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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 20:45

 

  http://mixcite.rennes.free.fr/local/cache-vignettes/L421xH526/campagne-6e777.jpg

Jamais je n'oublierai Maritxu, marraine de ma fille, qui fut l'une des fondatrices d'"Emazteek diote".

Quelques réflexions sur le jouet,

Olentzero, Père Noël,

 

Faisons un vrai cadeau !!

- Offrons des jouets, livres, sans tenir compte des stéréotypes;

- Offrons des jouets qui respectent les ouvrières et ouvriers du monde entier, développons à long terme d'autres relations entre hommes et femmes, et entre peuples du monde. Renforçons les valeurs de complémentarité, de solidarité, de justice, de respect, de liberté...

 

Une autre manière de vivre est possible !

D'autres relations sont possibles entre femmes et hommes !

 

Combattons la dangerosité des jouets en plastique

Nous appelons les parents à la plus grande prudence dans les achats de jouets. La responsabilité des matières plastiques, y compris celles dites alimentaires (phatates, bisphenol A), est admise dans les troubles hormonaux et l'hyperactivité. Les emballages alimentaires, la vaisselle, les couverts en plastique et les jouets, que les enfants portent si facilement à la bouche sont à éviter.

 

Combattons les Violations de droits a la chaîne

Entre 70% et 80% de nos jouets sont «made in China». En septembre 2011, en plein pic de production pour Noël, les ouvrières chinoises de Jida Toy ont travaillé 11 heures par jour, 6 jours sur 7, soit bien au delà de la limite légale autorisée. En août, elles n'avaient déjà eu qu'une seule journée de repos. Les délais de livraison beaucoup trop courts imposés par Mattel à son fournisseur contraignent les ouvrières a un rythme de production inhumain. La concurrence entre les usines chinoises ( Jida Toy, Dongguan …...), fragilise encore davantage la situation des ouvrières qui sont loin de percevoir un salaire décent. Les ouvrières sont également victimes de discriminations de genre. Nombre d'entre elles ont notamment confié aux enquêteurs subir différentes formes de harcèlement sexuel.

 

La liste des violations des droits de ces ouvrières et ouvriers est longue ( pétition à signer sur www.peuples-solidaires.org ), adressée à la fédération internationale des industries du jouet.

 

Combattons les stéréotypes

Le jouet participe à la construction de l'identité de l'enfant, c'est un objet d'éducation, de transmission de valeurs respectueuses des personnes humaines, de tous les êtres vivants...

Permettons-leur quelque soit leur genre, de jouer avec dînettes, voitures, maquillages, jeux de société coopératifs, jeux de construction. N'agissons plus sous la pression des publicités et du conformisme. Transmettons aux enfants une autre vision du monde, tenons compte de leur santé présente et à venir. Offrons des jouets écologiques-éthiques, achetons dans d'autres lieux que les supermarchés-multinationales .

Tous c'est qui est bio-écologique n'est pas éthique et tous c'est qui est éthique n'est pas bio-écologique.

 

Sites Internet :

 

A lire :

  •  
  •  
    • Etxerako moduko gida ( Maria Jose Urruzola )

Contact : emazteek-diote@wanadoo.fr eta karkaila elkartea

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 14:19

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Une contribution de Daniel Labeyrie 

Le fils de la Montagne Froide

Est toujours ainsi

Demeurant seul avec lui-même

Sans naître ni mourir

 

 

         Inouï, décapant, étonnamment moderne, Han Shan « Montagne Froide » est un poète chinois du VIIème siècle que Daniel Giraud a dépoussiéré avec la rigueur et le talent qu'on lui connaît, dans une traduction précise, dépouillée, débarrassée de fioritures inutiles.

         Le traducteur, contrairement aux apparences a réalisé un travail essentiel, non pas le  travail dématérialisé d'un chercheur poussiéreux  d'un institut officiel mais il a pénétré le cœur, les tripes de ce clodo du dharma pour en restituer le meilleur.

         Daniel Giraud sait de quoi il parle, il a pérégriné son blues et ses savates sur les sentes embrumées des montagnes de Chine, il a brûlé son âme dans l'errance, toujours dans un souci d'authenticité, de rupture, de brisures dont on ressort  éreinté mais purifié de tous les miasmes d'une société mutilante à l'extrême.

         On peut dire que les destins de ces deux hommes se sont totalement croisés en profondeur alors que des siècles et des siècles les séparent.

         Des montagnes d'Ariège aux brumes glacées des hauts monts chinois, il y a le clair de lune qui ne cesse d'accompagner Han Shan au gré de ses pérégrinations: on imagine le poète dépenaillé dans une nature sauvage écrivant ses poèmes sur des rochers , des morceaux de bois et nous assistons au suprême miracle de lire aujourd'hui son œuvre qui aurait pu disparaître dans les cendres de l'histoire.

         Cet errant, sans feu ni lieu, était un bouddhiste Tch'an qui n'avait que faire des parlotes de monastères, des prêchi-prêcha de pseudo-maîtres de méditation;

         La poésie de Han Shan brise les conventions, se nourrit de sensations , s'intègre à la sauvagerie des forces de la nature et l'art de Daniel Giraud nous donne un belle gifle bien méritée afin que l'on puisse s'abreuver à cette source rare.

 

Mon cœur ressemble à la lune d'automne

Limpide, brillante et pure sur un lac de jade

Rien ne peut être comparable

Dites-moi comment l'exprimer...

 

Daniel Labeyrie

 

 

Référence: éditions « Révolution Intérieure »

" La voie de Montfroid" 14€ port compris chez l'auteur :
Daniel GIRAUD " La Ruère" 09140 Sentenac d'Oust.



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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 19:02

 

HEGALALDIA-002.jpg

Vendredi soir, 25 novembre, avait lieu , à l'invitation de l'association de  "Femmes 3000" http://www.femmes3000.fr/

dans une salle de la mairie d'Uharte Garazi (Uhart-Cize), une conférence de Laurence Goyheneche qui présentait le Centre de sauvegarde de la faune sauvage Hegalaldia /l'envol. Monsieur Camou, maire de la commune, s'est joint à la trop peu nombreuse assistance. Qu'il en soit remercié.

 

http://www.hegalaldia.org/

 

Hegalaldia, c'est une drôle d'aventure. Suite à la fermeture en 1996 de "La clinique des oiseaux" de Saint-Pée sur Nivelle que Monsieur et Madame Godard avaient créée et tenue à bout de bras pendant trente ans sans aide ni subvention, nous étions deux à vouloir prendre la suite car la structure manquait cruellement. L'un avait les compétences et moi, j'avais le terrain, sur la commune d'Uhart-Cize en Pays Basque intérieur, et une partie de la maison inoccupée. En l'an 2000, nous nous sommes donc engagés dans cette bataille et avons commencé à construire les premières volières, à installer de bric et de broc une salle de soins, un petit bureau, le tout  à la débrouille et avec trois francs-six sous. L'activité a pu commencer avec toutes sortes d'oiseaux à soigner, mais surtout des rapaces et plus particulièrement des Vautours fauves.

En 2002, nous avons connu la marée noire du Prestige http://www.mareenoire.info/prestige.htm

et l'association a ouvert pour quelques temps, grâce à de nombreux bénévoles, une annexe sur Biarritz afin de pouvoir parer au plus pressé mais surtout au mieux en ce qui concerne l'accueuil et les soins portés aux oiseaux marins.

A la fermeture de cette annexe, avec l'arrivée sur le Centre initial de nombre d'oiseaux marins, il devint de plus en plus criant que la structure d'Uhart, trop petite, pas très bien située, difficilement aménageable,  ne correspondait absolument plus aux besoins réels.Une opportunité sur la commune d'Ustaritz, une longue quête de subventions, un montage savant de dossier et le Centre Hegalaldia partait de chez moi en 2006 pour aller s'installer dans "l'entre-côte", comme on dit ici.

De 2000 à 2006, ce furent des années riches, animées. Dans ma vie quotidienne, ce ne fut pas toujours léger, léger. Beaucoup trop de monde en permanence à la maison pour la solitaire acharnée  que je suis, l'impression ( et ce n'était pas qu'une impression) de vivre chez les oiseaux, des difficultés matérielles accrues pour une Jenofa déjà pas trop habituée au confort, au douillet et au cosy. C'est vrai, parfois--- un gros ras le bol, une envie  violente de mettre tout le monde dehors à coups de pied dans le postérieur,  vite oubliés jusqu'au prochain  lâcher d'oiseau rendu à la liberté, moment où la joie vous tire souvent quelques larmes.

Alors, aujourd'hui, devant ce Centre qui se développe, qui élargit le champ de ses activités -habilitation pour toute la faune sauvage- jardins pédagogiques- plantations d'arbres, etc, je suis heureuse. Je ne tire aucune gloire de tout ce que j'ai pu vivre de très lourd pendant ces six années mais je ressens une grande satisfaction à l'idée que j'ai pu être utile, sans discours qui tournent en rond mais  dans le charnu de la vie.

Ben voilà, m'sieurs-dames, c'est dit .Mais je voudrais ajouter aussi  un salut spécial à Laurence et à Stephan et leur dire qu'ils me manquent parfois.Si, si, je vous assure! Et puis voili-voilou, ça aussi, c'est dit.

Vous pouvez aider l'association

en adhérant, bien entendu, mais aussi en donnant un peu de votre temps si vous n'habitez pas trop loin -et en particulier en vous inscrivant dans un réseau de bénévoles pour l'acheminement des animaux à soigner.


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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 09:00

 

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 11:29

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Jean Grenet  avec, à sa gauche, Olivier Baratchart, directeur des arènes .

Photo Jean-Daniel Chopin.  Journal Sud-Ouest.

 

Par l'association Bayonne irréprochable

asbair@orange.fr

Institution oligarchique dirigée essentiellement contre l’exercice citoyen, la Mairie de Bayonne est aux mains d’un notable férocement exclusif qui se veut seul puissant et verrouille arbitrairement la possibilité, pour toute association non nourrie dans le sérail, d’obtenir un local municipal ou une aide financière. En définitive, la notion d’équité de Jean Grenet est exactement opposée à la nôtre et c’est trop peu dire qu’elle n’a pour lui nulle valeur d’absolu car, dans son esprit, elle s’identifie étroitement à la notion de privilège.

 

Billet de réaction 21 novembre 2011

La fiesta brava en solde Que se cache-t-il derrière cet aréopage ès-bovidés tenant un conciliabule pompeusement auto-proclamé “assises de la tauromachie en France” (1) et que l’une des protagonistes, dans un excès de postérité, n’hésite pas à qualifier “de rencontre historique” ? Et voilà qu’à la pause médiatique de cette cérémonie, Jean Grenet nous explique que les 200 000 euros de déficit de la saison taurine 2011 tiennent principalement à la conjoncture économique actuelle. C’est à mourir de rire. En fait, chacun sait que la baisse de fréquentation récurrente des arènes de Lachepaillet doit évidemment moins aux déboires de l’économie mondiale qu’au désintérêt croissant de la population pour la corrida. D’ailleurs, le mouvement général de désertion des places taurines est bien antérieur au début de la crise et continuera après elle, irréversiblement. N’en déplaise à notre maire: l’animalicide artistique ne fait plus recette; c’est le moins qu’on puisse dire. Mais il s’agit surtout pour cette brochette d’édiles de première catégorie, sous couvert d’économie, de donner le change à une opinion majoritairement indifférente aux spectacles taurins, et qui en tolère de moins en moins les incidences pour les finances communales. Et la démarche de Jean Grenet n’est pas tant de remédier au déficit chronique de la temporada que de continuer à faire payer son aficionada avec l’argent des autres, sous des apparences moins dispendieuses. Seul l’intérêt général justifie un engagement aussi important d’argent public d’une ville. Or, l’intérêt général de ces manifestations n’a jamais été démontré par la municipalité, loin s’en faut. Alors, est-il bien légitime de continuer à financer à perte sur le dos du contribuable, une forme de divertissement qui ne divertit plus grand monde, ou ne vaudrait-il pas mieux céder la place à des prestataires privés? On comprend mal pourquoi une question aussi coûteuse pour notre commune n’a jamais été à l’ordre du jour du conseil municipal. Et l’on s’étonne aussi que madame Bisauta, chantre de la participation des concitoyens, ne les consulte justement pas sur le sujet (à vrai dire, ça n’étonne personne). Cela aurait pourtant le mérite de nous faire savoir si la majorité des Bayonnais souhaite continuer à régler l’addition des fastes tauromachiques d’une minorité d’entre eux. En attendant, avant d’exiger des autres de baisser leurs cachets, que le mundillo municipal commence par payer ses entrées; il n’y a pas de petites économies. Salutations citoyennes,

 

L’équipe de Bayonne irréprochable.

 

(1) Journal Sud-ouest du 18/11/11

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 17:56

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Une contribution de Marie Hernandez.
 
Bonsoir à tous
Un message pour vous faire part d’un véritable scandale  écologique sur la commune de Perquie (et peut-être ailleurs ?)  où les arbres sont massacrés sur les talus en bord de route ou de chemin communal.
Comme si Klaus et les scolytes n’avaient pas fait suffisamment de dégâts, voilà qu’à présent ce sont les « forestiers » qui sévissent. En l’espèce, après avoir dégagé les parcelles de pins dévastées par la tempête,   la coopérative forestière  CAFSA a conseillé  au plus gros   propriétaire forestier de la commune de supprimer tous les arbres feuillus des talus qui dominent sa propriété au prétexte qu’il s’agissait bien de pratiquer la monoculture de pin  et que les arbres des talus allaient  faire de l’ombre aux jeunes plantations et  les empêcher de pousser bien droit !!!
Comme vous pourrez le constater sur les photos que j’ai pu faire, il semblerait que  le but de l’opération soit  de ne plus laisser un arbre debout... Quelques propriétaires voisins ont réagi pensant que certains arbres   leur appartenaient mais vraisemblablement c’est le fond du fossé qui est la limite de propriété et ils n’ont rien pu faire.
Quoi qu’il en soit, et même si le propriétaire est dans son droit (je crois surtout qu’il n’est plus en âge de réagir…) c’est une chaîne d’irresponsabilité avec de pseudo-techniciens qui n’ont tiré aucune leçon de la tempête et conseillent n’importe quoi, des coupeurs venus de Roumanie (à quelles conditions ?) qui massacrent à tout va avec la même incompétence comme le montrent  les chandelles qui se dressent encore  après leur passage.
 L’arbre sur lequel j’avais apposé un panneau en bordure de mon champ a été épargné…
Il est hélas bien  tard pour ici  maintenant que tous ces arbres sont à terre pour faire du bois de chauffage  mais il faudrait faire en sorte que ce scandale ne se reproduise pas ailleurs.
Lire ci-dessous la présentation de la coopérative sur leur site !!!De quoi s’étouffer !!

 

Merci de vos idées, contacts, initiatives...
 
A bientôt
 
Marie-Paule

 

La CAFSA est à la fois une coopérative forestière et un groupe coopératif actionnaire majoritaire dans ses trois filiales :

Forelite : Production de graines et de plants forestiers,
S.DIGIT : Informatique et Systèmes d'Informations Géographiques dans la domaine forestier,
Bois et Forêts Sud-Atlantique : Exploitation forestière et de négoce de grumes.
Coopérative Forestière, la CAFSA est administrée par des sylviculteurs, élus, chargés de définir la stratégie et de veiller à ce que les orientations prises aillent dans le sens de l'intérêt économique des producteurs.

La CAFSA souhaite être le fer de lance économique des sylviculteurs en défendant les valeurs de performance économique, transparence, équité et de service.

Elle doit répondre à l'ensemble des attentes de ses adhérents au travers d'une approche globale de leur propriété : sylviculture - mise en marché des bois - aide à la gestion.
 
Elle a un rôle à jouer pour faire avancer les techniques et les organisations dans le sens
de  la performance et de la qualité en veillant en permanence à la sécurité des hommes
et la préservation de l'environnement.
 
 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 19:00

 

  http://img.over-blog.com/499x470/1/19/11/45/mes-images2/1000excuses.jpg

Une contribution de babel.

À tous les verts dans l’inquiétude de l’alliance avec le P.-S., soyez rassurés…

L’écologie est une visée à long terme. C’est pourquoi, avant de fermer les centrales pourries, il importe d’asseoir aux postes de commandement – dont les salaires, eux, viennent d’être augmentés – de vrais écolocrates qui ont une vision de l’avenir. Du leur, et entre deux portes, du vôtre.

Dans la même logique, je vous prie de ne pas imprimer ce document sur du papier recyclé : l’écologie nouvelle doit fournir un papier qui sera demain recyclable.

Nous vous promettons d’être fidèles à la nature, à Darwin, et à la sélection naturelle. Certes, les dinosaures, c’était de la chance. Avouons-le. Qui s’en plaindra ? Vous vous voyez jogger à Fontainebleau auprès d’un T.Rex ? Mais, depuis que nous, les humains gérons l’écosystème, les espaces libres, les espèces qui ne sont ni comestibles, ni décoratives, peu à peu disparaissent. Nous créons l’écosystème de demain. Stable et pérenne dans une vision globale avec du loden et vue sur la mer, qui en montant arrivera bien un jour à une heure du périph, non ?

Notez qu’à dater de maintenant dans écologie, éco signifie « économies ». Pas Économie, non ! On ne va retourner dans des bleds pourris faire du « commerce équitable », quand même ! ils n’ont même pas de haut débit pour notre buzz ! C’est : « économies », comme nos éconocroques à nous, car même pour les élus, c’est la crise. Dans mon golf à gazon biodégradable, nous avons été, oui, je sais, c’est pénible, contraints de remplacer certains éléments en bois des îles par du plastique, mais certifié sans OGM, bien sûr.

La nouvelle écologie a un projet social proche de tous. Ainsi, dès que nous serons élus à la Chambre, nous ferons voter une loi INTERDISANT (oui, nous savons parler fort) les graisses dans les sodas.

Nous avons rendez-vous avec l’avenir, comprenez que le présent attendra.

Le babel, qui ne votera pas pour ça en 2012.

 

petit rappel de la blogueuse : http://jenolekolo.over-blog.com/article-20685599.html

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 17:00

 

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Je dirai la douceur des jours tendres de novembre

La plainte du rouge-gorge sous l ‘averse

Le vert tendre de la renaissance des herbes

La chute des noix sur les feuilles amoncelées

 

 

 

Je dirai les punaises rassemblées sur le blanc des rideaux

Le coassement de la rainette cachée sous la pierre

La plainte des troupeaux dans les prairies embrumées

La course éperdue des nuages sous le souffle du vent

 

 

 

Je dirai les hirondelles en partance pour les cieux africains

La chute des pommes sous le regard des guêpes affamées

La mélancolie d’une feuille morte perçue dans un regard

Le chant de la corneille quand chavire le jour

 

 

 

Je ne dirai plus rien dans la contemplation du monde.

 

 

 

 

Daniel Labeyrie
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12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 18:41

http://www.femmes3000.fr/fileadmin/templates/images/banniere.jpg

       Femmes 3000 Garazi Baigorri vous invite:

 
   

 

            VENDREDI 25 NOVEMBRE  2011   

                     19h à 20h30 -

   Salle de réunion de la MAIRIE D’UHART CIZE

 

nous recevrons      

 

             Laurence  GOYENECHE     de l’association

http://www.hegalaldia.org/elements-des-pages/bandeau-titre.png

 

HEGALALDIA est née en 2000 à UHART CIZE à l’initiative  de François  LASPRESES et Jenofa CUISSET qui a mis à disposition de l’association son terrain à titre gratuit jusqu’à début 2006.

Suite à la catastrophe du Prestige (2002-2003), l’association prend de l’ampleur et ce petit centre ne peut plus répondre à un nombre d’accueils croissant. Ainsi, grâce à un partenariat européen avec un centre espagnol, naît, en 2006, une nouvelle structure sur Ustaritz « Entre océan et montagne ».

Laurence GOYENECHE vous fera connaître :

-  HEGALALDIA   :  le travail considérable de cette association pour la sauvegarde de la faune sauvage.

-  vous expliquera également les gestes à faire et à ne pas faire lorsque vous vous trouvez en présence d’un animal sauvage en détresse.

 

                                                                                                                                 ENTREE  LIBRE

                                                                                                                                             

REPAS- 15 €-  Restaurant TXITXIPAPA – 28, rue de la Citadelle- GARAZI

   réservation  :  05 59 37 28 32  –06 87 08 50 82 -   e-mail- j-bougis@hotmail.fr

 

Et, allez, pour le fun, Laurence en 2005 dans une volière du Centre à Uhart-Cize. Non, non, elle ne tient pas une guitare, mais un Vautour fauve!

http://img.over-blog.com/500x375/1/19/11/45//5-Laurence-et-vautour.jpg


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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 23:12

Avec tout mon amour.

 

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  • : Le blog de Jeno l'écolo Jenofanimalhumaniste
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