vote du Sénat. Celui-ci démontre une fois de plus son archaïsme et son caractère rétrograde. Loin d’être une menace pour l’identité nationale, les langues régionales sont une « fenêtre sur la diversité culturelle », pour reprendre les propos de Marie-Christine Blandin, sénatrice verte du Nord-Pas-de-Calais. En Aquitaine, où les langues régionales sont une réalité avec le basque et l’occitan, les citoyens de notre région apprécieront (ou non) les votes de certains de leurs sénateurs UMP ou centristes dont Jacques Valade, Xavier Pintat, Dominique Mortemousque ou encore Jean François-Poncet. Que l’humanité soit privée de la richesse de ses langues ne semble pas troubler ceux qui, jouant avec la notion de patrimoine, osent mettre sur le même plan la potée auvergnate et les langues régionales. Laure Curvale, Secrétaire Régionale Les Verts Aquitaine Bérénice Vincent, Conseillère Régionale d’Aquitaine. |