Pétition SOUTENEZ LES ARTISTES DES SERRES DE LA MILADY
Pour:MINISTRE DE LA CULTURE
La ville de Biarritz va lancer une procédure de déclaration d’utilité publique (DUP) sur les
21 009 m2 de terrain des pépinières Gelos avenue de la Milady, occupés depuis 2006 par un collectif d’artistes, afin d’y aménager des terrains de sports.
Cette procédure met en péril l’élan artistique des artistes des Serres de la Milady profitable à l'essor culturel de la ville en les obligeant à se disperser et en détruisant l'unité
collective.
Depuis sa création en 2006, l’association des artistes de la Milady se donne pour objectif de promouvoir les actions et les activités de ses membres et d’animer un lieu culturel de
proximité.
Pour y répondre elle a développé des actions artistiques (expositions, performances, jardin de sculptures, échanges de savoir faire, rencontres) qui ont apporté une dynamique et une
diversité culturelle à la ville de Biarritz.
Les serres de la Milady sont un lieu unique sur la côte Basque.
L’association AAM c’est aujourd’hui 16 artistes résidents, une centaine de membres adhérents, et 13 ateliers de création.
Soutenez nous en signant cette pétition en ligne et venez à la mairie de Biarritz signer le registre destiné à recevoir les observations du public durant tout le mois d’avril.
Le commissaire enquêteur indépendant Madame Valérie Bédère assurera des permanences à la mairie de Biarritz afin de répondre à vos questions :
-Le lundi 8 avril 2013 entre 9h et 12h
-Le jeudi 18 avril 2013 entre 9h et 12h
-Le vendredi 26 avril 2013 entre 14h et 17h
Nous comptons sur votre soutien pour que les Serres soient un lieu permanent d'expression artistique dans notre ville, merci à tous !
Je fais circuler cette pétition, c'est aussi un peu par tendresse pour mes souvenirs d'enfance dans ce
quartier.
Et me reviennent aussi en mémoire les combats pour la Cité fleurie, Boulevard Arago, à Paris ( voir
vidéo ci-dessous---, émotion--- Monsieur Cadiou nous a conviés tant de fois dans son atelier, mes copains et moi! ) sans compter celui pour les ateliers de la rue Vercingétorix, à Paris, menacés
par les projets routiers pharaoniques de Pompidou et sauvés, avouons-le, par Valéry Giscard d'Estaing.
Engagée à l'époque corps et âme dans ces luttes, je me contenterai cette fois de faire signer la
pétition des artistes de la Milady. Que voulez-vous, on ne rajeunit pas!
"Ni la queue ni les oreilles". Une oeuvre du peintre Basque Abo, signataire de la pétition abolitionniste du
CRAC Europe.
Communiqué de presse du CRAC Europe et de Droit des animaux.
Retrait de la corrida au PCI français, la suite d’un combat
Le mercredi 3 avril 2013, le tribunal administratif de Paris a rendu son jugement et a aussi publié un communiqué de presse, situation tout à fait exceptionnelle.
Les associations CRAC Europe et Droits des animaux ...(DDA), la Fondation Weber et
l’association Robin des bois demandaient le retrait de la corrida du patrimoine culturel immatériel (PCI) de la France. Certes pour l’instant la corrida (pourtant espagnole !) reste au patrimoine
de l’hexagone. Qu’avons-nous donc obtenu ?
Rappelons que début 2012, le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, à l’origine de ce scandale, niait qu'il y eût classement de la corrida au patrimoine
français, évoquant un simple recensement sur une liste inventaire. Une association anticorrida avait cru bon de le croire. Mais ce jugement confirme que la corrida est bien inscrite au PCI de la
France, mettant fin à toute discussion sur la question. Cette décision est bien attaquable. Ce combat est un marathon : en octobre 2011, face au tribunal administratif, l’Alliance anticorrida fut
déboutée pour vice de forme, ce mercredi 3 avril la Fondation Weber et l’association Robin des bois sont jugés irrecevables. Le CRAC Europe et DDA sont toujours debout et bien décidés à
poursuivre. Nous allons interjeter appel. Le tribunal administratif, dans ses délibérés, exige de notre part des réponses. Nos avocats ont déjà commencé à travailler sur la suite. Nous irons
devant le Conseil d’Etat, et si nécessaire devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH). La France peut-elle garder dans son patrimoine ce qu’elle décrit elle-même comme des « sévices
graves et des actes de cruauté » ? Notre réponse est radicalement NON.
Cet après-midi, je suis allée repérer des lieux ( à une dizaine de km de chez moi) où mes deux Pottok, Altxor et sa maman Gaztain, pourraient bien aller passer
quelques temps pour libérer un peu le terrain de la maison, devenu un vaste bourbier, et lui permettre de se reconstituer.
Depuis quelques mois, cette lande, située sur le territoire du village d'Aincille, était occupée par des ânes de Charlotte d'Anjou.
Aidée de deux amis, Charlotte est allée chercher les ânes, en cet après-midi de Pâques, afin de les ramener chez elle, à Irouleguy car la saison des promenades va
bientôt commencer.Manifestement, ci-dessus, il y en a deux qui sont heureuses de se retrouver.
Et en route pour environ trois heures de marche. Tttipi ttapa, ttipi ttapa.
Ci-dessous, deux photos prises depuis la lande d'Aincille.
Et pour le voyage ( en van) d'Altxor et Gaztain, je vous tiendrai au courant.
- Se débarrasser des trucs que l'on aurait mis de côté pour qu'un jour je puisse faire plaisir à quelqu'un plutôt que de jeter.
- Se rencontrer le temps d'une journée pour faire connaissance avec ses voisins et les associations qui proposent cette animation.
Les associations et leurs complémentarités :
- Y'A MATIERE ! a pour but, elle, de contribuer à la réduction des déchets (ou considérés
comme tel) par la prévention, la sensibilisation, la revalorisation, la réutilisation et la création.
- SELGARREKINa pour but, elle, d’échanger sans argent des biens et des savoirs, des
savoir-faire et services.
- AIMA le TROCOEURa pour but, elle, localement de favoriser l'anti gaspi, la solidarité, le partage en soutenant le troc d'objets dans son magasin solidaire situé à Bardos. Plus largement de
récupérer du matériel en très bon état voué aux déchetteries et d'organiser sa vente à petits prix localement, nationalement et internationalement.
À Bardos également, un jardin de démonstration, de formation, de compostage, de jardinage au naturel accueille différents publics. Ces 3 associations, se complètent par les valeurs qu'elles partagent, la solidarité, l'échange et la bienveillance.
Le jour j. :
- lundi 1er Avril (1er jour de la Semaine du Développement Durable 2013).
- Place des Gascons (hauts de Bayonne).
- de 09h00 à 17h00.
Le
concept :
“la zone de gratuité n’est ni une brocante ni un vide-greniers. Il s’agit d’un espace temporaire non-marchand.”
Chacun peut déposer des objets dont il ne se sert plus mais qui seraient utiles à d’autres, et n’importe qui peut les prendre. Pas d’échange d’argent, le sourire
suffit. »
ON DONNE - ON PREND - Si ON A ENVIE
L’accès est ouvert à tous, n’importe qui peut proposer des objets ou en récupérer. L’idée, c’est de partager. L’idée, c’est de se rencontrer”
TARIF UNIQUE - UN SOURIRE
La rumeur ou le bouche à oreille:
C'est la méthode de communication retenue pour faire parler de la ZONE DE GRATUITE.
vous trouvez l'idée intéressante?! N'hésitez pas à la partager à votre réseau (à l'oral, mail, réseaux sociaux, Web...)
Si votre temps libre vous le permet, vous pouvez d'ores et déjà nous partager ou
échanger votre engouement pour cette action.
Nous sommes à votre écoute pour toutes vos propositions qui pourraient amener quelques petits plus à la ZONE DE
GRATUITE.
Si vous avez des objets à donner, n'hésitez pas à venir les partager !
Après Urraska et Goazen, Le groupe Zarena Zarelako présente son nouveau spectacleAINARAKau Jai Alai de Saint Jean
Pied de Port le samedi 6 avril 2013 à 20h30.
Ce nouveau spectacle, inspiré des danses traditionnelles, raconte une page d’histoire : celle des jeunes filles venues de Navarre et d’Aragon dans les années 1910-1914, pour travailler
dans les fabriques de sandales de Mauléon.
Les danses seront présentées par 13 filles et 7 garçons, tous issus de groupes de danse basque traditionnelle.
Le projetAINARAKareçu le prix EKIMEN, ainsi que le soutien de l’Institut Culturel Basque et de l’Institut de la Danse
Basque.
Sartzea / Entrée: 12 € sur place /
toki bertan
Urririk haurrentzat (10 urtetik petik) / Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans
Txartelak aintzinetik erosten ahal dituzue 10 €-tan salmenta puntu horietan :
Places en prévente à 10 € dans les points de vente suivants :
Donapaleun : Amikuzeko liburu dendan
Baiona : Elkar Megadenda
Maule : Radio Xiberoko Botza Irratia (18 rue Victor Hugo karrika)
Donibane Garazi : Radio Irulegiko Irratia (15 avenue Jai Alai etorbidea) / Turismo bulegoa / Office du
Tourisme
Baigorri : Turismo Bulegoa / Office de Tourisme
Xehetasun eta erreserbak / Renseignements et réservations :
Irulegiko Irratia : 05.59.37.14.11
Xehetasun gehiago-retzat / Pour plus de renseignements,
Pascale Lascano : 06 82 32 03 43
Apirilaren 6an larunbatez, Donibane Garazin, Arr.8.30etan, Jai
Alaian!
AMAREN ALABAK taldea +AINARAKdantzaikusgarria !!!!!
Urraska ta Goazen ikusgarrien ondotik,Zarena Zarelako taldeak AINARAK bere ikusgarria
presentatzen du 2013ko apirilaren 6an larunbatez arr.8.30etan, Donibane Garaziko Jai Alaian.
Dantza tradizionaletik inspiraturik dantza ikusgarri sorkuntza berri bat sortu da.
Ikusgarriaren gaia : Nafarroatik eta Aragoietik etortzen ziren neska gazteak MAULEKO espartin entrepresetan lan
egiteko. Garaia 1910 eta 1914an kokatzen da.
Gérard Garat, à gauche, avec Sabalette et Beheretche dans les années 60. (Photo archives Jean Velez)
L’élite sportive du village basque sur la mer a dû aller chanter dans une église pleine à craquer pour accompagner le
retour aux cieux de l’une de ses plus belles étoiles : le pilotari Gérard Garat.
Si aujourd’hui le surf est en vogue tandis que le rugby poursuit son bonhomme de chemin, le grand chistera était, voici un
demi-siècle, le jeu qui remplissait les gradins d’Hendaye à Biarritz, et en particulier à Bidart et Guéthary. Et Gérard Garat, en équipe avec d’autres maestros du terroir, accumula les titres de
champion de France dans les années 60 et 70, aussi bien chez les cadets-juniors que chez les seniors.
Son épouse Elisabeth évoque en souriant ses innombrables victoires : « Un jour, la fédération en a eu marre de voir
toujours Gérard, Pierre Jaccachoury, Jacques Sabalette et Billy Beheretche champions chez les amateurs, et leur a dit qu’on ne voulait plus d’eux, qu’ils aillent s’inscrire chez les indépendants
». Pierre Jaccachoury, qui deviendra plus tard maire de Bidart, déclina l’invitation, mais Gérard Garat se fit un plaisir d’aller relever les défis chez ceux qui avaient le droit de gagner
quelques francs en maniant le grand gant.
Après le brutal décès accidentel de Billy Beheretche, rugbyman-pilotari, en 1971, Gérard Garat prit quelque distance avec
le sport. Pas longtemps. Il repartit sur les canchas avec le même appétit de victoire, fit longtemps équipe avec le Luzien Jean-Pierre Miura. Gelos, Hiriarte, Bedere eurent aussi la joie de
partager des titres nationaux avec celui qu’on n’hésitait pas à qualifier de meilleur spécialiste du grand chistera de tous les temps.
67 ans cette semaine
Modeste et discret, cultivant l’amitié et l’esprit de famille, le champion fit en sorte de passer le témoin, et à
Elissaldia, le restaurant-bar-trinquet du village, où sa photo est en bonne place dans la pièce principale, la famille Exposito n’oubliera jamais que si le fils de la maison est devenu un grand
joueur, c’est grâce à Gérard. Et que ce même Gérard s’est pudiquement effacé pour que le grand-père de la maisonnée, très malade, aille accompagner le « petit » pour la remise du titre.
Aujourd’hui, la Kostakoak, son club de toujours, le club de Bidart, continue à former les meilleurs jeunes de grand gant.
La discipline naguère populaire est désormais plus confidentielle, même si l’été les vacanciers raffolent des envolées. Nous l’avons dit, chacun s’accorde à dire qu’à ce jeu Gérard Garat était
invincible. « La seule partie qu’il ait perdue, c’est celle que nous perdons tous, contre la maladie » disaient ses amis, dimanche dernier, au match de rugby du BUC. Gérard Garat aurait eu 67 ans
cette semaine.
Le mardi 19 mars, comme l'an passé (un an déjà, misère!), je suis montée à la Pierre Saint-Martin avec les enfants de l'école d'Ainhice Mongelos pour une
journée de ski de fond, loin de l'agitation des pistes à tire-fesses et autres remonte-pentes.
Une équipe de France-3 Aquitaine était là en prévision de la "Journée des petits trappeurs" qui doit se dérouler ce dimanche. Apprendre à faire un igloo, se
débrouiller sur des skis de fond, marcher avec des raquettes en prenant le temps de regarder les arbres, les lichens, les traces des oiseaux ou des mammifères sauvages dans la neige, approcher
les chiens de traîneau, leur parler, comprendre leur mode de vie--- Certes, je n'aime pas trop les stations de ski mais cette approche me paraît autrement plus intéressante que les
montées-descentes énergivores.
D'ailleurs, si nous parlions de nouveau d'aller à la montagne, au lieu d'aller "à la neige" ou pire encore, "au ski"?
Je sais que certains vont m'agonir parce que je montre ces chiens de traîneau et que l'animal doit rester libre , ne pas subir le joug de l'être humain. Tant
pis, je prends le risque. Le chien est lié à l'homme depuis des milliers d'années. Qui saurait dire, d'ailleurs, lequel des deux a cherché à apprivoiser l'autre? Les conditions de vie de
ces chiens sont respectées à la Pierre Saint-Martin. Ils "travaillent" raisonnablement (leurs soigneurs les aiment, leur parlent, les caressent), ils sont bien nourris et sont, j'en suis certaine
( ma tête à couper) plus heureux que leurs confrères "d'appartement" qui finissent souvent en refuge SPA. Et quand je dis finissent, vous m'avez bien comprise. Mais surtout, oui surtout
-les enfants et les autres seront plus enrichis sensuellement, psychologiquement et affectivement , il me semble, par cette forme de rapport à la nature et aux animaux que par l'industrie
destructrice de la glisse.
Si vous n'êtes pas d'accord, je peux comprendre. Pas la peine de vous énerver. Vous voyez, une certaine expérience me pousse à prendre des précautions. Ah, les
zumains! Les chiens de traîneau sont moins agressifs. Je sais, j'ai discuté avec eux.
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