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25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 14:00

"C'est le plus grand, quel style inimitable, comment peut-on encore écrire après lui?"----j'en passe et des meilleures--- S'agissant de Louis-Ferdinand Céline, j'ai entendu ce style de louanges des centaines de fois. De la part de gens avec qui je n'ai que très peu d'affinités, voire pas du tout, mais aussi, hélas,et peut-être en plus grand nombre, de gens pour qui j'éprouve beaucoup de sympathie. Et j'ai toujours senti dans ces moments là que si j'opposais mon ressenti à moi, j'allais passer pour une inculte, attardée mentale et coincée du cul. Donc, lâchement, je me taisais. Mais voilà---un soir, dans un salon où l'on cause, j'ai craqué et maintenant, je me sens mieux, je ne souffre plus en silence. Ca y est, je suis une grande fille, je m'assume! Dès que commence la litanie des formules de louanges toutes faites que l'on dirait récitées autour du moulin à prières ou un chapelet entre les doigts, je la fais taire. Pan sur le bec!

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Voici quelques lignes extraites d'un livre que j'ai lu en 1997   "Céline en chemise brune" Editions Mille et une nuits"1997. (première édition 1983). L'auteur s'appelle Kaminski. Je vous en recommande très chaudement la lecture. Découvrir un Céline horrifié devant une étude qui tendrait à prouver que les soldats Allemands sont producteurs de bien plus grosses quantités d'excréments que les soldats Français, et se demander alors si, tout bien réfléchi, il ne serait pas le dernier Aryen de la planète, je vous assure, c'est quelque chose! Même si cela ne décourage nullement tous les bavasseux qui, dans les salons littéraires, continuent à parler de lui la bouche en cul de poule et le petit doigt en l'air. Un peu comme ceux qui, lorsqu'on évoque devant eux l'abominable agonie du taureau dans l'arène, continuent à vous vanter  des trémolos dans la voix, la beauté de la faena, l'élégance du matador.

---"On est peut-être enclin à considérer le cas Céline comme un cas de folie qui ne dépasse pas un problème de critique littéraire. Mais "si c'est de la folie, elle a de la méthode", comme disait Hamlet. La méthode des nazis.
L'énumération de ce qu'il attaque et de ce qu'il défend paraît à première vue simplement grotesque. Examinée de près, cette liste révèle pourtant une ligne de conduite nette, un sens déterminé, un but précis,bref une politique. La politique des nazis.
Ses vociférations ont trois objets principaux:
1 Les critiques, les compositeurs, les médecins concurrents, ainsi que les auteurs qui ont plus de succès et gagnent d'avantage.
2 Tout ce qui représente la civilisation occidentale, la raison, l'esprit, le doute, le sens critique, la culture, le désir de la liberté, l'idéal de la tolérance et de la solidarité
3 Les juifs et les "enjuivés", formule spectaculaire pour personnifier un ennemi abstrait et pour justifier le sauvetage du monde par le national-socialisme---"
---"Que les personnes à l'affût d'émotions sexuelles soient cependant prévenues : la pornographie dans "Bagatelles pour un massacre" n'est pas suggestive. Si elle est faite pour la vente, elle n'est pas réussie. C'est de la scatologie froide, produit d'une dépravation maladive qui fait comprendre la haine de Céline pour Freud".
Hanns-Eric  Kaminski, juif-allemand en exil, journaliste.1938
 
---"Dira-ton aujourd'hui où toute réflexion sur les rapports entre esthétique et éthique est frappée de suspicion : Quel naïf, ce Kaminski, quel immature! Lui reprochera-ton d'avoir pris au sérieux le racisme biologique des années trente sous sa forme la plus littéraire? Considérer comme close la question Céline, comme obsolète celle de la responsabilité de l'écrit, ce serait faire comme si les questions que la littérature toute entière se pose à elle-même avaient enfin trouvé définitivement réponse. Il suffirait ainsi de dire "C'est un écrivain", mieux, avec un tremblement dans la voix "C'est un grand écrivain"" et l'on aurait tout dit.
Céline grand écrivain et écrivain raciste : il faudrait penser ce "et"; en particulier la façon dont il se manifeste dans la langue. Au lieu de réfléchir à cette articulation, que fait-on? On établit un rapport de causalité entre les deux termes, ou bien on élude peu à peu le deuxième terme, ou encore on colmate par de la mythologie, on arrange Céline, on le maquille, on le fétichise, on lui cherche toutes les excuses du monde, on reprend tels quels tous ses mensonges; ou encore, on allonge le bonhomme sur un divan. Bref, on anesthésie l'oeuvre pour la mettre au pinacle de la-Littérature-à-l'-état- pur. La politique ne la traverse plus, sa langue est hors-histoire- et l'on paraphrase les déclarations de Céline sur l'émotion et la musique, quand il faudrait analyser ce qu'elles empêchent de penser---
Nous vivons encore pour une part sous l'emprise d'une représentation hagiographique de la littérature où de séduisants paradoxes se sont figés en de nouveaux conformismes. Une mythologie néo-romantique, sublimant l'excés et sacralisant la part maudite, réduit le mal idéologique ou historique au mal tout court. Elle aligne le politique sur le psychanalitique, noie l'antisémitisme des années trente dans le cauchemar du siècle, et le cauchemar du siècle dans une haine de tous les temps. On retient encore, d'une mystique désuète, l'icône de l'écrivain reclus et fétichisé, qui permet de légitimer la mise en scène compassionnelle d'un Céline martyr et meurtri-indécente au regard d'autres persécutions. La généalogie de la lecture célinolâtre tend ainsi à se confondre avec la préhistoire d'une panhéonisation et d'un sacre".

Jean-Pierre Martin, écrivain, professeur de littérature 1997

 

                                               Adolphe, dont Céline se disait "grand-ami".


Vous connaissez "Ferdinand", la chanson de Pierre Perret?: "As-tu gagné le ciel, Ferdinand, auquel cas tu n'dois pas être heureux, car si c'est vrai ce que l'évangile nous apprend, les négros vont aussi dans les cieux". A un moment, il dit "Mais ce ne sont là qu'épines d'acacia, d'un pt'tit chansonnier, d'agaçants propos, qui font ricaner l'intelligentsia (pan sur le bec, ça c'est Jenof@ qui ajoute, na!) et les nostalgiques de la gestapo".
 
J'ai entendu un jour quelqu'un tenter de faire un rapprochement entre Vian et Céline,  cet anarchiste d'extrême droite uniquement préoccupé par sa petite personne. J'espère que le "Pauvre Boris" cher à Ferrat  et à tant d'écologistes n'a rien entendu de ces paroles et qu'il ne s'est pas retourné douze  fois dans sa tombe.
Perso, le seul point de désaccord entre mon défunt-père et moi, a été celui-ci. Je n'ai jamais compris comment lui, libertaire, tolérant, altruiste, drôle,tendre et sensible,accueillant et à son aise avec toutes les générations, émerveillé devant toute forme de vie, chantre de toutes les différences, pouvait me tenir le même type de discours/ "Ah, certes, un triste Sire mais un tel écrivain!". A sa mort, je me suis fait violence et j'ai lu tout Céline, le coeur au bord des lèvres en permanence. De là m'est venu mon goût pour le whisky et les alcools forts, faut bien faire passer les nausées. Je n'ai pas trouvé les réponses aux questions que je me posais. Puis un jour, la présence de ces livres quelque part au grenier de la maison ne m'a plus semblée supportable. Je me sentais salie et j'avais la lourde sensation de souiller l'âme de cette vieille maison basque (même pas aryenne, vous vous rendez-compte!!!!). Alors, je les ai rassemblés dans la cour et j'en ai fait un grand feu purificateur. Et ceci, sous le regard approbateur de ma mère qui  n'avait jamais compris non plus comment l'homme de sa vie avait pu avoir de telles faiblesses littéraires.Il faut dire qu'elle, pendant l'occupation nazie, était allée en consultation, sans savoir que c'était lui, chez ce "bon docteur Destouches" qui aimait tant les chats. Elle avait découvert une antre puante et repoussante et s'était sentie agressée par le regard de dément du dit Docteur.  L'avait pas le sens de l'esthétisme pur dans la littérature, ma maman!
Enfin, paraphrasant Pierre Desproges qui parlait du "National Hebdo", je dirais que lorsqu'on lit un livre de Céline, on fait de gros progrès en littérature car on a à la fois la nausée et les mains sales.
 
Vous savez quoi? Il me semble que sans la capacité d'émerveillement et de compassion, tout être humain n'est qu'aigreur, un danger en puissance, une bombe à retardement. C'est un peu ce que dit Hubert Reeves "Comment retenir la pulsion de tuer quand la jubilation est absente?"
Et comme Giono dit aussi qu'"une sainte haine est un brandon de joie", je souhaite de toutes mes forces que l'enfer existe bien et qu'il y grille pour l'éternité, ce  "grand écrivain" qui se baptisait lui-même "le plus nazi des collaborateurs" et qui disait de la France qu'elle était "une femelle, toujours prête à tourner morue". Une fois de plus, je m'adresse à vous, mes bien chères soeurs. Je vous laisse apprécier.



Et, en bonus, ce texte de Gérard Charollois, Président de Convention Vie et Nature pour une écologie radicale.


 L’idéologie funeste des tastes mort.

 

           Face à la forte contestation de la torture tauromachique et de la chasse, quelques littérateurs, journalistes ou philosophes, unilatéralement publiés par la presse formatée, tentent par de pitoyables sophismes de justifier l’instinct de mort.

Vous lirez, sous leurs plumes hargneuses que tel peintre momentanément très célèbre, "snobisme oblige », tel romancier fasciné par la mort au point de se la donner, célébraient la corrida.

D’autres propagandistes, en d’autres temps, auraient pu justifier l’horreur fasciste par le talent de CELINE, de Robert BRASILLAC, de Lucien REBATE et le verbe puissant de Philippe HENRIOT.

La notoriété ne change pas le crime en vertu.

Puis, les tastes mort tentent le débat d’idées et énoncent :

« La vie implique l’acceptation de la mort, terme inéluctable. La tauromachie, la chasse sont des rituels initiatiques, une symbolique du combat de l’esprit sur l’animal et le taureau (de combat) est fait pour combattre et pour mourir. Ici il affronte l’homme comme dans la nature, il aurait dû subir les attaques du tigre ou du lion.

Sa souffrance dans l’arène se justifie  puisqu’en toute hypothèse les êtres vivants doivent mourir et pour cela souffrir préalablement. Ceux qui condamnent les spectacles et loisir de mort refusent en fait la vie, puisque celle-ci implique son inéluctable issue ».

 

Ce raisonnement spécieux décliné sous diverses formes par les littérateurs zélateurs des corridas et de la chasse  débouche immanquablement sur la valorisation de ce qu’ils prétendent accepter.

 

Dans cette optique, dès lors que la mort est le terme imparable de toute vie et dès lors qu’il faut nécessairement mourir un jour stupidement, pour rien, considérons comme premiers philanthropes ceux qui par la guerre et l’extermination de masse offrent à des millions de jeunes gens la chance de mourir sains, beaux, virilement  pour une cause ardente, une race, un pays, un parti.

Ces grands philanthropes leur évitent les affres de la vieillesse et de la maladie.

Après tout, l’homme est condamné à choisir : mourir jeune ou devenir vieux et les deux perspectives l’effraient.

Devenir vieux signifie une mort par morceaux,une progressive diminution de toutes les facultés, l’affaiblissement de la mémoire, l’impuissance sexuelle, le ramollissement des muscles et du cerveau,  la condamnation à la retraite qui implique le retrait.

Devenir vieux, c’est être ce que les pas encore vieux redoutent d’affronter, qu’ils rejettent et trouvent laid. C’est nourrir la peur de tout, finir en  électeur de droite et s’abîmant dans son propre crépuscule, devoir mourir quand même.

Bref, NAPOLEON et HITLER en moissonnant sur les champs de bataille, champs d’honneur et de gloire, la jeunesse de leurs pays firent œuvre de générosité en proposant d’ajouter la magnificence  du sacrifice à cette mort qu’il faut tellement accepter que nul ne saurait s’offusquer de ce qu’on en avance juste un petit peu l’avènement pourvu que ce soit dans la lumière et la symbolique.

Mourir à vingt ans les armes à la main, vous préserve efficacement du cancer et  de l’accident vasculaire cérébral qui sans le don héroïque  suprême seraient advenus indubitablement.

 

Tel est l’aboutissement du raisonnement des tastes mort qui veulent vendre la corrida et la chasse au nom du destin fatal et tragique des êtres, destin qu’il conviendrait de théâtraliser, de ritualiser pour le sublimer et l’accepter pleinement.

 

Non. Ce sophisme criminogène doit être récusé.

 Ce n’est pas parce que la mort gagne toujours qu’il faut lui prêter la main et ajouter de la souffrance au monde.

Même si tout être vivant est un condamné, offrons-lui de la douceur, de l’affection, du plaisir, du repos.

Que l’intelligence humaine serve à faire reculer et non à exalter la mort qui n’a pas besoin de nous pour accomplir ses œuvre perverses.

 

Tastes mort et fascistes sont indissociablement unis idéologiquement dans leur aspiration morbide à la violence primaire qui rassurent leurs peurs sous le paravent de la ritualisation ou d’un héroïsme guerrier de pacotille.

Le torero, le chasseur et le SS n’ont rien de consolateur de devoir mourir un jour.

Cette réfutation s’adresse aux prétendus « « intellectuels » », contempteurs de lapensée écologiste, besogneux de la tauromachie et de l’art cynégétique, et non aux foules de badauds, troupeaux grégaires, qui vont aux corridas ou à la chasse parce qu’ils voient les autres y aller, sans même méditer un seul  instant sur la tragédie de vivre.

La foule obéit à son cerveau reptilien et la masse exonère l’individu de sa conscience et de sa responsabilité.

La foule suit la foule et fait ce que font les autres  par pur mimétisme.

Ses victimes expiatoires changent selon les cieux et les époques, mais l’instinct demeure.

Des combats de gladiateurs aux bûchers du Moyen-âge, des génocides bruns aux génocides rouges, des bombardements de villes aux chasses aux canards, l’homme célèbre l’art de tuer qu’il prétend ériger en art de vivre.

L’animal humain reste à hominiser pour devenir  ce qu’il s’imagine être déjà.

           Gérard  CONDORCET.

CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE.

 

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commentaires

E
Selon un certain Stéphane Zagdanski, dans une émission diffusée sur Arte en 2011 les pamphlets de Céline sont des « textes très drôles, étonnants de comique »,propos qu’il répète en espérant qu’ils produisent un sens.La thèse très célinienne de l’écrivain clown,paranoïaque et délirant est grotesque.Cette émission est un tissu d’erreurs,de contre-vérités,un galimatias de non-sens inspirés par un inquiétant aveuglement.Cet aveuglement,très célinien également,est délirant,débilitant,nocif,dangereux.Il porte un nom :l’antisémitisme.Les « pamphlets » de L.F. Destouches ne sont pas « stupéfiants » mais criminels.Non « Bagatelles pour un massacre » n’est pas un « traité de style » :selon LF.Destouches la littérature c’est de la merde et,pour la bien pratiquer,il conviendrait de « bien chier » (« chie pas juste qui veut »).Est-ce une position esthétique ?Non,c’est la volonté de promouvoir un projet esthétique inspiré par l’abjection.Non,l’histoire du XXème siècle n’est pas un « délire »,la littérature ne l’est pas davantage. « Un écrivain, un génie est en lutte contre son époque, il ne collabore pas avec son époque, il ne fait pas confiance à son temps »ajoute M.Z.Ce M.Z.est visiblement peu informé et se laisse aveugler par son amour pour ledit Céline qui échappa au poteau d’exécution parce qu’il prit la fuite, la « merde au cul »….Il est attesté que M.LF Destouches a été un collaborateur actif et zélé des nazis (agent du Sicherheitsdienst ou SD dirigé par Heydrich) et a même appelé au meurtre de différents écrivains parmi lesquels Robert Desnos, assassiné dans le camp de Terezin.Robert Desnos, lui, a résisté à son temps avec un courage exemplaire et l’a payé de sa vie..L’antisémitisme, indissociable de la haine de l’Occident démocratique, a été une affaire très sérieuse,la seule sans doute,pour Céline :si on l’occulte il reste bien peu de choses de son « œuvre ».Pour ma part je préfère amplement la truculence langagière de Rabelais ou celle de Clément Marot.Certains voudraient à toute force réhabiliter Céline pour des raisons peu avouables.Qu’ils se rassurent : Céline est bien parvenu à se hisser au sommet d’un seul podium, celui des plus grands écrivains racistes et antisémites de tous les temps.
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L
Je me rappelle avoir lu "Voyage au bout..." après avoir vu Cyclotor qui avait adoré. Je ne me souviens de rien. Il y a des livres, même si je ne me souviens pas de quoi ils racontent précisément, il reste un souvenir, comme une décantation. Là, rien. D'ailleurs si je n'ai lu rien d'autre de cet auteur c'est que j'ai pas dû être très emballé.
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J
C'est ben vrai tout ça.<br /> C'est drôle, c'est ainsi que commence la chanson de Pierre Perret."J'ai cru découvrir un grand écrivain.J'avais dix-huit ans quand j'ai lu "l' voyage", puis "Mort à crédit, et après plus rien, que des mots fascistes, j'ai tourné la page".<br /> Ceci dit, si beaucoup d'hommes se laissent prendre aux filets de Céline par le voyage et mort à crédit et le laissent tomber ensuite, je ne connais pas des masses de femmes qui accrochent même à ces deux livres cités. Ils sont tombés des mains de celles que je connais.
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C
J'ai lu le voyage sans savoir qui il était ni de quoi il s'agissait, juste pour le titre et la triste peinture en couverture. Et j'ai énormément aimé. Après j'en ai lu d'autres... Et j'ai détesté. Au milieu de centaines de pages ultra chiantes, il a écrit des horreurs. <br /> <br /> Tout d'abord le fameux style ! Des exclamations ! Du rhytme ! Du rhytme que diable ! Et donc des pointillés... En veux-tu... En voilà... Varier la vitesse et l'intensité des propos, comme en musique, ça éveille les sentiments. Mais ça ne veut pas forcément dire quelque chose. Une belle forme séduit, un discours bien conçus interpelle. Il faut se libérer de tout sentiment pour voir si le fond, lui, est en accord avec la raison... Hélas, le monde est ainsi fait que la forme est souvent plus efficace que le fond. Et on regardes parler notre président au lieu de l'écouter. La force du vampire, la force du diable, le mal... C'est souvent cette capacité à séduire. Reconnaître un génie ne veut pas dire partager ses idées. Je dirai même que comprendre quelle est la force de quelqu'un facilite la manière d'appréhender un combat. Il n'y a pas de honte à ne pas aimer Céline ! Certaines de ses oeuvres devraient quand même pouvoir vivre indépendement de leur auteur...
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