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19 octobre 2018 5 19 /10 /octobre /2018 17:39
Comme un p'tit coquelicot

Je le trouve bien gentil, moi, Fabrice Nicolino. Parce qu'enfin, qu'est-ce qu'elle dit la Conf? Que l'agriculture biologique peut parfaitement s'accomoder de l'industrialisation de l'agriculture? Là, je suis d'accord et elle a déjà bien commencé, greenwashing, grande distribution et mondialisation, récup à fond les manettes par le système capitaliste. Mais là où le bât blesse, c'est que,(ou alors je ne comprends plus la langue française) si je poursuis la lecture, je traduis (pardon si je me trompe) que dans l'état actuel des choses, l'agriculture biologique, c'est forcément ça, comme s'il n'existait pas aujourd'hui de petites fermes bio qui vendent en "local" et avec le moins d'intermédiaires possible. Parce que, quand je lis que l'agriculture paysanne est garante de l'absence de pesticides, je me piiiiiince. Il paraît que tout ce qui m'entoure, c'est de l'agriculture paysanne, que ces "petits" fermiers soient FNSEA ou Conf. Et bien, je peux vous dire qu'on est bien loin du zéro phyto, mille fois hélas! Et je connais une petite ferme en bio qui a perdu son label à cause de ses voisins qui ne peuvent être taxés d'industriels de l'agriculture, qui balancent des pesticides à tout va. Et ça, ça fait mal. On a vraiment pas envie d'en rire.
Enfin, bon, en fait, tout ce qu'il y a à retenir, d'après moi, de ce communiqué , c'est que circonlocution après circonlocution, la Conf refuse de signer un appel qui demande la fin des pesticides. Autrement dit "Ne nous pressons pas, y'a urgence" Et ça commence à bien faire après la Conf qui manifeste contre l'ours avec la FNSEA, la Conf qui, sans rire,  affirme qu'il faut prélever des loups pour que ceux-ci comprennent qu'ils ont un prédateur et ici, dans les Pyrénées atlantiques, la position sur les feux de montagne (écobuages) qui n'a rien à envier à celle de la FNSEA, ça commence à faire lourd.
Autrement dit, la Conf, j'y ai cru, je l'ai soutenue pendant des décennies, mais là je n'y crois plus. Et je sais que je ne suis pas la seule.

 

La FNSEA, même pas la peine d'en parler.

Face à la Conf, je dirai "Qui aime bien châtie bien". Mais quelque chose me dit que je ne vais plus aimer très longtemps. Le processus de désamour est déjà très largement engagé.

 

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 13:25

Pour rejoindre la liste des signataires, et pour plus que ça si vous le désirez:  c'est ici : https://nousvoulonsdescoquelicots.org/l-appel/

N'hésitez pas à diffuser tant que vous pouvez.

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20 juin 2018 3 20 /06 /juin /2018 18:39

Merci à "La feuille verte", journal d'EELV Franche-Comté.

Le bio? Kezako?
Le bio? Kezako?
Le bio? Kezako?
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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 15:36

Une contribution de Daniel Labeyrie.

à Wasis DIOP

 

Le berger somalien marchait depuis des jours, des semaines, des mois portant son agneau sur les épaules. Il avait traversé miraculeusement l'enfer libyen échappant à des hommes en armes terrassés par l'alcool et la drogue.

 

Habitué à une vie ascétique sur les contreforts rocailleux des montagnes de son pays, il avait été contraint de fuir les exactions des milices extrémistes d'une nation en proie à la guérilla, aux meurtres et au pillage.

Il avait laissé ses parents dans leur maison de torchis en leur promettant de revenir dès que le calme s'installerait en Somalie.

 

Dans un petit port de pêcheurs, il s'est glissé dans la cale d'un rafiot rempli de pauvres hères dépenaillés, loques affamées venus du Soudan ou de campements de nomades du désert libyen. Quelques billets froissés, les derniers en sa possession, furent le prix à payer pour une traversée éprouvante qui les vit débarquer sur une plage déserte de la côte italienne.

 

L'agneau, serré contre son cœur, avait survécu au manque d'eau et de nourriture. Samba demanda l'hospitalité dans un ferme calabraise où le clandestin travailla pendant un mois à la traite des buffles. L'agneau était ravi de se refaire une santé avec le lait délicieux des bovins.

 

L'homme et son jeune ovin reprirent la route pour remonter la botte italienne jusqu'aux Alpes évitant villes et bourgs afin de ne pas se faire prendre par les carabiniers.

 

La traversée des Alpes fut aisée grâce à la douceur de l'automne. La traversée du parc du Mercantour occasionna quelques frayeurs lorsque les loups hurlaient au clair de lune. Faînes, châtaignes, baies sauvages furent le menu quotidien de survie pour le pasteur somalien.

 

Au bout de plusieurs semaines, Samba se retrouva dans les faubourgs du Chambon-sur-Lignon où une jardinière leur offrit le gîte et le couvert dans la cabane de son jardin. Chaque matin, la dame au cœur d'or leur apportait une galette et un pain de mie : la vie était belle pour les deux malheureux qui avaient souffert de la faim sur la route de l'exil.

 

Il était hors de question de s'aventurer dans les rues du Puy-en-Velay où l'on pouvait faire de mauvaises rencontres de jour comme de nuit.

 

A l'approche de Noël, les Diaconesses du Mazet Saint-Voy, dans leur légendaire générosité préparent une crèche vivante pour la cérémonie.

C'est ainsi que Samba le berger fut invité avec son agneau à venir tenir compagnie à un nouveau-né venu au monde le 25 décembre sous l'auvent de la fromagerie du petit bourg. Un peu perdue, la jeune maman accompagnée de son mari sourirent au migrant somalien.

L'âne et le bœuf ne virent pas d'inconvénient à ce qu'un petit agneau vienne leur lécher les jarrets. Les deux autres bergers ne vinrent pas à la crèche pour cause d'agnelage et de fabrication de fromage.

 

La généreuse jardinière, ancienne boulangère, était aux anges. Tandis que les notes de cithare se mêlaient aux antiennes, une atmosphère de paix et de sérénité se mêlait aux bêlements de l'agneau de Somalie.

 

Le bonheur se lisait sur les visages des humains et des animaux. Un chat siamois, venu on sait d'où, ronronnait auprès de l'enfant au visage lumineux.

 

A l'issue de la cérémonie, on partagea gâteaux et boissons chaudes et l'on remarqua que l'agneau africain goûta pour la première fois de sa vie au chocolat au lait tandis que le berger avait trouvé un havre de fraternité sur le plateau.

Évènement extraordinaire, la burle, le sinistre vent glacial, s'arrêta de souffler pendant trois jours pour ne pas perturber ce moment de grâce.

 

 

 

 

 

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31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 09:36
La clinique Luro, Ispoure, Pays basque.

La clinique Luro, Ispoure, Pays basque.

Pour signer : lien tout en bas de la page.

En décembre 2015, le Conseil d’Administration de la fondation LURO, sur directive de l’ARS, décidait la fermeture de l’activité de chirurgie ambulatoire. La surprise fut grande pour de nombreux élus qui demandaient alors à surseoir à cette décision avant qu’une rencontre n’ait lieu. La décision fut malgré tout maintenue. Les élus qui se sont opposés ont obtenu la tenue d’une commission entre élus et membres du Conseil d’Administration, la première en décembre 2016 et la deuxième en mars 2017 à laquelle l’ARS participait pour appuyer la décision de fermeture de l’ambulatoire (opérations de la cataracte, du canal carpien, stomatologie -dents de sagesse-, fibroscopies, coloscopies...). Cette décision arrive à un moment où l’ambulatoire, qui est une activité qui repose sur une durée d’hospitalisation de 12 heures, se développe en France de manière fulgurante. En effet cela représente plus de la moitié des interventions aujourd’hui contre 1/3 il y a 8 ans, avec 66% pour objectif à l’horizon 2020.

      Ainsi, nous, élus et citoyens du Pôle Territorial Garazi-Baigorri et Iholdi-Oztibarre, nous opposons à la fermeture de l’ambulatoire et souhaitons informer la population des conséquences de cette fermeture pour notre territoire :

     1/ La suppression de ce service à Ispoure va entraîner 4 déplacements pour chaque intervention, sur Bayonne ou Saint-Palais. Cette contrainte va être subie par tous les patients et accompagnants de ce territoire, une difficulté supplémentaire, en particulier pour les populations les plus fragiles et les plus éloignées.

     2/ En 2016 il y a eu 685 actes. 15% d’augmentation par rapport à l’année 2015. Pourquoi fermer une activité avec une telle augmentation ? Les médecins exerçant à la fondation annoncent une marge de progression pouvant aller jusqu’à 1 100 actes minimum. Pourquoi le directeur a-t-il refusé de contacter d’autres spécialistes tels qu’un urologue, un gynécologue ou autres, qui étaient volontaires pour venir renforcer l’activité ambulatoire de la fondation ?

     Le directeur a souvent évoqué une activité déficitaire alors que partout l’ambulatoire est bénéficiaire.

Pourquoi a-t-il refusé de réaliser un audit financier que les médecins proposaient de financer ?

     3/ Ne risque-t-on pas de fragiliser l’avenir médical de la fondation  Luro, donc du territoire, en se privant des compétences et des spécialistes qui, à terme, ne se déplaceront plus sur Ispoure ? Le nombre d’actes de radiologie baissera, il en sera de même pour les consultations. Ne sommes-nous pas en train de créer un désert médical concernant ces spécialités ?

La fondation ne risque-t-elle pas à terme de finir en simple maison de convalescence et de retraite ?

     Nous en avons assez de nous battre contre le recul des services sur notre territoire.

     Nous ne voulons pas encore subir l’éloignement de ces services. Nous ne voulons plus entendre parler d’équilibre financier, surtout lorsqu’il s’agit de la santé…

Cette pétition sera remise à:
  • antton.curutcharry@orange.fr
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25 janvier 2017 3 25 /01 /janvier /2017 17:38
Des arbres et de la langue basque.

SEMEZ L’EUSKARA, INVESTISSEZ DANS NOTRE LYCÉE

 

En septembre 2017, le nouveau lycée de Seaska ouvrira à Bayonne, le seul lycée d’enseignement en Euskara d’Iparralde. Lycée général, professionnel et technologique, il accueille 400 élèves. 

300 000 € restent à trouver pour l’équiper.

Soutenez notre projet en achetant un pommier que vous planterez dans votre jardin ou que nous planterons pour vous dans le verger de l’Euskara. Offrez un pommier à notre lycée !

Pour participer, cliquez sur le bouton ci-dessous ou faites un virement bancaire vers le compte bancaire suivant :

IBAN :FR76 1333 5000 4008 0012 8466 819 / BIC : CEPAFRPP333

Vous pouvez aussi nous envoyer vos Euskos ou votre chèque à l'adresse suivante : Bernat Etxepare Lizeoa - 12 bis Mounede etorbidea - 64100 Baiona


Je planterai le pommier dans mon jardin Il sera planté dans le verger de l’Euskara

Petit glossaire pour les non-initiés(es):

Seaska : le berceau, Fédération des ikastola, c'est à dire les écoles immersives en langue basque.

Iparralde : Pays Basque Nord, que d'aucuns nomment Pays Basque français.

Euskara : la langue basque

Eusko : monnaie dite locale.

Des arbres et de la langue basque.
ACHETEZ UN POMMIER POUR AIDER A FINANCER UN LYCEE
 

En septembre 2017, le nouveau lycée de Seaska ouvrira à Bayonne Nord, le seul lycée d'enseignement en euskara d'Iparralde.

Les murs et le toit sont financés, mais 300 000 € restent à trouver pour équiper ce nouvel établissement. C'est l'objectif de cette campagne.

POURQUOI DES POMMIERS ?

Le pommier est lié à notre histoire, à notre patrimoine, il est un arbre fruitier emblématique du Pays Basque. Il y est cultivé depuis l’Antiquité.  Au VIe siècle, les marins basques qui embarquaient des tonneaux de cidre comme source de vitamines pour lutter contre le scorbut, le firent découvrir aux marins normands. Les premiers écrits au Pays Basque à propos du pommier datent du XIème siècle : les registres de monastères de Biscaye et les registres de donation font mention de la culture de la pomme.  A travers les siècles, la pomme et la production de cidre sont fortement ancrés dans la culture et les habitudes de vie du Pays Basque.

Il existe plus de 1000 variétés de pommes autochtones, certaines conservées, d’autres en danger de disparition et un effort particulier est mené par les associations de producteurs du Pays Basque afin de favoriser l’utilisation de pommes autochtones.

Beaucoup de points communs entre le pommier, l'Euskara, l'ikastola et nos lycéens : besoin et désir de maintien et nécessité de s'ouvrir vers les autres, vers le monde.

LE SYMBOLE

En choisissant le pommier comme image, nous véhiculons des idées qui nous ressemblent.

Le pommier est semé, il grandit en se nourrissant de la terre, de ce que nous voulons lui donner, nous le soignons, veillons sur lui. Lorsqu’il croît, il donne des fruits que nous croquons, partageons ou que nous transformons en jus, en cidre.

L’enfant qui intègre l’ikastola entre dans ce cycle : l’Euskara le fait grandir, le nourrit, lui donne la possibilité de partager. L’ikastola l’accompagne, et le lycéen, devenu un jeune adulte mûr est prêt pour relancer le cycle éternel de la vie.

Les variétés de pommes sont nombreuses, et chacune est unique à l’image de nos lycéens.

COMMENT PARTICIPER ?

Pour soutenir notre projet, vous pouvez acheter un pommier. Vous choisirez ensuite de le planter dans votre jardin, ou de nous le laisser pour que nous le plantions dans le verger de l'euskara. Ce verger sera situé à Bayonne sur une terre que la municipalité nous mettra à disposition.

Un pommier coûte au minimum 30 €, mais par soutien, vous pouvez choisir de le payer 50 €, 100€ ou plus. Pour l'acheter, rendez-vous sur la page principale du site pour l'acheter en ligne, ou envoyez-nous un chèque à l'adresse du lycée que vous voyez s'afficher en bas.

CALENDRIER DE LA CAMPAGNE :
        

- 27 octobre, conférence à St Jean le Vieux
- 17 décembre, distribution des pommiers sur la place des Gascons à Bayonne
- Février : plantation de pommiers dans notre verger
- Mars : soirée animée par les anciens élèves
- 29 décembre à Bayonne : Bertso poteoa dans les bars animé par les anciens élves     
bertsolari du lycée, et repas Bertso avec Sustrai Colina et Aimar Karrika
- Janvier, Bayonne : Txotx, ouverture de la saison des cidreries
- Juin : Sagarno Eguna à Bayonne

Des arbres et de la langue basque.

Première livraison de pommiers : Le 17 décembre,

de 9h à midi au Lycée.

 

Voici les différentes variétés :

apez sagarra (anisa) eri sagarra, min xuri, gordin xuri, urtats, labia, ezpal xuri, urtebi handi, urtebi txiki, goikoetxea, errezila.

 

Conseils pour ceux qui souhaitent les planter chez eux :

- Le 17  prendre les pommiers au Lycée et les planter dans les 2 jours qui suivent.

- Faire un trou de 20 centimètres, aérer la terre

- planter les pommiers à l'abris du vent.

- la greffe doit être en vue.

- Planter au soleil et non à l'ombre.

- Si l'endroit est très venteux, mettre un tuteur : On met le tuteur en premier puis ensuite le pommier.

- Si l'été est sec, arroser : Il vaut mieux lui verser 20l d'eau une fois par mois que l'arroser un peu souvent.

- Le pommier peut atteindre 6-7 mètres au bout de 10-15ans.

- vous cueillerez les pommes au bout de 3 ans.

Bonne plantation!!

 

Des arbres et de la langue basque.
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6 janvier 2017 5 06 /01 /janvier /2017 16:57
Rue Sainte Catherine

Une contribution de Bernard Caussade

Il fait froid sur Bordeaux. J’y étais ce matin. Dans la rue commerçante qui distribue la ville, rue saint Catherine, un jeune avec son chien s’extrait de ses couchages, on se connaît à peine  … discussion de passage, rencontre décalée entre un homme en retraite qui balade ses pas pour tuer ses instants et un gars de la rue. Et je ne m’y fais pas. Accident de la vie et rupture de couple, distributions des rôles et partage des biens, justice lapidaire pour un monde inhumain… il a gardé son chien, le soir quand la maraude lui propose un coucher c’est toujours sans son chien… il couchera sur place, les morsures du froid se partagent en amis.

Dans les palais dorés aux couloirs surchauffés les princes au pouvoir gavés de suffisances promènent leurs distances et leurs incompétences. Quand ils sortent parfois c’est pour nous abreuver de discours insipides aux accents indécents. Le froid n’est pas leur monde, la faim c’est au tiers monde, dans les rues de Paris ou celles de Bordeaux les soupes populaires, les nuits sous des cartons… contexte de climat et de situation.

Je hais les politiques qui promènent leurs aises dans des salles de fêtes pour les vœux annuels… chauffeur et secrétaire pour n’oublier personne, et le prochain mandat se gagne en accolades et galettes des rois… mon ami de passage, rue sainte Catherine attendra le printemps pour soigner les morsures de ces froids sur Bordeaux.     

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4 janvier 2017 3 04 /01 /janvier /2017 13:05
CAC 40 à l’ombre.

Une contribution de Peyo Etchebès, déjà publiée ici il y a longtemps mais tellement d'actualité que je ne résiste pas!

Bouledogue grincheux
Déambule sur le trottoir,
Spectre du mépris,
Molosse de la finance,
Cigare arrogant au bec,
Journal ouvert
Page des cotations.
Soudain,
Son visage se fige.
Il chiffonne la feuille,
L’œil irrité,
La jette à terre:
« La bourse baisse! »

Chatounet errant,
SDF fébrile,
Transi oublié
Assis sur le trottoir,
Triste sourire aux lèvres,
Se penche doucement,
Ramasse le canard
Et le déplie
Page météo.
Son visage
S’illumine soudain,
Radieux:
« La température augmente! »

 

    Pour signer la pétition demandant un vrai procès pour Madame Lagarde, c'est ci-dessous.

    Oncle Bernard, tu nous manques!

    Ecouter ci-dessous.

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    21 décembre 2016 3 21 /12 /décembre /2016 17:07
    Le premier CD de Mattin Lerissa.

    La première chanson de cette vidéo a été enregistrée le 9 décembre dernier en l'église de Behorlegi (Behorleguy). Mattin chante en duo avec Anje Duahalde, un "monument" de la chanson et du rock basques.

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    15 décembre 2016 4 15 /12 /décembre /2016 09:32
    C'est pas la Chine!

    1978, mais---toute ressemblance avec des faits d'actualité ne saurait être en aucun cas le fait du hasard.

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    • : Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
    • : Le blog de Jenofa, citoyenne du monde enracinée en Pays Basque, petite fourmi de l'écologie.Jenofa, ekologiaren xinaurri ttipi bat.
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