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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 13:34
Je peux  les voir en peinture.

Egun on / Bonjour

Nous présentons des peintures de Philippe Franzen et Josette Dacosta avec des sculptures d'Aitor Ruiz de Eguino, Iñaki Olazabal et Juan Luis Baroja Collet.
                                                                                                              

22, rue de la Citadelle à Saint Jean Pied de Port.

Les jeudi, vendredi et samedi de 15h à 18h, du 12 juin au 12 juillet
.

Je peux  les voir en peinture.
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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 14:44
Lettre ouverte à "La semaine du Pays Basque".

Mesdames, Messieurs,

 

Je vous adresse un grand merci pour avoir organisé sur internet un sondage sur le thème "Etes vous pour ou contre la corrida?".

Le résultat de ce sondage est de manière écrasante en faveur de l'abolition, comme vous l'avez annoncé dans votre édition papier: 97% pour l'abolition, 2% contre, 1% ne se prononce pas.

Soixante-deux commentaires étaient publiés sur le site internet. Tous, sans la moindre exception étaient des réquisitoires argumentés contre la corrida. Dans l'édition papier, vous en avez publié encore d'autres, tout aussi bien argumentés et également en totale opposition avec la tauromachie. Beaucoup de ces commentaires émanaient de gens jeunes, voire très jeunes, qui résident à Bayonne ou dans ses environs proches.

Le résultat sans appel de ce sondage se trouve être en complète opposition avec l'habituelle ligne éditoriale de votre hebdomadaire qui à certaines périodes de l'année ouvre plus que largement ses colonnes à des chroniques tauromachiques sans, vous l'avouerez, la moindre réflexion critique vis-à vis- de ce spectacle de torture et de sadisme.

J'espère, et tous les abolitionnistes avec moi, que vous en tirerez les leçons et retravaillerez votre ligne éditoriale dans le sens des résultats de cet éloquent sondage. Dans le cas contraire, chacun serait en droit de se demander pourquoi avoir posé la question.

Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs de la Rédaction, mes salutations radicalement anti-corrida.

Jenofa Cuisset.

Témoignage authentique de Matodoso, 63 ans, extrait du sondage "Pour ou contre la corrida?" de "La Semaine du Pays Basque du 30 mai au 5 juin, page 8."
Âmes sensibles s'abstenir...


"Quelques jours avant le jour J commence leur supplice. On les laisse sans manger ni boire, de façon à ce qu'avant le " spectacle", le pauvre taureau mange et boive abondamment, ce qui le rendra bien lourd et le mettra en situation d' inconfort extrême pour se mouvoir.
Les yeux: enduits de vaseline pour désorienter l'animal.
Les membres: enduits d'essence de térébenthine , qui lui procure des brûlures insupportables, dans le but de l'empêcher de rester tranquille.
Les testicules: dans lesquels on insère des aiguilles cassées dans le but de l'empêcher de s'asseoir ou de s'affaler.
Les naseaux: dans lesquels du coton est enfoncé et descend jusque dans la gorge dans le but de rendre la respiration de l'animal plus difficile.
L'échine, les reins: auxquels sont infligés des coups de pied et de planches. Ces coups ne laissent aucune trace.
Juste avant de rentrer dans l'arène , il peut arriver que l'on laisse tomber une trentaine de fois sur l'animal immobilisé des sacs de sable de 100 kg. L'usage en dose massive de tranquillisants, d'hypnotiques, voire même de spray paralysant ( identiques à ceux utilisés par les forces de l'ordre et altérant la vue) a déjà également été constaté. Pour finir, massacré par un lâche sadique, le corps dépecé, atterré, sans comprendre le pourquoi de cette barbarie. Voilà "pourquoi" je suis contre, cela vous paraît suffisant?"

 

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 11:49
Photo Wikipedia

Photo Wikipedia

Une contribution de Jacques Coustals.

 

 

 

Chassé des parcs des villes où tu voulais dormir

Mal-aimé, bon à rien, roupie de sansonnet

Étourdi étourneau les gens te rient au nez,

Petit écervelé, en te voyant t'enfuir.

 

 

Ton vol bizarroïde, zigzags de métal noir

Est multiplié par dix ou par cent ou par mille

Dans un ballet baroque de ta grande famille

Tel un éclair bleuté qui déchire le soir.

 

 

Dédaigné du chasseur, tu es gibier de potence,

De toutes nos régions il n'y a que la Provence

Qui veut bien t'honorer en pâté, en terrine,

 

 

Et moi je ne veux pas te laisser sans sonnet,

Je t'aime bien tu sais, je te dédie ces rimes,

Je te souhaite long vol, cher petit sansonnet.

 

 

 

 

Jacques COUSTALS

 

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3 juin 2014 2 03 /06 /juin /2014 07:03
Hommage à Luc Romann
Hommage à Luc Romann
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31 mai 2014 6 31 /05 /mai /2014 16:00
Moins fort le rire,  Gilles, on n'entend plus le ruisseau!
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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 11:59
Plus un centime pour la torture animale dans les élevages!!

Un communiqué de :

http://www.ciwf.fr/

Saviez-vous que vous financez l’élevage industriel ? Nous le faisons tous - à travers les impôts que nous, nos amis, notre famille, payons. Nous avons enquêté sur la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). C'est une institution financière publique qui nous appartient et qui est financé par nos impôts, mais qui ne tient pas compte de nos valeurs. La plupart des gens sont outrés par l'élevage industriel - pour ses conséquences sur les animaux, les hommes et la planète – mais la BERD finance ce type d’élevage.

Enquête sur la BERD

Entre 2002 et 2011, on estime* que la BERD a investi la colossale somme de 218 millions d'euros dans des projets liés aux animaux d'élevage. Nous avons visité plusieurs exploitations financées par la BERD et les résultats sont choquants : abus des animaux et des travailleurs ; communautés locales poussées à bout ; dommages à l'environnement. Et notre enquête n'est que la face visible de l'iceberg ; où que vous alliez dans le monde, vous trouverez les mêmes histoires de destruction.

La BERD entend investir uniquement dans des projets qui sont « écologiquement et socialement durables ». Elle doit donc doit cesser tout financement à des élevages industriels.

Nous avons créé une pétition destinée au Conseil des gouverneurs de la BERD. Ajoutez votre nom pour nous aider à mettre encore plus de pression sur la banque pour stopper le financement des élevages industriels.

Traduction de la pétition envoyée en anglais

Messieurs les Gouverneurs de la BERD,

Je vous exhorte à faire en sorte que la BERD arrête de financer des projets d'élevage industriel. La BERD est fière de ses références en matière de développement durable, mais le choix de financer l'agriculture industrielle est en conflit direct avec cet objectif affiché ; l'élevage industriel est fondamentalement non durable. Votre récente décision d’adopter les normes minimales de bien-être animal de l'UE est un pas dans la bonne direction, mais continuer à financer l’élevage intensif, pérénise la souffance animale, le gaspillage de ressources, les menaces sur notre santé et notre bien-être, les dommages sur l'environnement. Merci d’utiliser votre pouvoir en tant que gouverneur de la BERD pour que la banque cesse de financer des projets d'élevage industriel.

Signez et faites signer la pétition! Voir lien ci-dessous.

Et pendant que nous y sommes, message subliminal ( pas tant que cela, en fait) à la frange raciste et fascisante du milieu de la protection animale, qui fait tant et tant de mal à la cause qu'elle ose prétendre défendre à nos côtés.

Voir lien ci-dessous:

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 08:08
Paris, une fois n'est pas coutume.
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22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 08:00
Quand la loi est indigne, la protestation s'impose !

Martin Luther King :

"L'action directe est de créer une situation qui déclenche un tel nombre de crises

qu'elle ouvre inévitablement la porte à des négociations."

Ce livre est né à la croisée des chemins : point de convergence de rencontres avec les militants de la FLAC (Fédération des Luttes pour l'Abolition de la Corrida), d'une actualité 2013 surchauffée d'opposition à la corrida dans une ville taurine, et de la demande de Laurent l'éditeur par l'intermédiaire de Jenofa...

Peu inspirée au départ par un sujet interdit dans une municipalité qui revendique une culture espagnole indigne, l'inspiration m'est finalement venue, portée par les événements, les soutiens, l'amitié, l'indignation, l'intérêt d'analyser les comportements des aficionados, de poser la question du traumatisme engendré chez les enfants par un tel spectacle, de pénétrer dans le symbolisme du sacrifice du taureau qui fait partie de la mémoire de l'humanité.

Un livre résolument anticorrida, conçu pour apporter sa pierre à l'édifice qui a pour nom ABOLITION.

 

Présentation du livre :

Préface du Professeur Hubert Montagner, Docteur ès-sciences (psychophysiologie), éthologue, ancien directeur de recherches à l'INSERM, auteur.

Postface de Michel Bon, analyste jungien, sociologue, auteur.

Pour évoquer, affirmer et confirmer sa position anticorrida, l'auteure a choisi de retracer un parcours qui la conduit de son Anjou natale aux festivités d'Arles et au choc premier ressenti à la vue d'une corrida. Rien ne la prédestinait à devenir un jour conseillère municipale dans une ville à vocation taurine (Dax) et à s'opposer à ce jeu barbare, et pourtant, cette volonté allait déclencher un sacré remue-ménage, du jamais vu en ce fief garant d'une tradition espagnole revendiquée comme culture du sud de la France !

Dans les entrelacs de son récit, se glissent l'analyse des profils d'aficionados, le portrait de quelques toreras et toreros du passé et d'aujourd'hui, le symbolisme du sacrifice du taureau depuis les temps anciens, le rappel des jeux de Crète et de Rome, la recherche de l'impact de ce spectacle sur les enfants, la mise en évidence des influences familiales et environnementales, le scandale des écoles taurines. S'ajoutent les épisodes d'une année exceptionnelle dans l'escalade d'un mouvement contre la perpétuation d'une tradition indigne, manifestations en forme de marée montante, relayées par de courageux députés, par des personnalités du monde politique et juridique, par des philosophes, écrivains, journalistes, artistes, scientifiques, psychiatres et psychologues... Protestations soutenues par des organisations structurées, fermement décidées à obtenir l'abolition de la corrida. Ce dernier vestige des jeux du
cirque.

 

Ni art ni culture

Isabelle Nail Arrouy

Editions Astobelarra

238 pages

12 pages en couleur

Format 210x148

Prix : 17 euros 50 TTC

Disponible dès le 1er juin ou en précommande auprès des Editions Astobelarra.

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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 16:00
L'eau et les rêves.

Il disait "Ma vie se déverse en toi".

Depuis, j'avoue délaisser quelque peu les mares et les lacs pour regarder et écouter couler l'eau vive.

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 10:23
Cours s'il pleut.

Cours s'il pleut

Yves LECLAIR

poèmes

 

Une contribution de Daniel Labeyrie.

 

 

 

Le poète n'est pas du genre à courir mais à cheminer au gré des rues, des routes, des villes, des bords de mer, des quais, les yeux grands ouverts sur les êtres, sur la vie....

 

Il balaie les ondes, se promène au bord d'un grand lac en Italie du nord, déambule dans les ruelles de Ciboure au Pays-Basque, laisse son visage prendre les embruns océans, se balade à vélo ici et là, flâne sur les familiers bords de Loire...

 

Une robe légère épousant une saute de vent, le léger mouvement des seins d'une passante inconnue aux Pays-Bas ou sur le trottoir d'un pont à Bayonne, cela comme une célébration de la beauté, fragilité des choses qui passent comme un arc-en-ciel après l'averse.

 

Les vers de l'auteur sont « salutaires » comme une invitation au voyage, comme un appel vers la magie du quotidien.

Des petits joyaux vous éclatent au visage au fil de ces pages habitées.

 

Yves LECLAIR use ses chaussures mais son modeste cordonnier réparera les semelles usagées de ses bottines pour qu'il puisse continuer à aller et venir sur les chemins de la vie.

 

 

Daniel LABEYRIE

 

 

Références: éditions NRF GALLIMARD

Cours s'il pleut.

 

PART DU MARCHER

Yves Leclair

 

 

 

L'Adour vert émeraude clignote au soleil

Sur le pont la jupe et la chevelure ondulent

sur l'épaule nue. L'humanité transparaît

 

 

 

à contre-jour. Le sein libre comme l'instant

danse la gigue et pointe du temps le tissu

qui passe et ralentit. Et l'œil surpris surprend

 

 

 

l'ombre mouvante des jambes et de la chair

divine et éphémère. Ah! Qu'il fait bon marcher

à ne rien faire, le long du quai des Corsaires !

 

 

 

Bayonne,

 

10 août 2011

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