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2 septembre 2023 6 02 /09 /septembre /2023 16:12
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage
J'ai fait peur à l'orage

Tu sais, pour je ne sais plus quelle raison (mais forcément incontournable), je n'avais pu effectuer cette année l'autre marche rituelle, celle du 11 avril.

Alors, j'ai tenté ce jour de me rattraper un peu, malgré l'orage qui a tourné toute la nuit au-dessus  du quartier, faisant tomber certains tableaux des murs et qui grondait  en zébrant  le ciel encore ce matin. Je n'aurais pas supporté de rester cette fois encore à la maison.

Hasard ou pas, cette nuit, j'ai lu dans un roman" Si l'on savait le nombre de gars jouant comme des dieux et qui n'ont jamais décollé! Pour réussir en ce métier, il ne faut posséder qu'une seule qualité, croire en soi, être mégalo si tu préfères. Tous les artistes qui réussissent sont persuadés d'être surdoués. Aucune exception. Les véritables génies ne l'avoueront jamais, ils parleront de chance, ils la joueront faux modestes --- Ylian, non. Ylian était un vrai modeste. Ylian s'excusait presque. Vouloir vivre de son talent, quelle prétention! Ylian était un rêveur, pas un tueur.".

C'est fou comme  cet Ylian me fait penser à quelqu'un!

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2 septembre 2022 5 02 /09 /septembre /2022 16:43

Comme tous les 2 septembre et les 11 avril depuis 2014, je suis allée faire une marche rituelle afin de retrouver quelqu'un qui n'est plus là ---mais allez savoir après tout.

Je ne suis montée vers nulle part. Nous avons tant manqué d'eau depuis le début du  printemps que je  suis restée en bas en permanence,  à portée de vue de la Nive d'Ezterenzubi. Giono n'écrivait-il pas "Le bonheur est au fond des petites vallées"?

Avant de regagner mes pénates et tout en pensant très fort aux taureaux en train de se faire massacrer à Bayonne devant une foule de gens stupides et cruels, je suis passée voir les deux loustics, Altxor et sa douce et vieille maman Gaztain. J'ai cru les entendre me susurrer à l'oreille de passer le bonjour au cow-boy qui défendait les taureaux et qui avait peur des chevaux. 

Nb: J'ai emprunté le titre à cette citation d'Henri Vincenot" Marcher, vains dieux de misère, c'est le secret libérateur. On ne peut asservir l'homme qui marche".

On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
On ne peut asservir la femme qui marche.
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11 avril 2022 1 11 /04 /avril /2022 15:53
Parce que c'est le 11 avril ---

J'ai pratiqué aujourd'hui ma modeste marche rituelle  comme chaque 11 avril depuis 2014.  Mais submergée par ce déferlement de haine et de rancoeurs  après l'élection d'hier, impossible de me recueillir.

J'ai tout de même rapporté quelques photos --- et repensé à un texte de Frédéric Lenoir.

 

Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---
Parce que c'est le 11 avril ---

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11 avril 2021 7 11 /04 /avril /2021 14:20
Pour faire contre mauvaise fortune ---

Aujourdhui, comme chaque 11 avril depuis 2014, je suis allée marcher dans les collines en souvenir de quelqu'un, en rendez-vous en quelque sorte. Brouillard, nuages bas, pluie incessante. Peu importe, on n'est pas en sucre.

Ce n'est pas le temps qu'il fait ou ne fait pas qui pose problème. C'est qu'à chaque fois, j'ai beau partir en quête du beau, en quête du vivant, rechercher les arbres, les bois, les petites forêts, la flore sauvage,  fuir ce que d'aucuns appellent "les espaces ouverts" avec des trémolos dans la voix,  je  ne peux que constater l'avancée  de la destruction, du laid, du mort. De plus en plus de terrains pelés où la terre dénudée ne protège même plus le schiste ardoisier qui se délite, de petits et grands arbres calcinés. Spectacle de désolation.

Alors, ce soir, je décide de partager mes photos en deux groupes. Cow boy , celles qui sont sur ce "post" te rappelleront peut-être celles que je prenais pendant mes pauses-déjeuner pour te les envoyer et que tu aimais tant! Tu sais, il y a deux ans, j'ai fait une rapide incursion dans l'un de ces lieux que je fréquentais alors et là, ce que j'ai vu m'a fait prendre mes jambes à mon cou. Enfin, bon, là, je déguise un peu la vérité. En fait, je suis remontée dans ma voiture. La fuite était plus rapide.

Et sur le "post"  qui suivra  et que je m'en voudrais de te dédier, il y aura les visions de cauchemar.

N'empêche qu'en marchant dans ces endroits qui engendrent tant d'émotions différentes, souvent à l'opposé les unes des autres, une idée d'action  a traversé ma tête et on pourra dire ce que l'on veut, mais c'est grâce à toi.

Donc, une fois encore, je te dis merci.

 

 

Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
Pour faire contre mauvaise fortune ---
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3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 12:15
Aux sources mêmes de l'espérance

Aux sources mêmes de l'espérance

 

Ce titre est emprunté à celui d'une nouvelle de Jean Giono, publiée dans le recueil « L'eau vive » .Note de la blogueuse

 

Le 2 septembre, comme chaque année à cette date et à

une autre date au printemps, je suis allée marcher le nez

au vent, sans vraiment de but, si ce n'est celui d'aller

vers quelqu'un, d'être entièrement seule avec ce

quelqu'un devenu invisible Je dis bien marcher, pas

randonner car je n'aime pas ce mot. Vous imaginez Giono

écrivant « Ne suivez personne, randonnez seul, que votre

clarté vous suffise » ?

Depuis plus d'un mois, j'ai de très sérieux soucis avec la

source qui alimente la maison. J'ai donc cette année sans

en attendre rien mais par simple association d'idées,

décidé de me diriger vers Iturxilo, la source qui alimente

en eau la commune de Saint-Jean-Pied-de-Port ainsi que

celle de Lasse. ( Si vous voulez en savoir plus, n'hésitez

pas à prendre connaissance du « post » précédent ).

Je me suis promenée, j'ai fait des tours et des détours,

pris des photos dont certaines où l'on peut deviner de

très loin hélas, ma châtaigneraie en dégénerescence à

cause du cynips et quelque part tout au fond, mais alors

tout au fond de la vallée, la maison Uhaldia qui se cache

parmi les arbres.

Durant quatre heures, je n'ai pas rencontré, quel luxe, un

seul humain à pied ou motorisé, rien  que des  animaux,

d'élevage ou sauvages. Pas trouvé non plus trace de ces

hordes de touristes randonneurs dévastateurs dont on

nous a parlé cet été et dont je ne nie nullement

l'existence mais que j'ai la chance d'avoir évitées. 

Moi qui fus une très grande marcheuse, sans ces deux

sorties annuelles par tous les temps, occupée par tout un

tas de tâches et de plus en plus casanière, je ne sortirais

plus du tout.

Alors, à toi l'Albatros ( sourire ), je dis merci pour ces

moments. Et là, il me semble bien que je t'entends rire.

Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
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Aux sources mêmes de l'espérance
Aux sources mêmes de l'espérance
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2 septembre 2020 3 02 /09 /septembre /2020 17:10
Histoire d'eau ( de source)
Aujourd'hui, par un temps de rêve, ce qui est loin d'être toujours le cas , j'ai accompli ma marche rituelle du 2 septembre. J'en parlerai plus tard dans ce blog.
Ce soir, je vous raconte seulement une anecdote. Depuis plus d'un mois, j'ai de très gros soucis, et c'est peu dire, avec la source qui alimente la maison. Hier soir, me posant la question de savoir par où j'irai traîner mes Pataugas aujourd'hui, un nom m'est venu à l'esprit : Iturxilo. En langue basque, cela signifie le trou de la souce et Iturxilo est aussi le nom de la source qui fournit en eau les habitants des communes de Saint-Jean-Pied-de-Port et Lasse.
Donc, aujourd'hui, je suis passée devant le captage abrité par une construction en pierre et situé sur un terrain clôturé avec un portail muni d'un cadenas. J'aurais pu passer par dessus le portail, histoire de prendre une photo qui rappellerait (peut-être) à certains amis une sortie dans le coin que nous avions faite dans les années 1970. Je ne suis pas permis et j'ai continué mon chemin. Et au retour, que vois-je?Un ouvrier municipal de Saint-Jean qui arrivait en compagnie de deux ouvriers du service des eaux. J'ai demandé l'autorisation de les suivre jusqu'à l'intérieur du bâtiment. Autorisation accordée. J'ai donc pu prendre quelques photos et j'espère que notre passage n'aura pas trop dérangé la petite colonie de Pipistrelles qui vit dans cette construction.
Pour une fois, j'ai eu de la chance. J'ai marché quatre heures sans rencontrer un humain, ni à pied, ni motorisé ( que du bonheur!) sauf ces trois personnes.
Contente je suis.
 
Histoire d'eau ( de source)
Histoire d'eau ( de source)
Histoire d'eau ( de source)
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12 avril 2020 7 12 /04 /avril /2020 14:50
Au moins ne riez pas---

Le 11 avril,   j'ai fait comme je le fais depuis plusieurs années à cette date, mon pèlerinage personnel. Cette année, il fut plus court et réalisé près de la maison, règles de confinement obligent. 

J'ai cru  saisir que certains ne comprenaient pas, ni ma marche ni ma démarche. Alors je voudrais juste leur dire, même si je crains que ce soit peine perdue "Si vous ne comprenez pas, au moins ne riez pas."

Et aux personnes qui comprennent, je dis "tout simplement "merci".

Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---
Au moins ne riez pas---

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3 septembre 2019 2 03 /09 /septembre /2019 09:56
Quand ça ne veut pas---

Hier,je suis montée de Beherobie à Harpea. C'était l'une des marches que je fais deux fois chaque année depuis 2013 pour vivre une journée seule à seul avec celui qui ne m'a jamais quittée depuis. Et ça, aujourd'hui, pour être seuls,nous étions seuls! Marché des heures sans rencontrer ni homme ni femme ni animal d'élevage si ce ne sont, au départ, six cochons en totale liberté qui faisaient des bisous à trois chevaux à travers un portail et qui ont accepté que je les caresse. 
Et puis ensuite, des arbres, en particulier des hêtres patriarches immenses et au sortir de leur couvert, de la gentiane et toutes sortes de fleurs sauvages, des papillons et des sauterelles que je craignais à tout instant d'écraser sur ces sentiers cabossés, glissants car il avait plu cette nuit, profonds (presque des fossés), recouverts d'herbe.
Au retour, je prends une dernière photo et je continue à descendre pendant environ ( je n'avais pas d'heure) 45 minutes, jusqu'à m'apercevoir que je n'avais plus mon appareil. Je suis remontée, j'ai cherché, cherché-- mais n'ai pas retrouvé ledit appareil.
Un ami ( et quel ami!) m'a proposé de repartir avec moi à sa recherche mercredi afin de tenter de sauver au moins les photos. Comment rejeter un pareil geste même si, je l'avoue, je n'y crois pas?
Voilà, je voulais partager avec vous mes photos comme je le faisais avec celui à qui cette marche ( et non cette randonnée -nuance-) était destinée. C'est raté! 

 

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11 avril 2019 4 11 /04 /avril /2019 16:15

Voilà maintenant plusieurs années que chaque 11 avril et chaque 2 septembre, je marche dans les collines et dans la bien modeste montagne pour être seule avec celui qui n'est plus visible mais dont je sens pourtant la présence à chaque seconde.

J'ai marché aujourd'hui  pendant des heures sous une pluie incessante  ce qui n'est pas chose rare. D'habitude, pluie ou soleil, j'arrive à rapporter, malgré les stigmates laissés par les feux, quelques images porteuses d'espoir et de joie. Mais aujourd'hui, je n'ai guère trouvé que désolation. Tout a brûlé ou presque. Même les clôtures de piquets et barbelés, même les talus de bord de route, même le bord plat de certains chemins ou par endroits le revêtement a fondu. Sans parler des murets de pierre sèche si patiemment  construits par les ancêtres ( "Avec leurs mains dessus leur tête, ils avaient bâti des murettes jusqu'au sommet de la colline" chante Jean Ferrat), parfois disloqués, explosés sous la violence et la fournaise des flammes. 

Je n'ai photographié que mes frères les arbres et pardon si leurs images de martyrs vous fait comme à moi couler des larmes.

Pour sourire (jaune) à la fin de la série un poteau téléphonique hélas pas isolé puisque j'en ai vu plusieurs dizaines dans cet état. Et pour une petite lueur d'espoir malgré tout, un long ver de terre, rescapé de la tragédie ainsi qu' un paysage dont le flou "artistique" de la photo nous permet de rêver encore un peu.

.Que s'arrête au plus vite cet écocide qui ne pourra que se terminer par un ethnocide et la disparition totale du monde paysan. Puisque nous sommes dans une société qui fonctionne à coups d''aides et de subventions, avant même de rêver à un changement radical de système économique, faisons tout pour que les aides perverses de la PAC soit maintenant distribuées aux éleveurs de manière totalement différentes. Pourquoi pas doublées, voire triplées mais plus pour la destruction et la mort. Qu'elles le soient pour la Vie, la vie du sol, des plantes, des animaux et des générations humaines, celles d'ici ou celles d'ailleurs car nous partageons tous et toutes le même vaisseau, la planète Terre.

Pardon GM d'avoir gâché la fête, j'aurais préféré qu'il en fut autrement. Je compte sur toi pour continuer à me transmettre ta force. Je vais en avoir besoin.

Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
Désolation
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2 septembre 2018 7 02 /09 /septembre /2018 16:42

J'étais partie gravir la montagnette comme chaque 2 septembre et chaque 11 avril depuis maintenant quelques années, histoire d'être seule  et tranquille pour parler à mon âme jumelle. Aujourd'hui, j'avais choisi un endroit qui ne pouvait, de toute manière que me rapprocher de lui  ( bon, c'est UNE âme mais c'est LUI quand-même   --- c'est  bien plus facile en Basque vu qu'il n'y a pas de genre), et ce  pour des raisons qui n'appartiennent qu'à nous. Pour être seule, j'étais seule! En plus de quatre heures de marche à tournicoter dans tous les sens, je n'ai pas rencontré un seul humain, et encore moins, évidemment, un seul véhicule à moteur.

En revanche, il m'a semblé être poursuivie tout au long du périple par un feu qui enfumait une grande partie de la vallée. Pas un "écobuage", un feu statique, mais où que j'aille, je le voyais. Renseignement pris, il s'agirait de la combustion de laine de brebis. Autorisé? Surtout à cette saison? De toutes façon, mauvais, très mauvais pour la qualité de l'air.

Mais ce désagrément causé à l'écolo que je ne peux me cacher d'être ne m'a pas empéchée d'avoir en tête pendant mes pérégrinations cette phrase d'Omar Khayyam " Ne va pas croire qu'il puisse ne plus être et que son essence puisse être anéantie car c'est par elle qu'il est, bien que les formes disparaissent"

Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
Il y a toujours un coin qui me rappelle (air connu)
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